Puis, ta chair souveraine
Me brave, soutenu.
Debout devant l'arène,
Je te pressens, cornu.Lentement, tu t'avances
Fébrilement, en douceur.
Agrippé, tu commences
Conduis l'ébat sans heurt.Tes odeurs enivrantes
Respiration hachée
Me pétrissent, attirantes
Nos vertus transcendéesL'organe pulse en cadence
Réduit nos alentours
S'enflamme, divine errance
Au point de non-retour