Chapitre 3.

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Bon me voilà arriver près du la petite brasserie où je lui ai donner rendez-vous et je vois au loin qu'il parle avec une personne, cette personne me semble pas inconnu. Plus j'avance et plus j'angoisse, il était là habiller comme une personne normale on ne dirait absolument pas qu'il est un boxeur redouter de tous non.

Lorsqu'il m'aperçoit, il me détaille de la tête au pied mais je remarque qu'il s'arrête particulièrement sur toutes mes cicatrices mais bizarrement elle ne semblent pas l'effrayer au contraire elles l'intéressent . Arrivée à sa hauteur je lui tends ma mains et il semble très surpris de mon geste mais il la serre tous de même, son toucher me fit doucement frémir et lui aussi d'ailleurs, mes mains étaient minuscules comparées au sienne en même temps je ne mesure qu'un pauvre petit mètre soixante alors.. Je m'installai donc assez mal à l'aise face à un homme très intimidant comme lui. Soudain le garçon qui me paraissait si familier vint à notre table et je le reconnu aussitôt.

????? : Nollaig ?! Mais tu n'es pas journaliste ? Et ques que tu ?

Moi : Malo.. Non bien sur que non on est ensemble à la fac, je dois aider Ashling et toi que fiches-tu ici ?

Malo : oh.. Moi en-dehors de l'université je suis le manager de mon meilleur ami le grand boxeur Hatred !

Moi : ah je comprend mieux.

Hatred : je vous dérange peut être ? Dit-il nerveusement.

Mais que lui prenait-il ?

Malo : calme mec c'est une bonne amie d'université je te la laisse. Dit-il avec un clin d'œil à son ami avant de partir. À plus Nollaig !

Moi : bien on peu commander et je vous poserai les question en même temps ?

Hatred : sa me va.

Nous comandâmes donc nos plat, lui avait pris un énorme plat alors que j'avais simplement pris une salade.. Je sortis mon ordinateur et il vint s'assoir à côté de moi, notre proximité me gênait sa peau frôlait la mienne. Je commencai à lui poser des questions sur sa carrière, il répondait très bien à mes question il expliquait correctement et s'y impliquait mais lorsque se fût le tour des questions sur sa vie privée il se renfermait alors j'essayai de ne pas être trop brusque mais je devais suivre les questions d'assigner et elles étaient très personnelles.

Moi : votre passion est-elle dû à votre passé ?

Lui : oui.

Moi : et.. Pourquoi votre nom de scène s'appelle Hatred ? Qui signifie la haine ? Posais-je calmement.

Lui : parce que j'ai la haine, la rage j'ai un besoin inévitable de vengeance. Admit-il en baissant le regard dans le vide avec une pointe de colère.

Sur le moment je me fichais de l'interview, je voyais que c'était plus une confidence qu'une réponse à la question. Une profonde blessure le rongeait de l'intérieur et il était en pleine détresse, son regard était vide de toute émotion. Mon côté protecteur prit place j'avais envie de l'aider, mais comment je ne le connais pas.. Et il ne me fait sûrement pas confiance. Je posa donc doucement ma main sur son menton pour relever son beau visage meurtri par une douloureuse plaie s'étant ouverte à nouveau à l'intérieur de lui. Son regard s'encra en moi.

Moi : on a tous nos propre problèmes et on les refoulent chacun à notre manière, comme toi. Se que tu as vécu tu le garde au plus profond de toi sous cette épaisse carapace que tu t'es former pour que personne ne le sache. Tu refuse la pitié et tu souhaite prouver que cela te passe au-dessus mais tôt ou tard cette blessure remontra à la surface et tu devras lui faire face et je te garanti qu'à se moment là tu ne voudras en aucun cas être seul.

The marked face.Où les histoires vivent. Découvrez maintenant