Chapitre vingt six - « Je suis tienne»

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Point de vue d'Harry Styles.

La brune dormait tranquillement dans ma chambre tandis que je faisais les cent pas dans le salon.

Ce connard allais payer, il aurait dû payer bien avant, il n'aurait même pas dû poser ses yeux sur elle, aucun autres homme en a le droit.

Je passais ma main dans mes cheveux pour la millième fois aujourd'hui, mon coeur battait encore la chamade et ma mâchoire ne se dé-serrais pas m'en faisant presque mal.

Plusieurs questions se posais dans ma tête, bien que l'une d'entre elle soit une évidence. Tout d'abord, la première:

Comment allais-je m'y prendre pour tuer cet enculé qui a osais la toucher ? Le tuer d'une balle dans la tête ne serais pas assez douloureux. Il faudrait que je l'attache le dé-membre et le fasse brûler.

Je ne résistas pas et envoya un coup de point dans le mur.

Habituellement, je me serais mis en colère, les voix m'aurais ordonné d'aller jusque là-bas, et de l'assassiner. Mais les voix on était remplacer par une choses bien plus forte qu'elle, cette fille a juste a entrer dans mes pensées pour que les voix ne sois que de ridicule murmure.

Cette fille a vaincue ces putains de voix avec lesquelles je luttais depuis si longtemps. Et c'est ce qui sonne comme une évidence pour moi.

Elle a se caractère que personne n'ose avoir avec moi, elle se fiche du fantasme "badboy" qui pourrais assouvir le désires sexuelle d'un millions de filles sur terre, il n'y a qu'elle qui m'intéresse, j'ai le besoin constant de rester près d'elle, de la protéger, c'est autre chose qu'avec les autre, ELLE ne se rapporte pas à une simple histoire d'un soir, elle est bien plus, je ne pourrais pas décrire ce sentiment, parce que je ne le connais pas.

Mais je suis pratiquement sur qu'on appel ça de l'amour.

Je suis éperdument amoureux d'elle.

Et merde je ne devrais pas être celui qui tombe, un mec comme moi ne dois pas aimer, je ne suis pas apte à ça. Je ne veut pas être le maillon faible, je veut être celui qui gère la situation, pas celui qui perds le contrôle à cause d'une femme.

Et pourtant je l'était, face à elle je n'était rien, j'étais complètement à sa merci désormais.

J'aurais aimer penser à elle plus longtemps mais les pensées d'elle un peu plutôt me sont revenu et j'ai renvoyé un coup dans le mur.

"Harry"

Sa voix était si douce mais quelque peu enrouée. Je me suis retourné et elle m'apaisa presque automatiquement.

"Tu n'as pas dormi"

Elle a hochait la tête de gauche à droite en baissant quelque peu la tête.

"Il t'a encore fait pleurer?" Elle ne répondis pas "Il t'as encore fait pleurer" ai-je hurlé.

À ma plus grande surprise, elle a relevé la tête et s'est approché de moi. J'ai cru sentir mon coeur se tordre lorsque ses mains se sont posé sur ma nuque.

"Shh" a- t-elle doucement alors que je me laisser attendrir par la douceur de ses yeux qui me regardais. "Tu n'as plus à porter une quelconque importance à cette homme, je suis là et je suis tienne, -" Elle fit une courte pause avant d'embrasser mon cou, m'envoyant une décharge électrique. "Seulement la tienne, je n'ai appartenu à personne, mais désormais tu es celui qui tient le gouvernail de mon destin."

Elle s'est approché de moi et m'a embrassé. Lorsque nos lèvres se sont détachée j'ai souris.

"Commande à ma voilure."

Elle a fronçait les sourcils. "Pardon ?"

"Mais que celui qui tient le gouvernail de mon destin commande à ma voilure, c'est shakespear."

Sa bouche a formé un "O"

"C'est impossible, tu ne peut pas me citer du shakespear."

J'ai embrassé ses lèvres avant d'attraper le derrière de ses cuisses et de l'emmener jusqu'à la cuisine avant de la positionner sur le meuble.

Mes mains ont trouvé ses cuisses pendant que je demandais accès à sa bouche, qu'elle me donna.

Ma langue dansait avec la sienne, tandis que ses doigts tirais mes cheveux, m'excitant d'avantage.

M'attirant vers elle, j'approfondis le baisé alors que la température commençait a monter. Je sentais déja la bosse se formais dans mon caleçon.

Elle retiras ses lèvres des miennes tandis que j'attaquais son cou de multiples suçons.

Le désir de la toucher devenait plus fort que moi, alors que je l'entendais gémir, je me contenait de ne pas lui faire sauvagemment l'amour avec ce qu'elle venait de subir, et je m'autorisa seulement a poser sa mains sur sa cuisse.

Mes suçons devenait de moins en moins rude, essayant de me calmer, je reprenais mon souffle exactement comme elle.

Elle s'aggrippa une nouvelle fois à moi m'entrainant dans un câlin.

"Harry ?"

"Hm?"

"Pourquoi m'as-tu emmené ici ?"

J'ai sortit la tête de son cou.

"Pardon ?"

"Pourquoi m'as tu enlevé ?"

J'ai soufflé. "Je ne peut pas te le dire."

"Bien sûre que tu peut!"

"Non Laura je ne peut pas !" Ai-je aboyé.

"Réponds au moins à l'une de mes questions !"

"Non !" Ai-je une nouvelle fois aboyé.

Je me suis séparé d'elle la laissant ainsi seule dans la cuisine. Je suis mont dans la chambre et me suis installé dans le lit, son odeur résidait encore sur les draps.

J'ai sortit mon téléphone de ma poche et j'ai composé un numero que je connais très bien.

"Carly ? Tu es libre ce soir?" "Bien, je serais chez toi à 22h"

J'ai raccroché et je suis descendu.

"Bébé prépare toi, je pense que ça te ferais du bien de voir quelques filles."

"Comme qui?"

"Surprise!"

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HELLO, donc encore une fois désolé pour le retard mais j'écris quand j'ai de l'inspi + sorry pour les fautes aussi, j'ai le clavier anglais donc qque fois ça me trafique de mot et j'ai vraiment la flemme de corriger 😁😁

Bien que j'espère que ce chapitre vous auras plus.

Je vous souhaites de bonne fêtes de fin d'années et je vous souhaites le meilleurs du monde🎁🌲

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SICK (VF) H.SOù les histoires vivent. Découvrez maintenant