Chapitre 1

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Je sens quelqu'un me toucher l'épaule, mes yeux sont encore remplis de larmes, je lève la tête et vois mon père, il a un petit sourire forcé pour pouvoir me remonter le moral je pense, même si je le vois bien qu'il est triste juste en posant mes yeux sur les siens, on voit la tristesse dans ses yeux une goutte tombe sur mon épaule, je vois qu'il pleure je me lève et le prend dans mes bras et on se met à pleurer et c'est à se moment précis que j'ai réalisé, j'ai réalisé que je ne la verrais plus, elle me manque déjà, pourquoi elle, pourquoi ma mère...... mon père me lâche et part sans même m'adresser un seul regard; je monte dans ma chambre et m'endors sur mon lit.

Je me réveille et regarde mon téléphone, il est 7h20 aujourd'hui c'est son enterrement rien qu'a y penser une larme coule sur mon visage mais rien d'autres.
L'enterrement commence à 10 heure.
Je me lève et pars dans la salle de bain je me regarde dans le miroir et vois mes cernes, je n'est presque pas dormis de la nuit, je n'est fais que pleurer c'est pour ça, depuis je n'arrive plus à pleurer même si l'envie y est.

Je me déshabille et rentre dans la douche J'allume l'eau et la laisse couler sur moi pendant une bonne dizaine de minute ça me relaxe.

J'ai finis de prendre ma douche je sors et me sèche, je vais dans ma chambre mon père ma préparé un costard qu'il a posé sur le lit, je le regarde avant de me décider enfin à le mettre, je mis remet a deux fois pour le mettre parfaitement bien, je regarde mon téléphone et il est 9h je prend mon sac et descend en bas mon père et déjà prêt, je m'avance il me tend ma cravate

«-tu peut me la mettre s'il te plait ?
Lui demandais-je
-oui bien sur »

Il me la met, ses main tremblent légèrement mais il y arrive quand même, après il m'adresse un sourire comme de réconfort pour me dire que je ne resterais jamais seul et qu'il sera toujours là cela me fit chaud au coeur.

«-bon il va falloir y aller »

Son sourire s'effaça juste après avoir prononcé cette phrase il pris les clés de la voiture et on partit.
Dans la voiture il y avait un silence pesant, horrible, mais au fond se n'est pas vraiment les bonnes circonstances car je sentais que si j'ouvrais la bouche je vais me mettre à pleurer et mon père de même il a déjà les yeux remplis de larmes et je sais très bien qu'il n'aime pas pleurer devant moi donc je laisse ce silence pesant rester jusqu'à l'arrivé à l'église.

On arrive, je remarque qu'il y a beaucoup plus de gens et que je ne les connais pas tous.

«-J'avais oubliée de te le dire mais il y a un autre enterrement en même temps que celui de ta mère. Dis mon père
-ah d'accord »
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Un Destin tragiqueOù les histoires vivent. Découvrez maintenant