One piece :Le fruit de la vie

Chapitre 3

Points de vue de Ria :

Je bats des paupières, et vois le plafond d'une salle, bizarre je ne me rappelle pas être entré dans une pièce. J'ouvre grand les yeux et me lève d'un bond. Je me trouve dans une chambre tout ce qu'il y a de plus normal avec un lit,une armoire,une chaise et une table sur laquelle se trouve des flacons qui doivent être des médicaments ou quelque chose du genre.

La porte de la pièce est légèrement ouverte laissant passer quelques rayons de soleil.
Sous moi, je ressens le ballonnement irrégulier de la mer, je suis donc sur un bateaux. Une conversation à l'extérieur parvient à mes oreilles, sans doute mes hôtes.

Point de vue de Ussop :

Ah c'est pas vrai, je n'arrive pas à construire ma nouvelle arme. J'ai pourtant eu une super idée, mais je n'y arrive pas avec tout le vacarme des autres.

Zorro et Sanji se disputent.
Luffy mange de la viande bruyamment.
Brook joue de la guitare.
Franky montre ses nouvelles armes à Chopper qui est en extase devant lui.
Nami est à la barre et gronde Zorro et Sanji.

La seule à ne pas faire de bruit c'est Robin qui comme à son habitude est en train de lire.

Je me replonge dans mon arme. Je ne leur en veux pas, après tout ils sont comme ça.

?-Pourriez vous faire moins de bruits, s'il-vous-plaît. J'ai mal à la tête.

Tout l'équipage s'est tourné vers la voix. L'inconnue est sur le palier de l'infirmerie, ses cheveux rouge flotte dans le vent, et ses yeux dorés nous fixe, intrigué.

Point de vue de Ria :

Cet équipage n'est pas nombreux mais il est différent des autres. Ça se voit au premier regard. En même temps avec un raton laveur, un squelette, un robot, un garçon au long nez, deux filles, un garçon portant un kimono, un autre au sourcils en vrille et un dernier avec un chapeau de paille, ça ne peut pas être un de ces équipages parmi tant d'autres.

Ils ne se démarquaient pas que par leur apparence mais aussi par l'aura qui se dégagent d'eux.
Le raton laveur interromp mes pensées.

?- Est-ce que ça va, tu te sens mieux ?

Moi - Oui à part une affreuse migraine, tout va bien.

?- Ah, je vais aller te chercher tout de suite de quoi la faire passé.

Il est partit en direction de la salle où je me trouvais juste avant. Je me suis approché de ces compagnons. Le garçon au chapeau de paille prit la parole.

?- Salut, moi c'est Luffy, et je suis le capitaine. Comment t'appelle tu ?

Moi - Ria.

?- Bonjour, je m'appelle Nami. Laisse moi te résumé la situation. Nous t'avons trouvé dans l'eau il y a quatre jours et Chopper notre médecin a veiller sur toi jusqu'à ce que tu te réveille.

La fille qui me parlait à les cheveux longs et roux. Elle m'a l'air très sympathique.

Moi - Je vous remercie de m'avoir repêché.

Sanji - Tu n'as pas à nous remercié, c'est tout naturel, Ria jolie.

Je ne pu m'empêcher de rire intérieusement à ce surnom ridicule que le garçon au sourcils en vrille m'a donné.

Nous avons continué la journée en discutant, et grâce au médicaments de Chopper mon mal de tête est partit.

Franky - Ria, j'aimerais savoir pourquoi tu étais inconsciente dans la mer.

Je m'attendais à ce qu'ils me posent la question. J'avais donc déjà réfléchi à la réponse.

Moi - Et bien, mon bateau à couler et j'ai dû perdre connaissance.

Franky - C'est dangereux de naviguer seule sur GrandLine, heureusement qu'on t'as trouvé avant les monstres marins.

Moi - Effectivement, et je vous en remercie encore.

Bon ma réponse n'est pas fausse mais je n'ai pas tout dit, en même temps je viens juste de les rencontrer je ne peux pas leur faire confiance tout de suite. Mon bateau à vraiment couler, mais pas tout seul. Il a été couler par des navires de la marine et j'espère ne pas les revoirs de si tôt.

Après maintes discussion, j'ai réussi à m'entendre avec tout le monde, mais j'ai l'impression que Robin est distante envers moi. Il est vrai que je suis arrivé de nul part, il y a de quoi se poser des questions.

La nuit est tombé rapidement et nous sommes tous partis nous coucher. Je partage la chambre des filles, Nami est ravie et Robin n'affiche aucune expression. Il va falloir que je discipe ses doutes, mais comment faire sans lui mentir ?

Une fois les filles endormies, j'ai quitté la chambre pour aller sur le pont, il faut que je prenne l'air.
Je me tiens à la rambarde et regarde l'océan.

Flashback

La mer était déchaîné, de violentes bourrasques de vent poussaient le navire loin des côtes de l'île qu'il venait de quitter. À son bord se trouvait une fillette qui n'était jamais partie de son île natal. La fillette avait peur mais ce n'était pas cette émotion qui avait pris le déçu, c'était la tristesse.

Elle pleurait.

Elle pleurait la perte de sa famille, de ses amis et de son chez soi qui n'existait plus.
Mais par dessous tout du destin cruel qui l'attendait.

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Bonne année à tous.