Triste,est cette journée tout comme cette vie insignifiante.Mon âme meurtrie par tant d'hypocrisie humaine,ce coeur qui trouve refuge auprès de l'obscurité ténébreuse que seul un profond amour saurait délivré des flammes de l'enfer.l'insolence des journées me semble des ciels car l'attente me tue.peut-être ne suis-je pas né pour avoir un vécu aussi ardent.Les souvenirs d'une enfance heureuse tous tombés dans le fleuve de l'oublie semble jaillir de goutte en goutte.Le bonheur bien un triste mot car étant la définition de ce que l'on en fait.Mon corps rêve de liberté et mon âme veut s'évader.Le train monotone d'un quotidien sans importance,un vent glacial annonçant la dureté de la succession des saisons.
Je me remémore des souvenirs lointains peut-être tombés dans l' insoutenable absence d'un père quasi inexistant.À mes souvenirs d'enfance!!
Je me tiens devant la véranda, regardant les dernières lueurs du soleil.
Ma vie, un éternel questionnement sur mes origines.
Un père dont l'existance ne se sent que de par le nom.
Le mot papa est inconnu à mon dictionnaire de cœur car ce manque me tue.
Comment est t'il? Pense t'il a moi?
Voila autant de questions qui restent en suspent et qui me ronge le cœur.Mes relations avec la darone sont limités car pour moi, elle est une inconnue.
Je la vois toujours comme une étrangère.
L'absence de cette figure paternelle est à l'origine d'un rejet perpétuel de soi même.Dès fois des échos me viennent de ses proches, et je perçoit ces nouvelles comme une bénédiction.
Je me console avec elle, elle c'est ma grand mère la femme de ma vie.
Celle qui m'a éduqué et ma vue grandir, mon oxygène bref mon tout.Dès fois j'aimerai le haïr du Plus profond de mon âme, mais comment détester une personne sans le connaître.
Aussi longtemps que je me rappelle quand je voyais des enfants partager avec leurs paternelle ces instants de bonheur, l'envie me prenait de ressentir une jalousie intense, mais mon cœur ne pouvait que apprécier à sa juste valeur ce beau spectacle d'amour.