Comme prévu, une réunion eu lieu le soir même. Tous le monde fut réunit dans la grande salle et Léon enfermé dans une salle à coté.
-Bien, maintenant que tout le monde est là, nous allons vous distribué une feuille sur laquelle est marqué votre fonction. Lisez-la et une fois que vous avez mémorisé se que vous êtes, jetez-la dans le feu.
Une fois que ce fus fait. J'indiquai à tout le monde que les postes seront effectives dès demain.
-Vous allez tous allé vous couchez mais avant on va répondre à vos questions. Oui, gros Paul?
-Mon nom c'est Paul. Et si tu reviens pas demain on fais comment ?
-Si je ne reviens pas c'est Mireille qui prendra le commandement, je lui fais confiance.
Je la vis me faire un sourire du coin de l'œil. Puisqu'il n'y avais pas d'autre questions, je leur ai dis d'aller se coucher. Une fois qu'il ne restait plus que Thomas et Oscar avec moi, je leur demandais d'aller chercher Léon pour qu'on parte le plus vite possible. Ils l'ont sortis de la pièce et il s'est empressé de me demander le plan sauf que...
-Il n'y en a pas, répondis Oscar de son ton bourru.
-Comment ça ?
-C'est simple, expliquai-je. On va là-bas et on observe sans se faire voir.
-C'est tout ? Et vous n'avez pas de plan B ? De plan de replis ? Au cas où ça tourne mal ?
-Pourquoi faire ? De toute façon neuf fois sur dix le plan B échoue alors on improvise sur le terrain.
-Vous êtes malade...
-Si tu dois rester avec nous, tu ferais mieux de t'y faire, rétorque Thomas. Et au pire, si tu as tellement peur qu'on se fais prendre , tu n'as qu'à dire qu'on t'a capturé et obligés à nous amenez jusque ici.
-Comme vous voulez... Dis Léon peu convaincu.
-Bon, s'exclame Oscar. C'est pas que je m'ennuie mais je m'ennuie donc on pourrait peut-être y aller.
Il avait raison (pour une fois) et nous sommes donc immédiatement partis pour le repaire où ils avaient enfermés nos parents.
Croyez-le ou pas... Mais nous avons marchés pendant cinq heures vers le nord ouest dans le froid de la nuit et pourtant la raison était tellement importante que l'on sentait à peine la morsure pourtant glaciale de l'air. Après des tours et des détours à n'en plus finir, nous sommes arrivés, toujours en silence, devant une clairière avec derrière elle une grande forêt. Léon nous à alors brutalement arrêté.
-Qu'est-ce qui se passe ? demandais-je.
-On arrive sur les terres de mon village, soyez vigilant. Nous ne sommes plus qu'à deux kilomètres et demi de la cachette. Il va donc falloir être extrêmement silencieux à partir de maintenant.
-Très bien, on te suis.
Et c'était repartis... Ça commençais à faire long mais nous y étions presque ce n'était pas pour abandonner maintenant. Et puis nos parents avaient besoin de nous...
Léon nous fit alors brusquement allongé.
-On y est. Vos parents sont dans la cabane juste devant, chuchota-t-il.
En effet, juste devant nous s'élevait une de ces cabanes de bûcheron que l'on trouve parfois dans les forets. Seulement devant celle ci se tenait feux armoires à glace à l'air pas très sympathique.
-Si vous voulez voir vos parents, il faudra faire le tour.
-On te suit, lui répétais-je. Mais si c'est une embrouille Oscar saura te le faire payer.
Oui je sais la menace n'était pas nécessaire mais on est jamais trop prudent. Et puis je ne sais toujours pas si on peut réellement lui faire confiance.
-T'en fais pas pour ça ma belle. J'oserais jamais mentir à une fille comme toi.
-Une fille comme moi ? C'est-à-dire ?
-Si ça te dérange pas Marianne tu lui posera la question plus tard quand on sera pas chez l'ennemi, nous interrompit Thomas.Il avait raison. Je m'occuperais de ça plus tard les parents étaient plus urgent.
Léon nous fit passer sur le côté par les arbres toujours accroupi et nous arrivâmes près de la fenêtre.
-Restez là je vais voir.
Aussitôt dis aussitôt fais je m'élançais vers la fenêtre. Et la mon coeur s'arrêta pendant un dixième de seconde. Nos parents étaient tous la et ils semblaient en assez mauvais états. Je ne sais pas se qu'on leur a fais mais ils étaient tous couverts de suie. La plupart dormaient et ceux qui restaient éveillé semblaient a deux doigt de faire de même.
J'en avais assez vue. Je m'appretais à retourner auprès des gars lorsque j'entendi une dispute. Je me retournais juste a temps pour les voir tous les trois en train de crier a moitié. C'est dingue ça a croire qu'ils cherchent à nous faire repéré !!
Je couru vers eux et leur mis une claque sur la tête a chacun.
-Non mais ça va pas ? Vous voulez pas parler plus fort tant que vous y êtes ? J'ai vue se qu'on était venus voir on peut y aller maintenant ! On a une longue route si vous nous faites pas prendre avant ! Bande de crétins !
Trop tard !! J'entendi au loin un homme crié on nous avaient repérés.
-Courez !! Courez !! Allez !
On détala sans demander notre restes. J'entendais des bruits de course derrière nous. Il va falloir être rapide !
Et soudain les aboiement des chiens vinrent se mêler au pas des hommes. On est pas assez rapide, clairement !! On va se faire prendre !!
Non ! Une idée, vite !! Je sais
-Léon. Où est ce qu'on peut trouver des vélos ici ?!!
-Des vélos ? Ah oui des vélos suivez moi !
Il nous fit tourner a droite et cent mètres plus loin on déboula sur un garage a vélo. On en prit quatre et c'est parti !!
Au bout d'à peine dix minutes de roulade a toute vitesse on fini par ne plus rien entendre. On roula néanmoins à coré une bonne heure avant de s'arrêter pour respirer.
-Alors ça ! C'était... le meilleur... plan b... que j'ai jamais vu... vous aviez... raison... S'exclama Léon a voit de souffle.
-Merci... je sais...
Après s'être un peu reposer on repartit. On avait un sacré chemin a faire et les autres attendait les nouvelles...
Et voilà pour ce nouveau chapitre je sais j'ai mis énormément de temps mais peut-être sera-t-il mieux... Bonne lecture !

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LES ENFANTS DE TIMPELBACH 2
FanfictionC'est l'histoire d'enfants se retrouvant seuls car leurs parents ont étés enlevés. Ils devront se débrouiller seuls mais également partir à la recherche de leurs parents et les ramené sain et sauf. Y arriveront-ils, sa c'est à vous de le découvrir.