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Ces yeux noir me perçait d'un regards malsain, ainsi que son sourire.
Il s'approcha encore plus, de sorte qu'il soit en possession de tout mes fait et geste. Je ne pouvais plus rien. Il approcha ces lèvres vers mon cou, puis huma mon parfum.

Il déposa délicatement ces lèvres sur mon cou. D'une lenteur inexpliquée, il dirigea sa main droite sous ma chemise blanche où il caressait ma peau puis de sa main gauche caressait mon dos.

J'étais figée, ne sachant que faire. Je le poussa avec mes mains, il ne bougea pas. Je poussa sa main de ma hanche, il se laissa faire, ce qui me surpris d'autant plus. Il me fixait, il regardait mes faits et gestes. Ces yeux noir brillaient d'une lueur. Nos regards se croisèrent, il eu un petit sourire en coin. Il desserra son empreinte. Je ne savais pas comment réagir. Je détourna le regards et je compris, je compris ce qui l'avait empêché de continuer.
Une larme coula le longs de ma jou, je n'y prêta pas attention. Ces yeux bleus me fixaient. Je ne pouvais lire aucune expression, son visage était impassible.
Monsieur Roy, le professeur de Mathématiques attendait les bras croisés, les sourcils froncés. Je lissa ma jupe ainsi que ma chemise froisée. Tout deux me regardaient. Je pris mon sac qui était tombée lors de l'événement. Je me dirigea la tête vers la sortie mais une main m'attrapa le poigné avec force, c'était ce fameux camarade. Je resta immobile dos à lui et face au professeur. Monsieur Roy observait la scène, pourquoi ne voulait-il pas intervenir. À ce moment là mon téléphone sonna. Je dégagea mon poigné de cette poigne qui me tenait fermement. Aucun de nous n'avaient bougés.
Je décrocha:
"Allo"fige d'une voix inaudible.
-"Allo, Elise"fît la voix de ma mère.
" J'espère que tu sauras à l'heure pour l'événement ?" fît ma mère avec un ton de reproche.
Je réfléchi, ma mère faisais alusion au dîné dans un restaurant très chic, à ce que je me rappelle il y aura les collèges de mon père accompagnés de membres de leur famille.
Je fît une grimace. Ce n'était pas le bon moment.
-"Oui, ne t'en fait pas." dis-je d'une voix enrouée.
-"Quelque chose ne va pas ma chérie ?" fît ma mère d'une voix douce avec une onde d'inquiétude.
Je me racla la gorge:
-" Non, non tout va très bien" répondis-je à celle-ci.
Une fois raccrocher, mes mains tremblaient. Je contourna le professeur sans lui jeter un regards. Puis me dirigea vers la sortie de cette établissement. Je ne me retint pas plus, et laissa couler mes larmes.
Malheureusement il pleuvait à verse.
J'enleva ma veste noir, la positionna au dessus de ma tête les bras ballants. J'étais toute trempée. Ma chemise était devenue transparente, malheureusement mes sous-vêtements de couleur rouge se voyaient très clairement.
D'un coup la pluie cesse de tomber.
Je sens une présence derrière moi. Je me retourne et vois Monsieur Roy, ces cheveux châtain sont un peu trempé tandis que les miens le sont vraiment. Il me fixe, il a l'air énervée, je ne sais pas ce qui a pu ce passer après mon départ.
J'avance, je ne veux pas qu'il éprouve de la compassion envers moi. La pluie touche à présent chaque parcelles de mon corps. Une fois de plus, monsieur Roy à du placer son parapluie sur moi, car je suis protégé par la pluie. Je me retourne vers lui. Sa chemise colle à sa peau, je peu y discerner sa musculature. Pour ne pas qu'il soit encore plus trempé je me place à ses côtés.

L'amour InespéréOù les histoires vivent. Découvrez maintenant