~Third~

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Paris, mercredi 2 septembre, 14h43.
Je me réveilla, quelques peu déboussolé, me rappelant petit à petit ma situation, puis regarda mon téléphone: 2 nouveaux messages.

Je n'avais pas le courage de les lire, je savais qu'ils m'apprendraient de mauvaise choses.

Je regardais les passant se promener devant moi, une petite avec sa mère marchands avec des sacs de course, un vieil homme avec une canne et un béret, un jeune homme écoutant de la musique...

La musique, je crois que c'était la seule chose qui pouvait me remonter le moral! Je sorti mes écouteurs, les brancha sur mon téléphone, lança Dust it off de The Dø et sortie une clope que je couinça entre mes dents et l'alluma rapidement.

Le bonheur se propagea dans tout mon corp, j'avais remonter le peu de moral qui me resté.

D'un pas décidé, je pris tout mes sacs et je me dirigea vers l'appart que ma mère avait loué. Je déciderai de mon avenir plus tard...

La pluie avait cessé, un léger rayon de soleil reflété sur mon visage fatigué et un vent frais balayé mes cheveux encore humide.

J'aperçu une bouche de métro, passa "discrètement " encombré de mes sacs (imaginer le bordel. ..) par dessus les portiques sans payer, devant quelques vieux outré par mon comportement.

Je m'enffonça dans la foule stressé et pressée, poussant les personnes me fonçant dedans, trop concentrer à regarder leurs portables...

Ils étaient tous pareils, programmé pour se lever tôt, travailler sans raison (à par l'argent...), et s' inventé une amitié forte derrière un écran froid et sans vie qu'ils ont acheté avec l'argent qu'il ont gagné en travaillant sans savoir réellement pourquoi.

Ils étaient fadent, sans vie.

Je rentri de la barquette esthétiquement dégueulasse appeler "métro" puis m'accrocha à une bar en attendant le départ.

J'observais les gens qui allaient partager ce court voyage sous terre avec moi. Ils étaient tous sur leur portable, comparable à une armée de robot, ormis une vieille dame, surveillant son pochon. Je lui souris, un sourire très sincère et chaleureux. Je n'en faisait vraiment pas souvent. .. Elle me regarda, souleva un sourcil et fouilla un journal dans son pochon. Et bah décidément! Je crois que je déteste déjà cette ville! Celle qui me faisait pourtant toujours fantasmé, rêvé. .. J'étais réellement déçu. Comme quand vous apprennez que le Père Noël n'existe pas.

L'engin démarra brusquement, je fut surprise et tomba sur les genoux d'un jeune homme. Décidément! C'était pas du tout ma journée! Je le regardi, le visage rougit de honte m'excusa et me déplaça rapidement vers l'avant du métro. Son visage me rappeler quelques choses mais je n'arrivais pas à y mettre un nom. Ça me perturbé énormément.

J'essayais d'apercevoir l'extérieur avec mon front et mes main collé sur la vitre glacé. Rien, que du noir. C'était d'un ennui...

Je ne trouvais décidément rien de charmant à cette ville.

La "barquette" commença à ralentir et s' arrêta une nouvelle fois brusquement, heureusement cette fois ci, j'avais prévu le coup et m'étais agripper à la rambarde comme un un koala à sa branche, ou plutôt comme une grosse teuteu...

Je descendis, emporté par la foule et encombré de tout mes sacs, essayant de suivre le panneau sortie.

Ayant complètement oublié que je n'avais pas payer, je me dirigea vers les portiques sans faire attention aux deux gogolios de contrôleurs qui était à côté.

-Excusé moi madame, vous avez votre tickets?
-...
-Madame? Votre ticket?
-Ohhh mon tickeet!
-Euh... oui, est ce que vous l'avez?
-Attendaient deux minutes. ..

Je fis semblant de chercher dans mon sac, un peu maladroitement dû au stress, les contrôleurs me regardaient d'un air lassé, habitué à ce genre de scènes.

-Oh mais il est passé où le vilain! Tient je l'avais dans la main ya même pas deux minutes!
-Bon, suivez nous madame
-Rhoo putain fait chier
-Pardon?

Je fis mon regard de petite niaise et les suivis, de plus en plus stressé.
Je n'avais pas d'argent sur moi et devoirs appeler ma mère pour lui dire que je me suis fait choper et lui expliquer ma situation m'étais inimaginable.

Les deux contrôleurs se dirigèrent vers leurs postes quand tout à coup! Boum! Une bagarre éclata entre deux hommes!
Les contrôleurs se jetèrent sur les deux hommes.

Une idée me traverse la tête...

Bon, je le fais ou pas? Aller soyons fous...

Je pris un morceau de papier marqua quelques mots et m'enfuis dans la foule en poussant les gens avec mes sacs comme une grosse taré, je saute par dessus les portiques, m'effondre sur mes sacs qui amortisse ma chute et cour vers la lumière.

Enfin,

Les doux rayon de soleil me réchauffe la peau.

J ' éclate de rire et marche vers ma nouvelle vie.

We Meet By Accident (En Réécriture)Where stories live. Discover now