Chapitre 2

349 25 2
                                    

Un jour que je ramenais Taylor de muscu, j'eu tres faim et tres soif d'un coup. On s'est arrete au McDo, et on a mange et bu. Taylor m'a dit qu'il faisait la muscu pour une fille qu'il voit tous les jours a l'ecole et en dehors, et il passe beaucoup de journees avec elle. Il voudrais que ca aille plus loin. 

- Tu devrais lui avouer tes sentiments, dans un bel endroit, sur la crique, par exemple.

- T'as raison, mais je sais pas ce qui vas se passer si je le fais aujourd'hui.

- Decris la moi, peutetre que je la connais.

Pendant tout le trajet, il l'a decrite, mais je ne l'ecoutais pas, pour ne pa faire de gaffes. Puis a quelques metres du tournant pour la crique, il m'a dit de tourner et d'y aller. J'ai tourne, et je vis que le soleil se couchait, alors j'ai fonce, et sur le bord de la falaise, on est descendu, et j'ai gare la voiture. Puis on a continue a pieds. On est alle jusqu'a la grotte ou on voit la mer et qu'on vient camper des fois. On s'est assis, et on a balance nos pieds au desuus de l'ocean.

 Taylor s'est rapproche, et son bras muscle a touche mes cheuveux. Je me sentais bizarre. Mon coeu battait a 100 a l'heure. Puis Taylor a dit :

- Rebecca, je ... je ...

- He bien, dis le ! Escuse moi, je voulais pas te stresser.

- Je t'aime.

A ce moment la, nos levres se sont emboitees, et j'ai enlace son cou de mes bras, lui mes hanches. La j'ai compris pourquoi les jeunes se becotaients, c'etais si agreable...

Je me demande si c'etait le destin ou une coincidence, mais la j'ai tout compris : le vers a mes treize ans, le gateau et les mots secrets... 

Nous nous sommes laches, et on a legerement rit. Je me sentait libre comme l'air, je croiyais meme que je pouvais voler!

- C'etait la premiere fois que j'embrassais quelqun, a-t-il dit.

- Moi aussi, c'etait super. On... on peut recommencer?

On s'est embrasses pendant plus de dix minutes, et j'ai remarque qu'il allait faire nuit. Je lui ai retire le gloss rose de ses levres, et on est montes dans la voiture.

Sur la route, on a fait que se regarder, enfin des regards furtifs.

Il est rentree chez lui, et moi chez moi.

C'est a partir de la qu'on commence les ennuis. 

La malédiction du loupOù les histoires vivent. Découvrez maintenant