s e v e n t e e n

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Saluuut!
Alors, plusieurs changements a partir de ce chapitre, notamment le noms des chapitres, les points de vus, maintenant indiquer par un simple prénom, les éclipses, maintenant trois simples asterix (*), les messages, maintenant presenté différemment, les appels différemment aussi, et les dialogues.

Voila, juste pour vous prévenir rapidement, et désolé pour ces changements si soudains. Je vais aussi modifié les autres chapitres, pour qu'ils soient mis à jour, pour ressembler a celui la et aux prochain.

Bonne lecture.

Cameron.

On était a mis-chemin, quand mon portable vibra.

- Oui, allo? dis-je en collant le téléphone a mon oreille.

- Cameron, tu vas bien? me demanda mon père d'une voix inquiète.

- J'ai un poignet brisé, et je vais me faire opéré dans 3 jours, mais ca va, dis-je d'un ton sarcastique.

- Excuse moi, je n'ai pas pu me libéré a temps, s'excusa-t-il. Tu as la force de sortir ce soir?

- Pourquoi? demandais-je.

- Suprise! Alors? réessaya-t-il.

- Hm.. Ca devrait allez, dis-je.

- D'accord. Marina à du poser ta tenue sur ton lit, me dit mon père.

- Attend attend, Marina? demandais-je, confuse.

- Une femme de menage/assistante que je viens d'engager, me repondit-il. J'ai eu une très grosses prime, et disons que je me suis fait plaisir. Bon je te laisse, a tout a l'heure! me dit-il avant de raccrocher.

Je décolla doucement mon cellulaire de mon oreille et le remis dans ma poche.

Après 1o minutes, on arriva chez moi.

- Bon, on est arrivé, C, dit doucement Nathan.

J'ouvris la portière, puis me ravisa et me tourna vers lui, posa mes mains sur sa nuque et l'attira vers moi, pour l'embrasser. Il enferma mon visage dans ses mains, et approfondit notre baiser.

On se retira l'un de l'autre, a bout de souffle.

Je lui arracha un petit sourire, et lui susurra un simple "- Je t'aime" à l'oreille, avant de sortir et m'aventurer dans ma maison.

Une bonne odeur de pancake se fraya un passage dans mes narines.

Je courus a la cuisine et tomba nez-a-nez avec une femme assez fine et grande, avec un tablier au tour de la taille.

- Oh! Vous devez être Cameron, conclut cette dernière après m'avoir examiné.

- Et vous Marina? demandais-je.

- Exactement! Je vous ai poser votre tenue sur votre lit, me dit-elle. Votre père a fait acheter ces vêtements pour vous.

- D'accord, merci, Marina.

Je commença a monter les escaliers, et m'arrêta.

- Marina? demandais-je.

CameronOù les histoires vivent. Découvrez maintenant