Une renoie love d'un arabe

partie 48

Partie 48

Je passe quelque semaine parce qu'il se passait rien d'intéressant à par que je me donnait tant de mal à en venir à bout de ma vengeance même si Jsui pas totalement sincère avec Djibril. Mais en tout cas tout allé bien avec lui y'avais des coup de gueule par si par la mais ça va. Je me sortais Wassim de la tête petit à petit et j'étais contente parce que commencé à me sentir plus soulagée, plus libre et mes folles m'ont beaucoup aidé dans sa. Franchement j'étais arrivée dans un stade ou si quelqu'un me demande qui est Wassim je dirai " je vois pas de qui tu parles!" Bon j'abuse un peu mais faut me laisser sa me donnait de l'espoir à l'époque mdrrr. 

Bref on été un jour comme sa tout bidon, j'étais chez moi tout ça j'ai papoté avec mes petits la daronne et tout et elle m'a demandé de rentrer à la maison parce que je l'a manquait et mes petits mais je lui avait dit que j'allais y réfléchir, j'avais pas envie enfaîte de retourner chez moi je sais pas c'est comme si après tout le chemin que j'ai parcourues bah que je revenais à la case départ comme le jeu monopoly même la mdrr. 

Bref jme suis rendu ensuite chez mon bébé Nella pour discuter de tout et n'importe quoi.

Moi : Comment va madame Alassane ?
Elle : Tchiip madame de qui même ?! Ça va grosse tête ?
Moi : Mdrrr oui je vais bien tête de cacahuète !
Elle : Jmen fou... Et toi ça se passe avec Djibril ?
Moi : Ouai je me sens épanouie avec lui tout çà, je l'aime il m'aime tout vas bien mdrr
Elle : Eh Wass c'est fini définitivement genre la tu l'aime plus ?
Moi : Du tout nada, j'ai trop été dégouté de lui enfaite et maintenant je crois que cet amour c'est transformé en haine
Elle : Wshh t'abuse toi tu me parle de haine et tout tchiip faut pas blaguer avec sa hein
Moi : Mais quoi c'est vrai wsh mdrr
Elle : Moi je parle peu hein... Ehh mon bébé c'est bientôt mon anniversaire !!!! 
Moi : Mais qu'es ce que tu chambre toi c'est dans longtemps !
Elle : M'en fou jvai faire une fête bébé !! Tu vois les fête du style de mon incroyable anniversaire la même ? Jvai faire pareil
Moi : Mdffrrr c'est bien de rêver chérie, le rêve fait vivre Mdrrr
Elle : Ta gueule c'est bon jrigole jvai juste organiser un karaoké à la maison avec tout les gens qui m'aime tu vois, y'aura plein de bouffe vu que j'ai des crève la faim en tant qu'amis
Moi : Mdrrr mais toi t'a cru tu sais chanter ou quoi ?!
Elle : Moi non mais toi masha allah ta voix mdrr mais tt façon j'men fou wshh c'est pour rigoler
Moi : Ahh je sais je sais masha allah de moi mdrrrr tte facon tu me tiens au courant. Et j'ai besoin de ton avis, tu penses que je devrai retourner chez moi maintenant que ça va mieux ?
Elle : Tu veux y retourner toi?
Moi : A vrai dire non mais maman me l'a demandé donc je sais pas si repart c'est comme j'avais échoué dans ma conquête sociale Mais d'un côté je pense que je devrai y retourner parce que j'estime que j'ai beaucoup profiter de Djibril même c'est si mon copain mais voilà quoi
Elle : Franchement je sais pas fait comme tu le sens mais a ta place mpo j'y retournerai
Moi : Tchiip tu sers à rien toi !

Bref on parlait tout sa puis jsuis rentré. Mais sur le chemin je croise Wassim vu que Nella habite pas très loin de chez lui. J'étais chamboulé, sa m'a fait bizarre de le voir. En plus nos regards se sont croisé pendant une fraction de secondes et je vous jure que tout les efforts que j'ai fourni pendant tout se temps m'ont servi à rien, il est tellement beau putain! Rien que je l'ai vu mon coeur c'est mis à battre à 100 à l'heure je suai de partout. Lui aussi avait l'air d'être chamboulé on aurai dit un immigrés qui a pas mangé pendant 21 jours, il me faisait grave de la peine on aurai dit un cadavre qui vit parce qu'il doit vivre. C'est à cet instant que j'ai réalisé qu'il avait besoin de moi je le sentais il était mal en point je vous jure que le peu de seconde qu'on s'est regardais j'ai senti la tristesse qu'il y avait en lui. Il m'avait lâché un sourire mais j'ai détourné mon regard et jsuis retourné chez Nella parce qu'il m'avait perturber j'arrivais plus à respirer comme si on me volait tout mon oxygène.