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*Mdlgmtmtmzms'gg'snd'gl. Excusez-moi, la photo n'a rien à voir avec le contenu du chapitre mais j'aime tellement Nash dessus !! Bref ! Bonne lecture p'tites guimauves ( c'est quoi ce surnom ? )*


•••



Ce baiser nous réchauffe, mais est insuffisant pour Nash. Je le sens, il en veut plus.
Il rapproche nos corps -si ça n'est pas au maximum- tout en caressant ma langue avec la sienne, je pose délicatement mes mains sur sa nuque pour intensifier ce baiser si bon, si exquis, si langoureux.

A bout de souffle, on s'arrête.

_Dans ta chambre ou ici ? Me demande-t-il.
_Là-haut, dis-je impatiente de désir.

A ces mots, il attaque mes lèvres durement comme un gâteau plein de crème onctueuse.
Il positionne mes jambes autours de ses hanches et monte à l'étage sans séparer nos corps si chauds, si excités l'un de l'autre.
Il ouvre la porte de ma chambre, me jette sur le lit sauvagement en essayant d'enlever mon pull qui est en trop dans la situation.
Je l'aide à le retirer et je lui ôte son pantalon vivement en lui laissant son boxer dans lequel il est si serré.
Je le veux en moi, tout entier, qu'on se donne corps et âmes, en oubliant le passé. Je m'en contrefous qu'il voit mes cicatrices, tout ça n'est qu'un détail.

Le plus important est qu'on passe un bon moment.
Nash me regarde de haut en bas avec un sourire aux lèvres qui sous-entend tout.
Je porte uniquement une culotte, mon soutif -légèrement transparent- est par terre aux côtés des vêtements de Grier.
Je ferme les yeux en sentant les lèvres pulpeuses de ce dernier sur ma clavicule.
Je sens son souffle s'approché de mon oreille et me murmure :

_J'ai vu tes cicatrices.... On en parlera plus tard mais la on profite babe.

*
Oui mais non. J'ai pas l'intention qu'on en parle. Autant avec Liam je peux tout lui dire mais avec lui, c'est tout simplement impossible !
Il n'a pas à savoir pourquoi je fais ça.

*

Je descend doucement ma main vers son engin en le caressant à travers son boxer.
En le prenant en main, je suis surprise par la grosseur qui, d'après mes souvenirs était plus petite. J'entame de lents va-et-vient, il gémit.
Son souffle est saccadé, ses yeux sont fermés, les ouvre pour me regarder, enlève ma main droite et embrasse chaque parcelle de mon visage, en descendant au cou, et me mordillant le lobe d'oreille, tout en me chuchotant un
"Tu es si bandante, si trempé pour moi"
Très fin, j'aime beaucoup. Grier a toujours eu un don d'être dans une finesse absolue pire qu'un fils dentaire.

Notez le sarcasme.

Il rapproche sa tête de mes seins prend en un dans sa main gauche et suçonne la peau, je gémis à mon tour.

Sans m'en apercevoir, il enfonça deux doigts dans ma chatte, il me pompe tout en marquant la vallée de ma poitrine
-quasi inexistante- et le reste de ma peau pleine de bleus et de cicatrices avec des traces rougeâtre tirant même sur le bleu.
Mon dos se arque à son toucher électrique, mes poils s'hérissent, mes gémissements résonnent dans la pièce dans laquelle nous sommes, mon souffle, lui, est saccadé, rapide, le sien se repose sur mon point sensible.
Je suis à peu de la jouissance, je crois même qui lui aussi est proche malgré le fait que je ne lui fasse rien.

Mon Dieu, j'aime ce que peuvent me procurer ses doigts sur moi, la façon qu'il a de me rendre folle d'ardeur.
C'est aussi dans ces moments là que j'aime mon ami l'alcool ! Il te décontracte, tu n'est pas coincé avec un string dans l'cul.
Sans lui, jamais je n'aurai, moi, sobre, sans alcool dans le sang, embrassé Mr-Yeux-Bleus et encore moins le supplier de ma baiser !

Après mon orgasme limite partagé avec celui de Nash, on s'arrête.
Il se place à mes côtés, sans me lâcher du regard. Il se tourne vers moi et me dit :

_J'me rappelais plus que tu étais si chaude avant.
_J'ai mûris, lui répond-je avec désinvolture.

