Les Ailes Rouges du Paradis

Chapitre 5.

« Bonjour June » dit Chase en me voyant dans sa cellule accompagnée de Liotte.

Celui ce retourne vers moi, comme pour me demander comment Chase connaît mon prénom.

Je ne sourcille pas et reste normal, ce mec est tarée est risquerait de me faire virée.

« Kruger... commence Liotte, j'espère que nos chambre d'hôtel vous on plût.

- Eh bien, appart le fait que le matelas est dur comme du béton et que le voisinage est bruyant, je crois que ça va.

- Bien, les recherches sur le meurtre sont encore en cours, mais pour l'instant vous êtes le coupable n°1. Le lieu, l'heure tout correspond est à en voir vôtre casier judiciaire, vous n'êtes pas tout innocent non plus. »

Liotte avait dans sa main gauche le dossier de Chase, je ne savais pas qu'il avait déjà commis des délits. Mais bizarrement, sa ne m'étonne pas non plus, mais je serais curieuse de savoir ce qu'il a fait de mal.

« Vous savez Monsieur dit Chase, je ne resterais pas éternellement dans cette cellule, que vous le voulez ou non je suis innocent.

- Je ne veux rien du tout Monsieur, simplement des informations.

- Je vous ai déjà tout dit.

- J'espère pour vous. Pourtant, j'ai encore quelques questions à vôtre sujet.

- Balancez.

- Comment vous payez-vous tout cette drogue ? Ou même vôtre alcool ?

- Ma mère me donne un peu d'argent, et puis même si vous n'allez pas le croire j'ai travailler quelques temps en tant que militaire et j'ai un peu d'argent de côté. »

Lui militaire ? Appart le fait qu'il soit grand et carré en attitude il n'a rien d'un militaire.

« Ensuite continu Liotte, comment connaissez-vous le prénom de Mrs.Brush ?

- Liotte, ce n'était pas nécessaire dis-je tout doucement.

- Elle a raison dit Chase, ça ne vous regarde pas.

- Bien sûr que cela me regarde ! Commence à s'énerver Liotte.

- Arrête Liotte lui dit-je, le questionnaire est fini dit-je en m'adressant froidement à Chase. »

Je prend la main de Liotte et le traîne jusqu'à la sorti, il me regarde furieux comme si j'avais enlevé à un gamin son jouet.

« Et toi ? Tu peux me répondre ? Me dit Liotte, comment ce fait-il qu'il connaît ton prénom ? Tu sais j'espère que tu n'ai pas allée le voir pendant mon absence, j'espère que tu ne t'ai pas liée d'amitier avec lui, tu pourrais être virée !

- Liotte calme toi, je n'ai rien fait de tout cela !

- Alors dit-moi ce qu'il c'est passé ! »

Liotte s'énerve et je tourne la tête, nous sommes toujours devant la cellule de Chase et je peut voir à travers la fenêtre son sourire moqueur et mesquin. Quel petit con.

« Tout d'abord ça ne sert à rien de t'énerver, je connaît Chase depuis longtemps en vérité.

- Et tu ne pouvais rien me dire ?

- Tu m'aurait dit de ne pas venir ! J'attend d'assistée à un interrogatoire depuis que je suis arrivée ! A chaque fois je ne pouvais pas pour tel et tel raisons !

- Tu n'a pas tord, mais quand bien même ! Dit-moi comment le connaît-tu ?

- Je le connais depuis le collège, nous avons toute nos années dans la même classe.

- Ça va, ça aurait pu être pire... »

Je n'ose pas par finir par dire que j'en pinçais tellement pour lui, que j'allais jusqu'à chez lui pour lui mettre des mots d'amour dans sa boite aux lettres. Sinon, j'aurais pu parier que je ne verrais plus aucun interrogatoire.

« Tu sais, je viens d'avoir une idée, peut-être que de parler à quelqu'un qu'il connaît pour nous permettre de dégotée quelques informations, ça te tente ?

- Euh...Et bien pourquoi pas ?

- Très bien, tu va y aller maintenant alors.

- Maintenant ? Euh, ce n'est pas trop tôt ?

- Tu sais, tu doit simplement le questionner tu ne part pas en guerre !

- Je sais, dis-je en rigolant.

- Alors, je t'en prit ! Je resterais à côté de la cellule si il y a un problème.

- Merci. »

Je m'avance et ouvre la porte de la cellule de Chase, il est toujours assis et a toujours ce sourire malicieux. Je m'assoie sur la chaise en face de lui. Je ne le regarde toujours pas, je prend mon temps. Il est tellement intimidant et l'air est tellement oppressant. Je prend une grande bouffée d'air et j'arrive à prendre la parole.

« Désolé pour l'énervement de mon compagnon, mais on peut dire que vous l'avez cherché.

- Vous ? Tu n'a pas besoin de me vouvoyait, June tu es resplendissante.

- Chase arrête, tu n'a pas besoin de ça pour m'amadouer.

- Pourtant ce n'est pas ce que je fait, je dit simplement la vérité. Je ne pensais que tu allais me reconnaître.

- Je ne pensais pas que tu allais me reconnaître non plus, et tu a...tu a changé aussi.

- En bien ou en pire ?

- Est-ce que l'on peut dire que tu était déjà bien une fois ? Je savais que tu était un gars à problème mais pas jusqu'à en finir à la police.

- C'est vrai pourtant ça ne t'a jamais déranger quand tu m'aimais. »

Je rougis et je ne sais plus quoi dire, mon cœur bat la chamade. Je sens mes joues rougir, et son regard sur moi devient plus oppressant.

« Qui a dit que je t'avais vraiment aimait ? Lui dis-je

- T'es cartes d'amour bien sûr, et puis je ne pense pas qu'une fille se mette en couple avec quelqu'un quel n'aime pas. »

Quand il prononcent cette phrase je pense directement à Mark. Si malheureusement quelque fois, sa peut arriver.

« De toute façon on était au collège on était des gamins, et nos sentiments n'était pas réciproque alors oublie, lui dis-je en restant froide.

- Qui t'a dit que tes sentiments ne sont pas réciproque ? »

C'est bon, je me sens mourir.