Pour la France !

Pour la France.

La France c'est ce pays qui m'a vu naître.

Je voudrais qu'elle soit chic.

La République son grand classique...

Je suis un être solitaire,

dans un monde en guerre.

Bien sûr oui que j'ai pleuré,

dans une parfaite intranquillité.

La France c'est mon pays.

Attaquée, par des débiles.

Des idées débiles.

Des idéalistes craintifs de la femme, de la vérité.

Je ne peux pas pleurer, alors je crie.

Je peux m'indigner pour sa vie.

On dit souvent que des êtres l'envahissent.

Moi je vois juste des êtres qui pourrissent.

Une personne est une personne.

Les gens ne le comprennent plus.

J'ai peur pour l'avenir !

On dit qu'il faut tuer et bruler les plus pires.

Les pires ? Juste pour un critère.

On est des pires, pour un critère.

Mauvaise augure, voyez les mauvaises manières...

Ne mélangez pas l'humanité, mes chers.

La France, c'est ce pays là. Celui de toutes les voix.

Je sais différencier une voix haineuse d'une voix humaine. Les gens me font de la peine.

Mais là j'ai perdu des citoyens, mes frères de pain.

D'un monde éloigné, d'un pays d'à côté.

La France c'est elle qui parle en humanité.

Critiquée que soit pas ses Français, ou par des tarés,

pour moi elle reste belle et forte.

J'aime bien les gens qui disent " Marine sauve nous. "

Elle veut juste le pouvoir, et que ses fidèles font le mouvoir. Ce n'est pas l'avenir.

Vous me direz les " autres " ils font rien. Je suis d'accord. Alors, cherchons l'or ailleurs.

Il y aura peut être rien à trouver. Mais ce qu'on peut fabriquer, autre que la croissance et la finance, c'est la solidarité de la France.

Je suis triste. Mon cœur en est crevé.

Je n'aime pas ces gens brisés.

Qui brisent la vie des autres.

Je suis humain, je ne suis pas quelqu'un qui n'aime pas la France, donc je l'aime.

Elle mérite une danse, ce pays la France.

Mes amis soyons ensemble pour elle !

Soyons ensemble pour les gens qui sont morts fidèles.

Soyons ensemble pour nos morts, pour nos citoyens :

Ils sont encore là dans nos cœur par tous les moyens !

Je rêve d'une France.

D'une France unie, d'une France sans violence.

Sans y mettre le racisme dans la balance.

Le 13 novembre, la France et sa capitale Paris,

ont connu le pire, l'horrible de la barbarie.

Des innocents ont perdu leur vie, face à des gens si lâches et violents.

Je me demande comment l'être humain peut être ainsi,

tuer des gens sans aucun remord sur leur vie.

Je ne comprends pas, comment des gens sont morts cette soirée là.

J'ai foi en mon pays, j'ai foi en mes citoyens, mes frères.

Liberté, égalité fraternité,  cela sert.

J'adresses mes sentiments de tristesse, d'horreur et de profondeur...

Je soutiens les victimes de ces attentats, et les proches.

Je m'imagine un instant perdre mon amour, perdre un membre de ma famille...

Je ne peux retenir mes larmes, pourquoi tant de haine ?

Tant d'injustice ! D'horreur, commise, cette soirée là, soirée de peine.

J'ai peur, je suis inquiet.  Je regarde Marianne, je regarde notre président parler.

Je regarde tous nos drapeau bernés...

Je contemple mes beaux bâtiments, mes belles montagnes.

Le sentiment, le cœur et la raison domineront.

Je sais bien que ces gens là, n'ont pas de religion.

Celle du malheur, de la frustration.

Je connais l'Islam, je sais ce qu'elle prône.

J'ai entendu ce qu'elle sonne.

Ces gens là ne sont pas musulmans, ils sont simplement...

Un peu en manque de raison ? Un manque profond.

Je leur adresse toute ma haine et mon incompréhension.

Je ne peux me permettre de leur accorder de l'importance,

mes frères de France, sont morts !

Tragédie, et vie brisée, en cette soirée.

Alors je danse, je pense.

Je prie d'une unique république.

Tout reprend son sens, j'emmerde la violence.

Je répond aux imbécile, par le silence.

La pensée demeure, je décide, tout s'envole.

Je pleure à minuit.

Je crie dans l'Amazonie.

J'ai pleuré pour ma France.

Dansons ensemble pour elle, pour ces gens.

France, à travers le temps.

Mes hommages de tempérance...

Je hurle face à l'aberrance.

Français, Française, gens du monde entier...

Ecoutez, cette ritournelle du cœur.

Buvons là cette liqueur.

La liqueur de l'espérance.

Pour notre France !