•Une Vie Banal À La Cité•

1.l'aventure commence

Il est 18:05, la sonnerie du lycée retenti enfin, Sira et moi, on s'empresse de sortir et comme d'hab de rentrer a la cité...

Je vais vous faire un ptit récapitulatif ; ma cité est composé de 4 grands bâtiments et d'un bâtiments qui entoure la cité comme un muret, dans cette cité
Il y'a que 2 entrée (en mm temps de sortit hein) Entrée nord et sud. La Sortie sud mène a 3 grandes avenues: la rue des soucis, l'avenue du boulevard et le boulevard du vaillant couturier, c'est trois rues mène toute a mon lycée mais pour accéder a la cité, il faut passé par l'entrée sud. Cette même entrée est gardé jour et nuit par une vingtaines de gars chelou, bourré, ect... Donc on ne passe jamais par là bas.

Derrière le lycée, il y'a une ruelle longé de maisons qui servent de squats au gars de la cité, seuls les plus thugs de la cité (a l'évidence nous) on assez de folies pour passé par cette ruelle qui mène a l'entrée nord de la cité. Bref, on est passé par cette ruelle, bah ouais on est des thuglife nous mdrrr, au fond de la ruelle on pouvait distinguer une silhouette. Plus on se rapprocher, plus on entendait des cris qui raisonné dans toute la ruelle. Arrivé a moins de 10 m de cette fameuse silhouette, et a pût reconnaitre le visage de Demba:un thug de la tess, 23 ans, toujours bourré et shooté depuis la mort de sa mère ( allah gana néma), malien. Il était sur une meuf inconnue, jlavais jamais vus. Il lui crié dessus en la frappant. Sira m'a serré le bras et m'a fait signe de la tête de partir. Mais comment pourrais-je partir en laissant Demba s'acharner sur cette femme, dans cette ruelle où personnes ne passent ? Je les fixait

Demba- vous voulez quoi ?

Moi- .....

Demba- continu ton chemin.

Moi-......

Demba- t'est sourde ou tu veux que je monte en l'air ?

Moi- ......

Sira- vien on y va .
On commence a avancé quand..

Meuf- svp ne partez pas ...

Demba- ftg sale p***

Cette voix ma briser le coeur, elle était apeuré face a lui et personne ne venait l'aider. Non Mariam tu peux pas l'abandonner... J'ai fait demi tour et j'ai fait la chose la plus stupide du monde et sûrement la plus suicidaire de l'univers; Demba était de dos, je lui ai mis un coup de pied qui l'a propulsé de l'autre côté du trottoir,me laissant le temps de relever la leur et de courir. Sira était derrière moi, on a courut en direction de la cité, là bas on aurait un endroit où se cacher mais le plan a échoué. Demba s'est mis a courir et a surgis de nul part devant nous. A ce moment la j'ai demandé intérieurement : Ya Allah, donc s'est notre destiné de mourir, dans cette ruelle. Sans que nos corps ne puissent jamais être retrouvés. Sauve nous, O Ya Rabi, toi qui est notre seul sauveur. A la fin de cette pensé une larme a coulé sur ma joue, j'ai vue Demba sortir un couteau avec un sourire pervers,

Moi- Sira pardonne moi d'avoir causé ta mort !

Mes yeux était remplis de larmes, qui m'empêcher de voir nos destins funestes...
Soudain (mdrrr vla la péripétie), un homme est apparu de nul part avec son chien, fessant fuir Demba. On a tous poussés un soupir et avons remercié cette homme de nous avoir sauvé, et donné louange a Allah car en réalité c'est lui qui nous a sauvé. Par la suite nous somme chacune rentré chez soit...