Comment commencer un journal ?

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Comment commencer un journal ?
Je ne sais pas, je n'ai pas vraiment d'expérience la dedans. Mais continue tout de même de lire, ça pourrait t'intéresser.
(BIEN SÛR, SI TU NEST PAS DANS LA TERMINALE SCIENTIFIQUE N•4, QUE TU N'EST PAS BRUN AVEC DES YEUX NOISETTE PORTANT DES LENTILLES ET UN GRAIN DE BEAUTÉ AU NIVEAU DU BAS DE LA MÂCHOIRE À GAUCHE. JE TE
PRIERAIS DE NE PAS LIRE CE JOURNAL. Bien sûr, je me doute bien qui si cela se produit. Ta curiosité prendra le dessus et que tu le liras tout de même. Je ferais abstraction de cette option. )
Continuons si tu le veux bien.
Alors, s'il te plaît, soit indulgent Apaulo. Oui Apaulo est ton surnom. Et tu comprendras bientôt pourquoi mais laisse moi le temps de me présenter.
Mon nom ? Non, ne rêve pas c'est trop tôt. Tu le sauras sûrement en tout dernière lieux. Je suis plus jeune que toi. De quelques mois, ne crois pas que je sois immature, par pitié non.
Je suis dans ton lycée. Et dans ton option principal. C'est tout ce que tu dois savoir pour l'instant.
, ne pense pas que je suis totalement raide dingue de toi. Non je suis tout simplement tomber, je me suis même casser la gueule devant ton putain de charisme. Ça suffit, je n'aime pas avoir ne serait-ce la pensée de la prise de confiance actuelle, que tu dois prendre en lisant ces dernières phrases.
Maintenant, voici la raison pour laquelle je t'écrit ; un seule mot : timidité. Oui c'est con. Oui je sais. Ce serais tellement plus simple de venir te voir, de me positionner juste en face des si beau traits de ton visage et de fixer tes yeux dans lesquelles je me pourrais me perde sans réel soucis, et puis enfin de tout de dire. Mais non. Ce sentiment étrange qui me paralyse littéralement quand je te vois m'empêche de t'adresser ne serait-ce qu'une syllabe.
Sauf que bien sûr, si ce n'étais que ça, ça serais trop simple, une niaiserie. Car non, je ne suis pas de ce que l'on pourrais qualifier d'humains. Cette rumeur qui tourne dans le village disant que des créatures aurait tués un humain, n'ai pas qu'une rumeur. Oui car ils font partie de mon espèce.

Égailler des pensées, non-humaine sans luciditéOù les histoires vivent. Découvrez maintenant