Partie 12

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*Maman: Je dois te parler se soir.

Comment ne pas stresser quand on reçoit sa, surtout quand c'est l'un de nos parents qui nous l'envoie.

*Moi: C'est grave?

*Maman: Tu verras à la maison.

J'accelère le pas. Arrivé chez moi, je salut Alexis et en entrant chez moi je ne vois personne.

Vers 17h00 ma mère rentre enfin, je m'empresse d'aller vers elle afin de savoir se qu'elle a à me dire.
Nous allons dans la cuisine, on s'asseoit toute les deux autour de la table.

Maman: ........

..............

Maman: Tu as rendez-vous à l'hôpital dans un mois. J'ai appeller le médecin que tu auras et il m'a dit qu'il serait mieux de te voir après 1 mois de cours passé pour voir comment sa se passe et tout.

Moi: D'accord, alors ?

Maman: Alors quoi?

Elle le fait exprêt? Ça fais presque 1h que je stresse en me demander ce qu'elle a à me dire et là elle ne me dit rien.

Moi: C'est quoi ce que tu avais à me dire?

Maman: Et bien je viens de te le dire.

Moi: T'es sérieuse maman? Tu me fait stresser juste pour sa ?

Maman: Juste pour sa tu dis ? C'est quand même quelque chose d'important.

Moi: Mais maman j'ai l'habitude des rendez-vous à l'hôpital. Je m'attendais à se que tu me dise quelque chose de grave où de vraiment très important !

Maman: Vous les jeunes vous stresser pour rien, vous imaginez toujours quelque chose de grave.

Moi: En même temps quand tu reçois le message que tu m'as envoyé c'est normal que je stresse.

J'ai vraiment stressé pour rien je pensé qu'elle allait me dire que quelqu'un de ma famille avait eu quelque de chose de grave où alors que m'a mère avait des problèmes avec mon père ou autre chose. Je m'imaginais vraiment tout et n'importe quoi.

Je reste dans la cuisine à discuté de tout et n'importe quoi avec ma mère puis les jumelles viennent me voir.

Amélie: Loulou on le revoit quand Dylan?

Moi: Je sais pas il faut lui demandé.

Amélie: Il nous manquent!

Moi: Marié vous avec lui, non ?

Alison: Oh oui c'est une bonne idée !

Amélie: Dès qu'on le voit, on lui demande!

Et elles repartent je ne sais où en courant. Mes petites soeurs elles sont toujours de bonne humeur, toujours joyeuse, toujours à rigoler. Sans elles, l'ambiance dans la maison serait morte.

Maman: Je veux qu'elles restent à cette âge là toute leur vie.

Moi: Se serait vraiment bien.

Peu de temps après, mon père rentre de son travail et il s'installe avec nous dans la cuisine. Nous parlons un peu de tout, des cours, du travail à mon père et de celui de ma mère.

Ma mère adore tellement les enfants, que ceux avec qui elle est à son travaille, elle les considères comme ses propre enfants. Elle comprend très vite les enfants et c'est même eux qui viennent vers ma mère, ils lui racontent leur petite vie.

Et mon père, son entreprise compte beaucoup pour lui, c'est comme son cinquième enfant . Il c'est donné tellement de mal pour réussir à monter son entreprise, il y tient vraiment.

L'amour gagnera, la maladie perdraOù les histoires vivent. Découvrez maintenant