Chapitre 3

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Je suis à l'hopital. Depuis ma crise dans le parc, ils m'ont foutu dans cette foutu hôpital psychiatrique. Les policiers ont trouver les morceaux de verres autour de moi. Et ils m'ont interner pour "dépression et suicidaire". Cela fait 12 putain de jour que je suis dans cette chambre blanche. Depuis, je voie le visage sur les murs. Il apparait et puis disparait. Et il me murmure toujours ces mots  "Fini se que tu as commencé et la mort t'acceptera." "Fini se que tu as commencé et la mort t'acceptera.""Fini se que tu as commencé et la mort t'acceptera." Mais que veulent t'elle dire ces putain de paroles!? Qu'est ce que j'ai commencer!? J'ai rien commencer! Ma vie n'est rien. J'ai jamais rien fait d'asser important pour le finir. Ces paroles joue en boucle dans ma tête jour et nuit. Elles me rendent folle et plus ils vont remarquer que ne suis folles, plus je vais rester longtemps dans cette prison. Je suis fasciné par tout se qui se passe dans cette hopital. Les cries des patients me donnent froid dans le dos en même temps ils me réconfortent. Ils me dit que je suis loi  d'être comme eux et qu'ils en a des biens pire que moi. Je me réjouie de ces cries. Ils me montrent l'exemple à ne pas faire pour sortir d'ici le plus vite possible. Je veux sortir. Je veux une clope et une coupe de shooter. Je veux boire jusqu'à tout oublier. Mes pensés sont encore interrompue par un docteur. Il est jeune. Très jeune, peut-être 3-4 ans de plus que moi. Il m'appporte m'on déjeuner. Dommage que ne n'aille pas faim. Mais je manges. Pour lui prouver que je vais mieux et que je peux sortir. Avec lui il traine une boite, c'est un bon signe non? " On remarque de grand changement chez vous Madame Lemieux. Nous avons contacté vos parents et ils sont en routes pour vous rapporter chez vous. Ils ont dit que ça me se reproduiserait plus." Me dit-il. Sur ce je repondit" Oui, je l'admet j'ai changer. Je ne penses plus au côter sombre de la vie et je suis prête à retourner dans la ville maintenant. Mes parents arrivent quand". " Ils sont là" dit-il. Il me redonna mes vêtement pour que je puissent me changer et il me guida vers mes parents. Avant de quitter cette hôpital piteux il me disa "'Ravie de vous avoir rencontré, mais j'espère ne jamais vous revoir." C'est surement une de ces blagues de docteur pas drôle me dit-je. " Moi de même docteur." Et en passant devant lui pour quitter cette endroit je cria un " Aller tous vous faire foutre" accompagner d'un doigt pas très sympathique. Et je partie

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⏰ Dernière mise à jour : Jan 28, 2016 ⏰

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