La lumière, la lumière aveuglante comme il disait. Oui, comme il disait et non pas comme il dit, disait c'est du passé et Maxime est mort hier, hier dans son immeuble en flamme, il a été brûlé par un soldat qui en avait contre les gens de cet immeubles car ils étaient contre le « gouvernement » et voilà le résultat, 28 mort, 3 blessés graves et Max, Max partit, brûlé et maintenant n'est plus qu'un tas de cendre mélangé à celle de sa mère et de son immeuble. Vous imaginez être mélangé à la cendre de son immeuble, à la cendre de sa couette, du béton,...
Pourquoi ? Pourquoi la vie est injuste en vers ceux qui la mérite ? Pourquoi ? Max... Max qui se battait pour qu'on est enfin la paix, la paix dans ce pays où la vie plus qu'un espoir, plus qu'une différence entre les centaines de gens qui meurent chaque jour, des morts, des cadavres, des os, de la cendre, et la vie qui marche par dessus tout ça, qui marche, qui continu, qui cours et des moments, s'arrête. La vie s'arrête d'un coup de balle... Et le reste du monde continu d'aller bien, mais dans ce foutus pays où quand tu fais un pas, tu peux marcher sur n'importe quoi, la mort, l'arme de la mort, des cadavres, des cendres et tu peux marcher et avoir des soldats toujours derrière toi sans qu'il ne te quitte des yeux avant que tu es regagné ton immeuble, ta maison ou ton petit coin à l'abri des regards des pistolets foudroyants qui enlèves la vie d'un seul coup, d'un seul coup.
Max... Max emporté par la lumière aveuglante des flammes, emporté par sa propre phrase. Et son livre, son livre je l'avais oublié, à force de penser à une personne on oublie tout ce qu'elle a fait. Le livre de Max, son livre, le livre de la victoire, la victoire contre ce foutus gouvernement, contre ce foutus dictateur, ces foutus soldats, CE foutu soldat qui a mis le feu à l'immeuble. Ce livre qui parle de la liberté que nous n'avons pas, toute sorte de liberté, si seulement... Si seulement tous ces gens pouvez ce bouger un peu le cul pour lutter, lutter, montrer que le plus important n'est ni le gouvernement, ni le dictateur, ni ces soldats, MAIS le Peuple, le Peuple bordel !! Si nous étions des citoyens, des citoyens !
Malheureusement, tout cela n'est qu'une hypothèse mais peut-être qu'un jour ce sera réalisable et même peut-être qu'un jour ce sera fais, fais, ce foutu pays LIBRE, LIBRE, enfin LIBRE !
Max... Celui qui lutter, celui qui imaginer, celui qui rêvait. Mais maintenant il est impossible de lutter, d'imaginer, de rêver sans Max... Impossible. Il nous dessiner des mondes qui ne serait qu'à nous. Des mondes où la vie serait possible, des mondes sans armes, sans soldats, sans rien, juste nous, heureux, Libres... Oui Libres. Un monde sans toute sorte choses qui font mal ou pleurer mais avec la joie, le bonheur, l'amour... Maintenant la vie nous fais face et nous emprisonne entre la mort, les armes, les soldats et un tout petit, minuscule bout de joie c'est envolé, ce minuscule bout de joie qu'était Maxime, toute notre joie, envolé, parti, brûlé par la lumière aveuglante.
A suivre