Chapitre 2

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Mon père me suiva dans ma chambre pour prendre deux valises, je lui dis tout doucement sans que la plante verte me regarde mal:

- est ce que ta copine peut nous aider où elle préfère nous regarder ?

- oui, c'est vrai je l'avais oublier, mon amour tu peux venir nous aidez s'il te plait, dit-il en criant

- papa, pas besoin de crier aussi fort elle est à 20 mètres de nous même pas...

Je regardait plante verte ce plaindre et attraper deux valises pour les faire traîner jusqu'à la voiture

- Allez GO papa, faudrait bien qu'ont y aillent pour ne pas rater l'avion, non?

- oui ma puce tu as raison, let's go!!!

Il partit à une vitesse, j'ai cru que c'était un coup de vent.

Je descendis et fis un gros bisou à ma mère en lui disant:
- repose toi bien ma maman que j'aime

Elle me fit un grand sourire et avec sa voix douce elle me dit:
- merci mon cœur, oublie pas de m'appeler et de venir pour les vacances si tu as le temps, je t'aime mon bébé

Je lui refis un énorme câlin avant de sortit de la maison pour aller dans la voiture de location, que mon père avait loué pour venir me chercher et de dire bonjour à ma maman d'amour qui va tellement me manquer...
Une Kangoo la voiture, tu m'étonnes, il l'avait bien choisi celle-là, vu le nombre de valise que j'ai...

En y pensant je laissa des goûtes tomber de mes yeux.
- ceinture mon poisson on y va!!!

- oui oui c'est bon je l'ai mise on peut y aller maintenant, dit-je entre deux sanglots.

Mon père m'entendu pleurer et compris qu'il devait me laisser pour je puisse digérer ces adieux douloureux.

On avait bien trois heures de route avant d'y arriver. Je regardais le paysage avant de sombrer dans un profond sommeil interminable.

Rêve:
J'étais arriver près d'une cascade avec de l'eau turquoise et du sable fin. Je pouvais sentir l'odeur de la forêt qui venait me chatouillée les narines, il faisait beau environ 38 degrés mais cela était bizarre vu qu'on était au mois de novembre...
Je mis mes pieds dans l'eau en sentant l'eau chaude sur mes pieds gelés et c'est là que je sentis une boule de poil me collée au dos. Je me retourna et vis une sorte de gros chien, mais pas un adulte un bébé blanc au yeux noir profond, il avait l'air humain mais il ne me faisait pas peur. Je le pris dans mes bras et lui fit pleins de petit bisous.
Je sais pas ce qu'il m'a prit mais j'ai eu directement confiance en cette petite bête toute mignonne.
Le petit dans mes bras avait l'air d'être surpris et il sait détendu tout le long  de mes carrèces.
Tout d'un coup un hurlement se fit entendre, je sursauta et le petit se mit à trembler.

Je fus réveillée par mon père qui me disait qu'on était arrivé à l'aéroport.
J'aurai donné n'importe quoi pour que cela continue....

Âme Blanche Où les histoires vivent. Découvrez maintenant