« Emma un jour, tu te souviendras, un jour tu m'aimera. Car tant que je respire, je me battrais pour que tu te souviennes de moi, je me battrais pour notre famille... »
Univers alternatifs de "Once upon a
?
Ne vous étonnez pas des similitudes ent...
Hook avait l'habitude des nuits blanches, dehors, comme un vulgaire mendiant. Surtout depuis qu'il avait retrouvé Emma. Il y a dix ans, il aurait pu dormir à même le sol tant qu'il était au prêt d'Emma rien ne l'empêchait de sommeiller. La vraie cause de cette insomnie, c'était l'angoisse, la peur de perdre encore une fois sa bien-aimée, de plus son fils. C'est vrai, il le connaît à peine, mais il a le goût de l'aventure, comme lui. Il est si intelligent, il est une partie de lui et d'Emma et c'est un fait qui ne pourra jamais changer.
Emma Swan, qu'il aime cette femme et ses longs cheveux blonds, qu'il aime lavoir sourire quand elle obtient ce qu'elle veut. C'est bien beau d'être amoureux, mais c'est encore mieux quand c'est réciproque. Le pirate en est bien conscient, sa belle à perdu tout sens à la réalité y compris à l'amour qu'elle lui portait à l'époque. Comment pourrais t-il fermer l'œil, en sachant que demain, tout ce qui le rendait heureux disparaîtra.
Il se contenta de regarder les étoiles, le corps allongé contre un banc. Seul dans StoryBrooke.
Oups ! Cette image n'est pas conforme à nos directives de contenu. Afin de continuer la publication, veuillez la retirer ou mettre en ligne une autre image.
Ça faisait bien longtemps que Henry n'avait pas fait de cauchemars, mais pour une raison inconnue le même rêve perturba à nouveau le sommeil de l'enfant. Emma invita son fils à se blottir contre elle, à dix ans, c'est un peu étrange, mais c'est aussi le seul moyen que l'enfant dort paisiblement. Emma ne passait pas une bonne nuit non plus. Elle n'arrivait pas à sortir de sa tête cet homme, son odeur, sa voix, tout.
New York ne lui manque, pas tant que ça en réalité. Elle ne va pas se mentir à elle-même, c'est Henry qui a des amies. Pas elle.
La solitude ne trahit personne, au moins.
Dire que la grosse pomme lui manque est aussi une bonne excuse de fuir la réalité ou à des sentiments qui se manifestent à cause d'un certain brun vêtu de cuire. Finalement, peut-être qu'elle se ment à elle-même plus souvent qu'on ne le pense.
Deux jours passèrent, ce fut deux journées à errer dans sa chambre d'hôtel pour Emma. Son fils lui avait demandé s'ils pouvaient sortir observer les bateaux. La blonde trouvait le premier prétexte pour rester ici. Dix heures s'approchent avec vitesse. Elle enfila sa veste en cuir de couleur rouge et ses bottes, elle embrassa le haut de la tête de son fils et lui dit :
« Reste ici, j'en ai pas pour longtemps »
En avance, elle décida de s'y rendre à pied. Elle avait besoin de respirer l'air frais de StoryBrooke. Elle s'arrêta devant une affiche placardée sur la boutique de Mrs Gold.
Offre d'emploi :assistant(e)shérif de StoryBrooke.
La jeune femme déglutit, et commence à douter de son choix en faveur de New York. Elle jetta un coup d'œil à l'immense horloge de la ville, mais elle ne fonctionne pas, ce qui est étrange, c'est que personne ne s'en préoccupe ici, pas même le maire de la ville. Elle croisa une jeune femme brune au passage et l'aborda gentiment.
