Flasback

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J'ai envie de pissé...

Cela doit faire des heures de je suis assis dans ce placard à balais, plongé dans l'obscurité total. Les seuls bruits que je perçois sont les grognements et les bruits de pas de ses...choses. Oh je ne suis pas seul, nous sommes trois, mes deux compagnons d'infortunes discutent à voix basse me laissant à l'écart, je ne sais pas pourquoi mais personne ne m'apprécie dans ce groupe que j'ai rejoint il y a... bonne question... Mais en tout cas c'est récent, pendant qu'ils complotent dans leur coin moi je chantonne à voix basse une chanson en allemand.


Ich schrei in die Nacht für Dich,
lass mich nicht im Stich,
Spring nicht.
Die lichter fangen Dich nicht,
sie betrügen Dich.
Spring nicht.
Erinner Dich,
an Dich und mich.
Die Welt da unten zählt nicht,
Bitte spring nicht.

Ou tout du moins un couplet car je ne me souviens pas du reste. Une chanson de Tokio Hotel, après tout je ne connais pas beaucoup de chanteur allemand. Je commence à me balancer d'avant en arrière, j'en peux plus, ma vessie menace d'exploser, mais avant que je n'ai le temps de penser à autre chose mais deux camarades se sont levés et jetés sur la porte qu'ils ont ouverts en grand, instinctivement les cadavres ambulants des environs se tournent vers nous et commence à avancer. Je me lève dans un bon avec un large sourire, je vais enfin pouvoir allez uriner, je me précipite derrière eux mais je suis rapidement arrêter, la porte c'est refermé sur moi, une douleur sourde me fait hurler de douleur, les larmes surgissent sans prévenir et je plaque deux mains sur mon visage.

« -M...mon nez !! »

La douleur est insupportable, je titube et tombe sur le cul, j'entends mes camarades hurler que je ne suis qu'un boulet, ils ricanent mais bientôt je ne perçois plus leur rire. Ils sont partis...ils m'ont...

Abandonné...

Un torrent de larmes se déverse sur mes joues, je tends deux mains tremblantes devant moi. Elles sont couvertes de sang, je crois que je me suis brisé le nez, je lève les yeux sur la porte, je me suis pris le porte manteau en fer accroché sur la porte. Deux heures c'est le temps approximatif qu'il m'a fallu pour reprendre mes esprits, je n'entends plus rien derrière la porte depuis une heure à peu près. Les goules seraient-elles parties ? Je me lève et pose ma main ensanglantée sur la porte, la poignet descend lentement et j'entrouvre la porte pour jeter un coup d'œil.

C'est vide...

Je prends mon courage à deux mains et sort prudemment, j'avance dans les couloirs du lycée désert, de temps à autre il y a un cadavre de ses choses au sol, vu leur état ils se sont fait détruire à coup de batte. Je n'en reviens toujours pas, ils m'ont volontaire abandonné, pourtant je m'étais porté volontaire et ils avaient accepté de m'emmener... Et s'ils avaient prévu depuis le début de me laisser derrière eux ? 'Fin bref maintenant c'est fait et je me retrouve seul dans un lycée dépourvus de vivant tout comme de morts visiblement. Cela faisait longtemps que je n'avais pas remis les pieds dans ce genre de bâtiment, après tout j'ai vingt-cinq ans. Mon regard parcours les casiers, certains ont été forcé, d'autre son tâché de sang... J'imagine sans difficultés les lycéens et collégiens fuirent et hurler en tentant de fuirent leurs camarades ou leurs professeurs qui se sont relevés pour une raison X ou Y. Je frissonne, ma vision se fait trouble et le me rattrape à un mur. La douleur est difficilement supportable, en plus je suis une vrai chochotte, je geins et me remet à marcher, en voyant la porte d'une des salles de classe ouverte je ne peux m'empêcher d'y jeter un coup d'œil et de rentrer. Tables, chaises, tout ou presque a été renversé, l'une des fenêtres est brisé et des traces de mains ensanglantés témoigne du manque de coordination des morts, ils ont bien compris que derrière ses vitres se trouvait un potentielle dîner et avaient dû tenté de rentrer mais ils n'en ont pas les capacités physique. Bon j'ai assez traîné maintenant il faut trouver la sortit... Rhaaa j'ai jamais été bon en course d'orientation et me sortir d'ici ne va pas être facile, j'ai aucune arme et je pisse le sang, ses choses vont rappliquer comme un ours qui sent du miel. Après avoir tourné sur moi-même je repère un pied de table en fer que je ramasse, c'est toujours mieux que rien non ? Après avoir trouvé cette arme d'infortune je sors de la salle et m'aventure ''courageusement'' dans les couloirs de ce lycée. Sortir vivant et en un seul morceau me plairait beaucoup, après tout ne suis-je pas trop jeune et trop mignon pour mourir maintenant ? (~Et puis s'il meurt y'a plus d'histoire les cocos~) Vingt minutes et deux arrêts cardiaque plus tard je suis enfin dehors, mais pour aller ou au juste ? Mon regard est soudainement attiré par deux cadavres qui se dirigent vers moi suivit par une centaine d'autre. J'éclate de rire et frappe dans mes mains en reconnaissant mes deux lâches de camarades.

« -Et bien je vois que ses amours ont gagné la partit d'loup, Dies nennt man Karma, bon ce n'est pas tout de plaisanter mais, le devoir m'appelle» (c'est ce qu'on appelle le karma)

Je prends la poudre d'escampette et part en courant, enfaite si je ne m'étais pas pris la porte je serais moi aussi mort, ce lycée n'avait aucune issus avant que ses deux fou furieux ne se sacrifie en se jetant inconsciemment dans les couloirs. Ich habe einen guten Stern (j'ai une bonne étoile).

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⏰ Last updated: Feb 07, 2016 ⏰

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