Partie 1 : Elle

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Je suis partis comme un lâche chercher mon portable la laissant la, seule, Putain mais quel con ! Je ne pouvais pas l'affronter c'était trop dure... Mais je ne savais pas pourquoi. Cette fille me rendait bizarre, c'est énervant! Demain serai peut être un autre jour, je lui parlerais, resterais avec elle mais tous ça, n'arrivera pas. Malheureusement, je ne serai sans doute pas capable de lui parler en face.

Allez c'est partis !! Encore une salle journée qui s'annonce les cours, les filles et...... elle je ne pouvais m'empêcher d'y penser même son charme naturel m'intriguais...

En entrant dans la salle de classe de la vis et me mit a lui parler :
- Salut !
- Je croyais que tu ne parlais pas au pot de peinture.
- Toujours pas accepter ce que je t'ai dis hier ?

Je me suis installé à côté d'elle, c'était long, ennuyant, mais elle, elle était encore plus mystérieuse et retenait toute mon attention. Encore c'est saleté de cours ! La poufiasse assise derrière se mise a me dire :

- T'a pas honte ! Un beau gosse comme toi d'êtres à coter de cette déprimer de la Life...

Avec sont chewing-gum et sont rouge a lèvre on croirai vraiment une... Je n'avais aucun mot pour la décrire.

- Et toi tu n'as pas honte d'être comme ça ?

La sonnerie retentit, nous sortîmes de la classe et la mystérieuse me dit:

- Merci de m'avoir défendu, tu sais c'est pas la seule...

- C'est à dire ?

- Bas les filles c'est courant ici.

- Pourquoi ?

Elle ne me répondis pas, puis elle partis sans dire un mot je voulu la rattraper mais elle me tapa la main en signe de refus.

-Lâche moi ! Cria telle

- Pourquoi ?

- Je t'en ai déjà trop dit !

Elle partie me laissant la, seul, comme un vieux qui venait de se faire plaquer par sa femme. C'était pitoyable.

Saloperie de journée !! Je retournai dans mon appart pour faire mes devoirs puis après, je devais aller bosser dans un bar. Je m'occupe de vendre les boissons. Sérieusement...Je déteste travailler de nuit....
Dans ce bar il y plusieurs type de personne : Les alcooliques, les déprimer et les normaux ( même si c'est rare )
La nuit a été longue et pas très passionnante: écouté la vie des gens leurs problèmes moi tous ça ca me soule... Mais bon c'est le boulot.

Vous vous demandez pour quoi je travaille ? Hé bien pour payer mes études !! Mon père est parti quand j'avais deux ans et ma mère ma élever seul jusqu'à mes 16 ans jusqu'à ce qu'elle décède d'une tumeur au cerveau. Je me suis retrouvé livré à moi même et confronté a la vie...

Je suis fatigué : le boulot, le lycée tous ça... Ce n'est vraiment pas le paradis.
Moi, mon rêve c'est de retrouver ma meilleure amie disparue il y bien longtemps.
Du coup je suis venu ici pour la retrouver. Elle s'appelait Aona je me souviens juste de ça.

Je devais me décidé à aller parler a la fille étrange... après tout on est voisin de burreau ! Pour moi ce serais un exploit mais....parler a une fille ! C'est vraiment chelou ma vie... Hein?

Sur la route pour allez a la gare, je la croise elle marchait doucement, un visage triste. Je décidai de la suivre discrètement pour voir où elle allait,  elle n'aillait pas à la gare . Putain j'allais encore être en retard, surtout que c'était la philo ! Vous ne vous le savez sûrement pas mais j'aime bien écrire je crois enfaite que c'est mon deuxième but dans la vie.
A mon grand étonnement, elle entra dans le bar ou je travaillais. Qu'est-ce que je devrai faire à votre avis ? Entrée ? Partir ?

Ce jour devait arriver, je devais entré: j'entrai alors. Elle était assise là bas, un verre a la main, je m'assis a coter elle. Elle me regarda puis après longue réflexion elle parla :

- Que fais tu la ?

- Je te retourne la question ?

- Laisse moi ! Que me veux-tu ?

- C'est à cause de ces filles ?

- Putain mes tu n'as pas compris tu ne m'érrite pas de traîner avec moi ! Regarde ce que je suis.... Tu pers ton temps. De toute façon tout le monde le dit.

Son coter énerver la rendait... si magnifique

- Je vois bien que ca va pas, parle moi ca restera entre nous...

- C'est pas à cause de ces filles...

- C'est quoi alors ?

- Mon frère est mort hier d'un accident de scooteur.

Je réfléchi et je compris pourquoi elle était triste...

- Je suis vraiment désolé, tu sais, moi ma famille je l'ai perdu il y bien longtemps mon père nous a abandonner avec ma mère puis elle m'a élever jusqu'à 16 ans la ou elle a succombé a une tumeur au cerveau.

- As-tu des frères et sœur ?

- Non.

- Tu es arriver il y a combien de temps a Okinawa ?

-Je suis née ici... Mais après la mort de ma mère je suis parti vivre un peu en Angleterre mais je suis revenu là, il y a environ une semaine, pour revoir quelqu'un qui m'étais chère et toi ?

-Je suis née ici et je n'ai pas bougée depuis.

Je pense l'avoir réconforté, j'ai enfin réussi a lui parler est-ce que je dois lui dire de venir chez moi ? Ou aller a la gare pour aller au lycée ensemble histoire de passer plus de temps pour apprendre a ce connaitre ? Elle me sorti de mes pensées et répliqua:

- Tu veux que l'on retourne a la gare c'est un peux nul comme bar...

Quand nous arrivons au lycée on alla directement en philo je passai devant, le prof interrompit son cours et dit :

- Ayato, Aona où étiez vous ?? ça fait deux heures ?

Mon cœur s'arrêta de battre je ne compris pas puis je saisi. Cette fille, Aona était peut être mon amie enfance que j'ai laisser ici mais peut être que je me fait des idées, mais pourquoi ne pas le lui demander ? Putain non c'est une mauvaise idée ! Mais si je laisse passer et que c'est elle ! En plus il y a beaucoup d'Aona ici, je ne pense pas que je devrais...

- Ayato vous étiez ou !

- Monsieur nous étions...

Si ce n'était pas elle alors ma petite amitié avec elle serai rompue c'est inimaginable tous cela accompli pour rien. Mais imagine tu cherche une amie d'enfance depuis longtemps et la tu crois que c'est elle tu ferai tous pour relier les liens Non ? Putain je suis...

- Ayato ?

Ah oui et puis moi je dois dire que l'on était au bar en étant honnête et être collait deux heures ou je dois dire que nous avons louper le train ?

- Ayato ! Pas de quatrième fois !

- Oui désolé monsieur nous avons louper le train...

-  Asseyait vous immédiatement ! Ca fais 10 minutes que l'on attend je vous rappelle qu'il y a une contrôle après demain alors ça traine dans les rues mais ça révise pas ! Ha la jeunesse !

Monsieur Lully il est toujours comme ça avec ces phrases de vieux...enfin bon vous vous connaissez un prof de  philo qui n'est pas comme ça ?

Je restais figé dans mes pensé sans savoir ou tous ça aller me mener peut être tenter une discussion ? Je suis perdu !

- Ayato ? Ça va ?

- Il faut que je te parle .

A SUIVRE...

My first storyOù les histoires vivent. Découvrez maintenant