INFECTED

Chapitre 3 : Tout pour survivre

Les provisions sont terminées , il ne nous reste plus qu'à trouver de l'essence pour pouvoir aller le plus loin possible et se rapprocher de notre destination , mais la station service la plus proche se trouve à l'entrée de Philadelphie. C'est beaucoup trop risqué pour moi et oncle John et nous ne pouvons pas juste voler une autre voiture car celle que nous avons est équipée pour la "situation" dans laquelle nous nous trouvons : c'est un 4x4 sur lequel John a fixé un chasse-neige sur le pare choc avant , croyez-moi lorsque l'on croise des infectés sur la route c'est vraiment util. Quoi qu'il en soit la seule solution qu'il nous reste est de siphonner un maximum d'essence dans les réservoirs des voitures abandonnées. Mais cela reste quand même dangereux , les infectés sont partout vous ne les entendez et ne les voyez pas mais eux si, Lors de la mutation les sens se développent , ils peuvent sentir l'odeur du sang a plusieurs mètres et entendre le son de votre respiration qui s'accélère lorsque vous avez peur , leur seul point faible c'est la vue , leur vision est obscurcie par la propagation du virus. Leurs yeux deviennent grisâtres et leur vue baisse progressivement , et avec les infectés dés l'instant ou vous savez que vous avez un avantages sur eux , il faut savoir l'utiliser au mieux pour survivre.

Après avoir marchés pendant plus d'une heure et avoir rencontrés quelques infectés sur notre chemin , nous trouvons enfin un groupe de voitures abandonnées lors de l'évacuation des villes. Je laisse oncle John s'occupé de l'essence et moi je surveille les environs et fouille quelques voiture afin de trouvé quelque chose d'util comme des médicaments , des munitions ou des vêtements. La plus part des voitures avaient encore les clés sur le contact , dans les coffres il y avaient des valises avec du linge mis en boule...les gens on vraiment été prient par suprise cette nuit la. "BAM" << qu'est ce que c'était?>> je monte sur une voiture pour avoir une meilleure vue , je vois bouger au loin , puis des cheveux apparaissent derrière une voiture , à ce moment la je me pose beaucoup de questions : << Est ce que c'est un humain ?>> ; << A t-il trouvé un endroit sur où ce réfugier?>> ; << y at-il d'autres personnes avec lui?>> Mais sa bouche décharnée et dégoulinante de sang ne m'on plus laissées aucun doutes , <<c'est un infecté!>> Mon oncle est assez loin et je ne peux pas prendre le risque de signaler notre présence en criant pour le prévenir , je prend donc mon arc et vise la tête de l'infecté mais c'est aussi à ce moment la que je me pose beaucoup d'autres questions : lorsque mon doight retient la corde qui fera partir la flèche dans la tête de cet inconnu <<peut-être qu'il a de la famille qui l'attend quelque part et qui se demande s'il va bien >> ; << était il quelqu'un de bien lorsqu'il était encore humain? >> ; << A t'il conscience de ce qu'il est en train de vivre ? >> Mais trop tard la flèche était déjà partie. De toute façon quoi qu'est pû être le passé de cet homme , il n'y a q'une seul réponse à toutes ces questions << cela n'a plus d'importance >> . Je jette un dernier coup d'œil , Il n'y a personne d'autre , je récupère ma flèche et je rejoin John , il a réussi à remplir deux bidons d'essence pendant mon absence :

- << C'est génial oncle John , avec ça on va pouvoir atteindre rapidement notre objectif >>

- << Oui il est vraiment temps que l'on partent d'ici , et toi de ton côté tu a trouvé quelque chose d'interessant?>>

- << Non , j'ai récupérée quelque vêtements mais je ne crois pas que les gens aient euent le temps de prendre des médicaments >>

- << Très bien , met les dans la voiture et allons-y . A aufaite Aria , tien c'est pour toi . Joyeux anniversaire >>

il me tend une boite grise avec des contours dorés , je l'ouvre et découvre un magifique bracelet argenté je le met tout de suite autour de mon poignet.

- << il appartenait à ta mère quand elle était jeune , je me suis dit que ça te réconforterais de l'avoir >>

- << Merci beaucoup oncle John ! C'est le plus beau cadeau que tu puisse me faire >>

je le serre un instant dans mes bras pour le remercier encore puis nous reprenons notre route jusqu'au prochain arrêt. Pour la première foi je pars avec le sourrire.