Songe Réel

Ancien Rêve Indien

Une jeune femme a la peau mate, au long cheveux noir brillant et aux yeux profond courais dans le vent, on aurais dit qu'elle volait.

Je commençais a courir après elle tout en veillant a ne pas me faire mal.

Je la rejoignis et lui dis, essoufflé;

« Salut... Comment tu t'appelles ? ... Je suis Ally moi ...

Elle se retourna vite vers moi sans trébucher, me regarda, puis se reconcentra sur son chemin,

Puis elle souffla :

-Je suis Pocahontas, et toi, tu es un envahisseur, un ennemie, mais tu es une fille, je n'ai pas vu de fille dans leurs camps pourtant.

-Non, je ne peut pas te dire d'où je viens mais je ne suis pas un envahisseur Pocahontas, crois moi.

Nous avançâmes encore quelques minutes dans un silence agréable, et ce fut elle qui le rompit :

-Bien Ally, je me rendais chez quelqu'un de spécial, veut tu venir ? »Me proposa elle.

J'acceptais avec enthousiaste, un sourire gamin plaqué sur le visage. Elle rie en voyant ma joie d'enfant et elle s'arrêta devant un rideau de branche.

Elle l'ouvrit pour moi et me dit d'entrer, c'est ce que je fis sans hésitation.

On se dirigea vers un grand saule, qui paraissait très vieux. On s'assit devant et Pocahontas prit la parole :

« Grand Mère Feuillage, j'ai là une nouvelle amie. Elle se nomme Ally et viens d'un endroit secret. »

Je fronçais les sourcils car même si je connaissais le conte de Pocahontas, je m' étais toujours dit qu'elle avais un problème et qu'elle avait des hallucination avec sa « Grand mère arbre qui parle ».

Le bois du saule se troubla et une forme de visage apparut, je reculais les yeux écarquillé, cette Pocahontas m'avais transmis sa folie mon dieu !

« Que,,,,Soufflais je, ébahi,

Pocahontas me regarda, me fit un sourire et le saule, pardon, Grand mère Feuillage pris la parole :

-Bonjour mon enfant, enchanté, Pocahontas, souviens toi de cette fille, pour le futur elle te conseillera et t'aidera,

Je regardais avec intercompréhension la Grand mère Arbre, pardon Grand Mère Feuillage et tout d'un coup je me souvins :

-Oh oui, heu,,Ne sois pas si méfiante, le destin te resserve un futur inattendu, bas toi pour la cause que ton cœur a choisit. »

J'avais l' étrange impression de parler comme un vieux sage ah ah,

Pocahontas me regarda bizarrement et je lui souris, gênée,

On vit tout d'un coup son raton laveur se lever et courir après un colibri. Ils s'enfuyaient loin de nous.

La belle amérindienne les regarda un instant amusé puis se leva soudainement, je fis de même et on commença a courir pour rattraper ces animaux.

On courrait sur une colline, c'était sublime, on courrait porté par le vent, Pocahontas chantant et moi riant, ivre de liberté.

Nous étions simplement heureuse.

Le bruit de mon réveil se fit entendre et je soufflais un « au revoir » a Pocahontas et ses deux compagnons et partis de cet endroit magique.