Chapitre 2: promenons nous dans les bois.

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Chapitre 2: promenons nous dans les bois.

La route est longue. Très longue. On a arrêter en passent chez Mc Donald se prendre un petit dejeuner et papa tient absolument à ce que j'enleve mon manteau avan de rentrer dans le restaurant pour pas que mes vêtements sentent la friture. J'ai trouver ça drôle quand nous étions entrain de manger et que nous avions vue une gagne de chasseur entrer chez Mc Do avec tout leurs équipements sur le dos. Jai lancé un regard a mon père qui lui regardais les chasseurs en disant gagne d'innocents dans sa barbe. Une fois repartit il commencait à faire clair dehors. Plus on roulais, plus la route ce retrecit et laissait place a la nature. La dernière route etait... Rocheuse? J'aurais passer ici avec un quatre-roues et non une voiture une chance que mon père avait un bon pickup. Mon père decida de garer son pickup entre deux arbres. Il descendît du camion et sortit son arme a feu de l'arrière. C'etait une grosse carabine pour être honnête je ne connais pas vraiment les armes à feu mais je savais que celle a mon père c'était un bon. Je l'avai essayer une fois. Papa m'avai en mener avec lui au champ de tire juste pour essayer des armes et le sien m'avai fait mal a l'épaule en tirant. Je savais aussi qu'il lui avai coûter très cher. Ca avait été un sujet de dispute entre mes parents très longtemps avan que maman parte. Cette arme lui avai coûter pas loin de 3000$, argent qu'on aurait très bien utiliser pour nous nourrir. Je crois que c'est d'ailleurs pour ça qu'elle est partie. On avait à peine nous mettre sur la table et mon père fesait ses petites dépenses pour son propre plaisir. Mais je ne le blâme pas.. Unpeu pour les depenses excessive mais on a tous besoin de notre porte de sortie non? Et bien souvent les sorties ne sont pas gratuites.
Mon père me lença un regard et me tenda mon arme. Le mien etait beaucoup plus petit, juste assez puissant pour tuer du petit gibier bien que je n'ai jamais rien tuer et que je ne tuerais surement jamais rien mais ca lui fesait plaisir que j'ai l'air de participer.

Nous commencions à marcher dans le bois. Le soleil brillait dans le ciel sans nuage. Je sentais l'air frais sur mon visage et la bonne senteur de la foret- rien à voir avec la ville. Ici l'air etait pure et bonne à respirer. Tout ce que l'on entendais c'était l'eau des petits ruisseaux qui descendais la montagne, les feuilles qui s'emportaient par le vent, les oiseaux qui chantaient dans les arbres et a quelques occasions les petits animaux fuillant notre passage.
Nous marchions pendent des heures et des heures. En marchant j'étais perdue dans mes pensées. Je me disais que si jamais je perdrais mon père ici, je saurais jamais comment retourner chez moi. Je me rendit compte que j'ai vraiment aucun sens de l'orientation.

Je fait signe a papa que je suis fatiguée et que je veu prendre une pause. Mes pieds dans mes bottes trop grande me fesait terriblement mal et j'étais épuisé de marcher. Il me fit signe de la tête puis regarda autour de lui, cherchant du regard un endroit où l'on pourrais s'assir sans être trop à découvert. Il me tapotât l'épaule et me pointa un arbre. C'etai comme un gros saule pleureur. Le genre d'arbre que les branches couvertes de feuilles sont tombantes, pointant vers le bas, parfait pour se cacher en dessous. Cet arbre etait majestueux et prennais très bien sa place où il était. Sous l'arbre il y avai un  vieu tronc d'arbre étendu sur le sol parfait pour s'assir et s'y reposer.
Je me laissa tomber assis sur le tronc et il se fracassât sous mes fesses ce qui avait fait un gros CRAC! Mon père me regarda avec les plus gros yeux du monde et me fit signe de "non mais ca va pas la tête??" Puis lança un doigt devant sa bouche pour me faire signe de ne plus faire de bruit. Ce tronc était tout pourrit mais drôlement confortable dû au trou que j'ai fait avec mes fesses. Je decida donc de rester là. J'enfoui ma main dans ma poche de manteau et pris quelques biscuits pour grignoter. Un petit mulot me monta sur la jambe et je lui lança quelques morceaux de biscuits. Je fit un sursaut brutal quand j'entendit un gros bruit provenant de unpeu plus loin derrière moi. Le meme bruit que celui qui c'est échapper de mon tronc lorsque je me suis assis dessus. Mon père, qui etait assis a quelques mètres de moi, me regarda encore avec des gros yeux. Il pensais probablement que c'était moi qui avait fait ce bruit. Je le regardais avec des gros yeux aussi et lui fit signe de non puis lui pointais derrière moi, là d'où provenais le bruit. Il fronça les sourcils et se leva pour avoir une meilleur vue de ce qui se passais. Je me levais aussi et me rendit compte que tout mes biscuits que j'avais dans les mains sont maintenant répartis sur le sol. Je les avai probablement fait tomber lorsque j'ai sursautée.
Mon père commença a marcher vers la source du bruit tranquillement avec son arme pointé vers elle. Il tourna la tête pour me regarder et me fit signe de le suivre. Nous marchions tranquillement puis quelque chose me figea sur place. Je senti mon sang qui coulais dans mes veines se glacer et quelques longues secondes ont passé avant que je reprenne ma respiration. C'était le bruit d'un grognement mais un grognement que je n'avais jamais entendu auparavant. Ce qui m'effrayais encore plus c'etai la regard que mon père m'a donner. Pour la première fois j'ai vue la peur dans ses yeux.

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⏰ Dernière mise à jour : Oct 25, 2015 ⏰

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