chapitre 3 : une sortie...

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-《je te suis》

Bon bah c'est répartit alors ! je dois avouer que j'avais pas trop de plan mais bon on va croire au destin de toute façon je suis tellement perdu que je crois qu'il y a que ça qui me fait encore tenir !.

On court, on traverse des rues, on arrive à coter d'une école primaire on tourne pour aller dans des petites rues là où personne enfin je pense ne pourra nous trouver... après quelques minutes on s'est cacher derrière un buisson, j'ai sorti mon téléphone et j'ai téléphoné à Anaïs on était près de sa maison enfaite à une rue, la sonnerie dura des heures selon moi mais elle finit par répondre enfin ! :
《Salut Anaëlle ça va ?》
-《Anaïs dit moi que tu es chez toi ?!》
-《oui je suis chez moi pourquoi ?, Anaëlle tu es sûr que ça va ?》
-《non ça va pas, stp ouvre ton portail tout de suite j'arrive en courant dans même pas 10 secondes, j t'expliquerais tout mais c'est une question de vie ou de mort et ce n'est pas au sens figuré !》
-《tu m'inquiètes ! Bon je vais ouvrir !》

J'étais soulagée mais un peu moins quand une voiture est passé devant le buisson. Heureusement on était bien cacher ! Bon c'est parti ! On s'est mis à courir... quand j'ai vu le portail, on est entré et j'ai hurler :
《Vite Anaïs ferme à clé !!!》
C'est ce qu'elle a fait ! J'étais en larme par terre le père d'Anaïs ainsi que sa mère et ces deux sœurs sortirent de la maison pour être plus discret je fais signe à Anaïs de rentrer dans la maison pour pouvoir tous leur Expliquer, le père d'Anaïs est garde du corps donc il a de suite compris mais les autres sont pensifs les parents d'Anaïs ont pris la parole :
《Monter à l'étage en attendant, prenez quelque chose à boire et monter》
On est allé dans la salle d'ami avec l'ordinateur et la télévision. Je devais parler c'était important pour moi alors j'ai pris Anaïs et on est allé en face dans sa chambre et je craqua :
《J'ai son visage dans la tête, cette petite fille, le vert de ces yeux, le sang sur mon pantalon...》
Anaïs a envie de pleurer je le sais mais elle montre qu'elle est forte !. Elle sort des vêtements et me les donnes. Je vais me changer, c'était son pull rose avec un jean simple, j'avais mal au pied c'était affreux j'avais couru dans la rue en chaussette avec mes bottines dans mes mains !. Je crois même avoir marché sur des bouts de verre mais aucune douleur n'était plus forte que celle d'avoir vu une enfant se faire tuer. Je suis pensive bien sûr mais pas longtemps car tout d'un coup les parents d'Anaïs nous appelle :
《les enfants descendez deux minutes svp》...

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