Je tiens à préciser que ce n'est pas un poème mais une de mes chansons.
C'est quand elle est partie que je me suis perdue,
Elle s'en est allée loin dans le ciel,
J'ai eu les larmes aux yeux
Je n'ai su que tomber à genoux
Hurlant la douleur que son absence me causait.
Les larmes se mêlaient aux cendres qui s'envolaient vers les cieux,
Et ma voix qui portait comme celle d'un fou,
C'était horrible de penser que tu disparaissait.
Dans le noir de la nuit je ne voyais que mon étoile,
Un siècle d'hiver tombait sur ma vie
Mais de là-haut elle me soufflait des éclaircies
Quand mes pleures coulaient en pluie diluvienne.
La lumière devanait l'ombre
Et si mon sang s'écoulait
C'est qu'elle manquait trop en bas,
Je criais pour qu'elle entende
Je criais qu'il fallait qu'elle revienne
L'existence s'écroulait en miroir de l'hécatombe.
Et moi sous mon ciel étoilé
Les perles tombaient dans le vent pour s'eloignées
Puis dans mon âme
Les souvenirs règneraient.
Dans le noir de la nuit je ne voyais que mon étoile,
Une siècle d'hiver tombait sur ma vie
Mais de là-haut elle me soufflait des éclaircies
Quand mes pleures coulaient en pluie diluvienne.
