.9.r.

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Nan, mais, je rêve. Il m'oblige à sortir avec lui ? Nan mais il a cru c'était Noël ?

Moi : Nan mais Papa je peux pas, je dois réviser, j'ai un contrôle demain !

Mon Père : Judith, combien de fois je t'ai dit qu'il ne fallait pas refuser de sortir avec des copains dehors ? C'est très impolis ! Excuse-la, elle n'est pas comme ça... Nous l'avons très bien éduqué, sa mère et moi.

Moi : Ok, j'y vais...

Mon Père : Très bien Judith. Tu me fais plaisir. Je te reconnais bien comme ça.

Moi : Bon, c'est bon, j'ai compris. Je reviens je vais chercher une veste.

Brooklyn : Prends ton temps, j'ai appris qu'il fallait être patient avec toi...



Ils continuèrent de parler ensemble,  je montais dans ma chambre et empoigna une veste. Avec le petit vent printanier je devais me couvrir un peu. Je pris une veste en Jeans Levis et je redescendis. Je trouvais Brooklyn avec mon père dans l'entré de la maison avec la porte fermée.



Mon Père : Ah, la voila.

Brooklyn : Monsieur, je vous l'emprunte une dizaine minutes.


J'ai un peu l'impression d'être un objet qu'on prête à quelqu'un, c'est très déplaisant comme sentiment.


Mon Père : Je vous autorise à rester une heure ensemble. Judith, je ne dirais rien à ta mère lorsqu'elle reviendra.


Pourquoi il s'acharne sur mon sort ? Calme. Zen. Respire Judith



Brooklyn : Merci Monsieur , je vous la ramène sans aucune égratignure.



'Bon c'est bon je suis pas un objet, je suis outrée de la manière dont mon père me traite, inadmissible !



Mon Père : Aller ma fille, profite.


Profiter de quoi ? D'un gars qui vient de se faire larguer par sa copine ? Génial ? Pourquoi j'ai un père aussi idiot ?


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Un nouveau chapitre :)

#L 💕

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