En même temps, comment je pourrais être chaude alors que j'me faisais violer ! Il est con lui.

_J'ai des capotes, lance-t-il.

C'est clair, il a très envie d'me prendre, et à voir la grosseur de son membre, j'en suis sûr à 99,9%, parce que la probabilité qu'il pense à une actrice porno en ce moment même est de 0,01%.

-Nan ta gueule Aggie, les maths c'est ni pour toi ni pour moi et surtout maintenant. Donc ferme-là-

_Et j'prend la pilule.
_Pourquoi ?
_Si jamais un mec me violerais, encore...., en murmurant le dernier mot.

Je tourne ma tête pour admirer le beau
-non degeulasse - visage de Nash et me perd dans des pensées obscènes.

_Tu penses à quoi , déclare Brundinet avec un sourire aux coins de ses lèvres si sales.
_À rien, dis-je en essayant d'être la plus convaincante possible.
_Tu me dévores des yeux en mordant ta lèvre, alors dis-moi à quoi tu penses.

Il se moque de moi. Son sourire est pervers, malsain. Je secoue la tête et le regarde dans les yeux.

_Et bien j'me disais que c'était à ton tour. Je le regarde envieuse.
_À mon tour, hum.

Je me place sur lui, plus exactement sur sa bosse proéminente, lui déposant un baiser au creux de sa mâchoire et descend petit-à-petit avec le sourire en coin. Je prend un malin plaisir à le faire attendre, j'aime me faire désirer et le rendre totalement dingue !

Oui j'ai mon côté sadique psychotique qui revient à la surface dans ces moments-là. Et puis faut bien que je me vange pour tout ce qu'il m'a fait !
Pour vous avouez, au début je pensais à lui mordre sa bite mais j'ai retiré cette idée meurtrière de ma cervelle. J'ai pas envie qu'il porte plainte ! Vous imaginez :
"Aggie Chelsea, vous êtes arrêté au nom de la loi pour avoir commis un crime sans pitié ! Vous avez mordu la bite de votre partenaire lors d'un rapport sexuel !"

Eurk ! J'ai pas envie d'passer ma vie en prison pour une teub et des couilles molles ! Et imaginez les flics découvrent mes faux papiers que j'utilise pour m'acheter de l'alcool et qu'ils fouillent ma maison ! Ils pourraient tomber sur ma cam' ! Hors-de-question !

Enfin bon, j'entame des vas-et-vients provoquant des gémissements de la bouche de Nash.

_Su.....suce-moi putain.....

Il est pressé comme un citron lui !

_Impatient à ce que j'vois, dis-je en rigolant à la vue qu'il me donne.

À sa demande, j'approche mes lèvres de sa queue, caresse à l'aide de mon pouce son gland rosé et gonflé.

Je prend ce dernier en bouche et enfonce le reste.

_Oh putain.....,lance-t-il dans un soupir.

Il bascule son bassin vers moi pour je pense plus de plaisir mais ce qui me donne un haut-le-coeur en le sentant dur au fond de ma gorge.

_Tu fais ça ..... hum.... tellement bien....

D'après ce que j'ai compris, et à voir sa tête je lui taille bien la pipe.
Je continue mon action en accélérant le rythme. Je donne de petits coup de tête de haut en bas tout en glissant ma langue sur sa longueur.
En entendant ses couinements -sérieux, on dirait un chaton- s'échappant de sa bouche, j'ajoute mes mains pour lui masser les boules.
Je retire mes lèvres enflées de sa bite en le pompant durement et rapidement.

_Je....Je vais venir....

À ces mots, en le voyant à la limite de son apogée, je reprend son membre en bouche pour avaler son sperme chaud et salé que j'ai mainte et mainte fois gouté.

Tout doucement, il reprend sa respiration en ne me quittant pas du regard, me laissant se perdre dans ses si beaux yeux bleus.




•••

J'vous préviens le prochain chapitre est en cours donc l'attente va être longue sorry !

J'vous aimes quand même, encore plus si vous votez et commentez ! mdrrrrr.

DITES MOI TOUT BANDE DE COQUINE !
Faut vraiment que j'arrête de violer les majuscules moi. 🤔😐

Scars - HS Où les histoires vivent. Découvrez maintenant