Pour l'éternité

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Elle filait comme le vent sur son cheval. Lui courait à leur allure sans montré de fatigue. Elle attirait les animaux, les charmaient. Lui, les effrayaient. Elle tourna et diminua l'allure jusqu'à un petit trot tranquille. Elle félicita son cheval d'une caresse sur l'encolure. Elle souriait, heureuse d'avoir pu "voler" en compagnie de son cheval. Elle descendit. Lui se trouvait a coter prés a là rattraper. Le cheval le regarda méfiant. Des inviter les dépassèrent en voiture

-Tu peux aller les accueillir s'il te plait. Je vais le desseller.

Et sans attendre sa réponse elle partit le cheval la suivie sans qu'elle ait besoins de le tenir. Il se dirigea vers l'antre. L'on s'occuper déjà des inviter, leur proposent un thé, des petit gâteau. Il se tint légèrement à l' écart. Elle arriva avec des carottes. Les invités voulurent l'accaparer. Ils l'aimaient beaucoup. Elle refusa gentiment et lui proposa de venir pour donner leur goûter aux chevaux. Elle le savait pourtant que les animaux le détester. Le chien lui grogna dessus le trouvant trop proche d'elle. Elle le réprimanda en souriant. Sans lui demander son avis, elle lui mit une carotte dans la main et lui fit passer l'enclos. Elle fit de mêmes. Les chevaux s'approchèrent doucement d'elle en l'évitant soigneusement. Quand sa carotte a elle fut engloutit elle les obligea à venir manger la sienne. L'un deux, le moins peureux ou le plus gourmand s'approcha et manga la carotte qu'il tendait. Il sourit un peu, pas grand-chose, juste de la commissure de ses lèvres ne remontèrent. Mais elle toujours enjouer lui sauta dans les bras. Un peu surprit, ils faillirent tomber. Elle riait toute fière de l'avoir fait sourire.

Elle chantonna tout le reste de l'après-midi, heureuse. Il se dit qu'il ferait un effort pour elle. Ce soir-là alors qu'il revenait de sa chasse, comme toujours, elle lui avait proposé son sang. Et comme chaque soir il avait refusé. Il ne voulait pas la salir. Il ne savait pas si il réussirait à s'arrêter, c'était trop risquer. Il ne voulait pas non plus la changer de peur qu'elle ne perde sa joie de vivre, que ses animaux aient peur d'elle. Il ne le supporterait pas, de ne plus la voir sourire. Et tuerais quiconque là feraient pleurer même si c'était lui. Alors qu'il revenait il sentit plus qu'il ne vit, le grand feu qui brulait la maison. Sa sentaient la chair cuite, bruler. En moins d'une seconde il se retrouva devant la maison, respirant l'air à sa recherche. Il là trouva allonger dans le jardin ou elle faisait pousser des plante. Quelques chevaux se trouvaient autour d'elle, d'autre un peu plus loin, morts. Ils avaient essayés de la protéger, de l'éloigner de flamme. Mais elle gisait là mortellement blesser. Elle allait mourir cette penser le torturer tous les jours elle vieillissait, un peu plus elle se rapprochait de la fin. Mais là c'était trop tôt il c'était dit qu'il pourrait profiter encore d'elle sans que les autres ne commence à se poser des questions. Il lui avait dit juste pour qu'elle le laisse seul mais elle n'avait rien dit, son expressions n'avait pas changé. Elle c'était contenter...

Plusieurs fois il c'était souvenue de ce moment et lui en avait reparlé pour être sûr qu'elle comprenne le danger. Mais elle c'était contenter de sourire en le prenant dans ses bras comme la première fois.

-Tout va bien lui avait-elle dit à ce moment-là.

Et maintenant elle le répéter entre deux toux mais pas seulement à lui, mais aussi aux deux autre chevaux et aux loups a ses coter. Il revint sur terre et la regarda. Il lui donnait quelque minutes pas plus. Cette penser le terrifia et le décida. Il devait agir vite. D'un geste rapide et franc il s'entailla le poignet et lui colla contre sa bouche si douce qu'il avait trop souvent eu peurs d'effleurer avec la sienne. Elle eut juste le temps d'ouvrir les yeux surprise que le sang coulé dans sa gorge. Elle les ferma ne cherchant plus à lutter contre un mur inébranlable. Un instant beaucoup trop long, il n'entendit plus rien, n'y son cœur qui battait de plus en plus doucement, ni sa respiration qui s'affaiblissait. Il retira son poignet déjà guérit. C'était fini ?

Elle disparue. Un instant, elle était allongé morte puis pouffe elle était derrière eux mordant un homme qui devait être le meurtrier. Cette penser le réconforta un peu. Les seuls moments où il l'avait vue en colère c'était quand l'on faisait du mal à ceux qu'elle aimait, mais elle leurs pardonnait si ils s'excusaient. Il s'approcha alors qu'elle regarder l'homme à terre, impassible

-Si tu ne tant était pas occuper s'aurait était moi.

-Il leurs a fait du mal ce contenta-t-elle de dire

Ce fut la dernière chose qu'elle dit ce soir-là. Il la regarda s'éloigner. Elle alla chercher une pelle et creusa au fond du jardin plusieurs tombes. Elle y enterra ses chevaux. Elle ne s'occupa de sa famille que lorsque le feu ne fut éteint. La pluie se mit à tomber alors qu'elle planter des fleurs sur les tombes. Elle fit pareil avec tous ceux qui sont mort dans la maison. Elle s'approcha des chevaux. Ils reculèrent. Sa tristesse passa dans ces yeux puis elle sourit. Ce n'était plus le souri que tous connaissez.

L'Aurore pointé son nez, il devait s'en aller. Il lui prit la main. Elle regarda les chevaux

-Je vais m'occuper d'eux.

Il avança vers eux

-Chut je ne vous veux pas de mal.

Il leurs enleva leurs licols et les posa à terre. Il la prit dans ses bras et s'éloigna a la vitesse de l'éclaire et s'arrêta dans un souterrain

-Ici, on sera à l'abri du soleil.

Il s'assit a coter d'elle. Elle pleura de tout son soul agrippé à lui. Si il n'était as déjà mort il serait allé le tuer pensa-t-il.

En fin de matinée, elle s'endormit épuiser. La nuit tomba, ils sortirent et ils étaient là. Les deux chevaux survivant et le loup. Elle fit alors à son tour un pas en arrière alors qu'ils s'approchaient doucement. Ils insistèrent jusqu'à se retrouver contre elle, ils se frottèrent à elle. Elle les prit dans ses bras et s'excusa. Puis les chevaux partirent âpres qu'ils l'aient bousculé, lui faisant comprendre qu'il devait prendre soin d'elle.

-Pour l'éternité se contenta-t-il de répondre.

L'un deux hocha la tête satisfait et disparue. Elle s'accroupit au niveau du loup.

-Veux-tu venir avec nous ?

Il glapit. Elle le prit dans ses bras et ils partirent à la recherche dela sorcière qui lui avait fait cette bague pour le protéger du soleil. Il priapour la première fois qu'elle ne perde pas sa joie de vivre dans cette éternitéqu'ils passeraient ensemble.ports\=;

Pour toujoursWhere stories live. Discover now