Je T'aime... Suce

Sexture 2

- J'aime le respect que tu me voues.

Je souris, on alla dans la salle à interogatoire. Vincent ouvrit la porte où l'homme allait foncé dedant. Vincent se prit le délinquants de plein fouet. Ils tombèrent tous les deux. Je tirai l'homme de mon patron/copain. Il se debattait, mais je le retenait. Menotté et blessé, il n'ira pas très loin. Je le tirai jusqu'au garage. Je traversai. Vincent ouvrit une porte. On descendit des escaliers. On arriva au sous sol. Vincent ouvrit encore une porte. Elle donnait sur une pièce. Avec diverse instrument de torture. Une table avec des chaines, au centre. Je mis de force l'homme sur la table, l'attachant fortement.

- En faite vous ne m'avez toujours pas donné votre nom ?

- Laissez moi partir, vous êtes fou !

- Venant de votre part, c'est assez ironique.

Je souris bêtement. Vincent me prêta ses lunettes à soleil, les miennes je les avais simplement oublier sur le bureau.

- Je vais juger ton abiliter au couteau, me dis Vincent avec un petit sourire au coin.

Je souris, je vais pouvoir m'amuser un moment. Je pris un petit couteau. Je commençai à le mutilier. Les bras, les jambes, tout le corps. Au début, je passai sans trop appuyier. Je vois qu'il avait plaisir. Je dois avoue que cette pratique là de sexe Mercenaire me plait aussi. Mais je ne suis pas la pour le baiser. Non je suis la pour le torturer et le tuer. Une fois que j'eu fini avec les couteau. Je pris un joli mailliet. Et je lui écrasait les os des mains et des pieds. Je pris des clou rouillés. Je m'amusais à le enfoncer bien profondement dans ses jambes. Il criait de douleur. J'aime tellement entendre ce son. Vincent blémit. Je souris. Ensuite, je lui ouvrit le flan, je jouais avec ses organnes, avec une petite cuillière, je tourillai ses entraille. Un bruit horriblement obsène en sortait. Ses hurlement déchirai le silence de la toture. Vincent devenait de plus en plus transparent. Il vacilla un peu. J'avais les mains en sangs, je m'approchai de lui.

- Ça va, tu es tout blanc ? Assied-toi.

Je pris une chaise et l'assis. Je repris ma boucherie. Avec la même petit cuillère, c'est fout ce qu'on peu s'amuser avec un objet tellement idiot, à première vue, je lui sortit les deux yeux qui pendaient desormais toujours tenu par le nerf optiques.

- Baptiste, je crois que je vais sortir. Fini avec lui.

Je quittai deux secondes ma victime, j'essuyai le sang que j'avais sur moi. Je retins Vincent.

- J'ai envie de toi. Dans cette ambiance de mort. Vincent je veux te faire l'amour.

- Baptiste, ce n'est ni le moment, ni le lieux pour ça.

Trop tard. Je m'exitai d'avantage. Je resortis mon couteau que j'avais lancé plutôt dans le pieds du type. Et le tendis a Vincent.

- Vincent, vas-y.

Je l'embrassais. Je posai ma main sur la main avec laquelle il tenait le couteau. On se dirigea vers mon bras gauche. Ensemble on l'entailla.

- Baptiste, ne commence pas ici

Je l'embrassai.

- Tu vas me lecher les coupures. Mon amour.

Il fit oui de la tête. Il baissa la tete au niveau de mon bras et joua avec sa langue sur l'entaille. Avec le couteau, il crea une nouvelle entaille qui me fis du un peu mal mais tellement du bien. Le sang qui en coulait, il me l'étalait partout. La bouche en sang. Il leva la tete et vint me lécher le cou. Je repris le couteau. Et le rangea. Vincent posa sa main sur mon sexe et me le massa, a travers le tissus épais de mon pantalon.

- Je veux pas vous dérranger mais il en a un qui a les trippe a l'air.

Je l'avais complétement oublié celui- la. On va vite en finir.

- Vincent, tu ne bouges pas.

Il s'assit et attendit que je finisse, tel le parfait soumis amoureux que j'en ai fais il y a de ça un an. Je pris une pince et arracha tout ses organnes avec. Il criai et mourrait gentiment. Pendant que monsieur jouait a la fontaine de sang. Je retournai vers Vincent qui avait denouveau blanchit.

- Baptiste, je t'aime.

Je publierai les chapitre de maniere totalemenr aleatoir dans le temps. Et je vous annonce que pour ceux a qui ça interresse, Sang de psychopathe Tome 2 a ete publié. C'est avec les memes personnages