Vampires Errants

Chapitre 1

On m'a racontée qu'il y a onze ans, des vampires ont déclenché un virus , appelé Chaos par les humains. Ce virus a décimé les trois-quarts de la population française. Les humains n'ayant pas été supprimés par Chaos trouvèrent refuges dans une ville qu'ils transformèrent en école pour jeunes voulant exterminer les vampires de ce monde, et quelques maison pour les autres, ceux qui ne voulaient pas risquez leur vie pour sauver leur pays.

Je m'appelle Anna et je suis une vampire. Un jour, je me suis réveillée dans un laboratoire sombre, j'avais des traces de sang sur les bords de la bouche, les mains et les pieds. Trois personnes étaient allongés par terre autour de moi et tous avaient des marques de morsure sur le cou.

J'étais gelée jusqu'aux os, pied nus. Je ne me souvenais de rien de ma vie d'avant que j'ouvre les yeux dans cette petite pièce pleine de machines recouvertes de sang. Je me suis dirigée vers une porte ouverte mais un homme est arrivé devant moi, je me suis reculée surprise. Il a pointé une arme à feu dans ma direction et a tiré, la balle a transpercé mon épaule gauche qui a commencé a saigner. J'ai plaqué ma main sur la blessure, baissé la tête et je me suis retrouvée a genou sur le carrelage taché de sang. L'homme m'a pris par le cou, soulevé et donné une gifle sur la joue. Il a hurlé quelque chose que je ne suis pas parvenu à entendre mais deux hommes sont arrivés et il m'a relâché aussitôt. L'un m'a enchaîné les poignets et l'autre m'a attaché un bandeau noir sur la bouche. Ils m'ont forcé à me levée et m'ont entraîné vers la porte, nous avons traverser un longs couloir et sommes arrivés devant un mur détruit dont juste derrière des gens comme ceux qui m'avaient conduit jusqu'ici et des enfants de mon âge dans la même situation que moi étaient réunis près d'un arbre sans feuilles. Nous les avons rejoints et un des hommes derrière moi m'a donné un coup de genou dans le dos et je me suis écroulée par terre à peine arriver. Une femme, dans une grande voiture noir, nous a rejoints et nous a dit qu'il était temps d'y allait. Tous le monde est montés dedans, nous avons fait vingt minutes de trajet et nous sommes arrivés dans une école pour humains. Tous les enfants avaient les yeux rivés sur nous, quand nous étions entrain de traverser la cours de récréation, et chuchotaient entre eux que nous étions des monstres assoiffés de sang. Une fois de l'autre côté, nous sommes rentrés dans un bâtiment moderne dans lequel il n'y avait que des laboratoires et des prison où était enfermé des vampires dangereux, des échec sur les tests que les humains ont fait sur eux. Cinq d'entre nous, moi, une fille et trois garçons ont été emmené dans le laboratoire numéro cent cinquante trois. Pendant deux ans ils nous ont entraînés aux maniement de l'épée pour voir comment nous réagissons durant un combat, ils ont fait plusieurs expériences sur notre corps pour comprendre nos réactions. Un des garçons de mon groupe était mort pendant l'une d'elle. Ils ont remarqué aussi que quelques enfants comme moi hurlaient dés qu'on les touchés pour je ne quelles raisons ils nous attachés chacun sur un lit pendant un après-midi et n'arrêtai pas de nous toucher. Ils sont parvenus après trois ans d'expérience à nous faire tenir tranquille et nous trimbaler de salle en salle pour effectuer leurs pages d'expérience de la journée : ils nous ont auscultés, mesurés, pliés dans tous les sens. Et pour enrober le tout, ils nous ont plantés des clou dans le corps pour voir si on guérissaient ou non. Ils ont conclu que l'on était peut-être des êtres extraordinaire mais que notre corps ne supportait pas la douleur. Tous les soirs ils nous enfermez dans des cellules où l'on pouvait être deux au cas où si l'un des deux avait soif de sang. Moi, je me suis retrouvée avec Lola, une fille de mon groupe, et toute ses années passées ensemble nous a fait devenir amies. De mon côté, je me suis toujours demandé si il croyait qu'on était des cannibale.

Hier soir, Lola m'a demandé si un jour nous pourrions partir ensemble de cette endroit sans cœur et je lui est répondu que l'on pourra essayer un jour quand on sera plus grande.