Bad Boy, Créature Et... Des Coups De Foudres Interdit

Chapitre 5

J'ouvre lentement les yeux, un bras autour de moi.
Blue était couchée sur moi, sa tête sur mon torse. Je réalise que nous l'avons fais. Je la regarde une fois encore, et la je vis le truc le plus chelou de toute ma vie.
Les cheveux de Blue étaient BLEU!
Ne sachant pas quoi faire, je réveille Blue.
-Blue réveille toi, s'il te plaie, murmurai-je.
Je la secouait par les épaules.
-Mmmh... Quoi ? Dit elle en baillant.
-Heum... Blue tes cheveux ils sont... Balbutiai-je.
D'un coup, elle était prise de panic, elle se leva en trombe et partie en direction de la salle de bain.
Sur ses talons, je me précipitais, à une vitesse surhumaine, vers la salle de bain.
Je toquais et dis :
-Heu.. Blue, sa va? Demandai-je.
-Oui, 2 min. Dit-elle.

5 min plus tard, elle sortie et me dit :
-Je te dois des explications, déclare-t-elle, mais avant je dois te posée une question.
-Dis-moi.
-Tu es quoi ? Me demanda-t-elle, sérieuse.
J'écarqillais les yeux. Savait-elle ? Que faire, lui déballé tout ou faire comme si de rien n'étais?
-Heu... Je ne voit pas de quoi tu parle. Dis-je
-Arrête, tu n'ai pas humain, si non je t'aurais déjà vidée de ton sang et jamais je ne t'aurais laisser me faire l'amour. Dit elle avec humour.
Elle est une vampire ? Comment je ne l'ai pas remarqué ? Quel con.

PDV de Blue

-Alors, dis-je impatiente, tu es de quel race ?
-La même que toi, dit-il, simplement.

Alors la, j'étais largement sur le cul.
Comment je ne l'ai pas remarquée ?

-Comment...., dîmes à l'unisson.
-Commence, dit il.
-Comment tu as fais pour que je ne le remarque pas ? Demandai-je.
-Je te retourne la question. Dit-il, amusé.
-Un sors que ma tante, une sorcière, m'as appris avant de partir de chez moi et toi ?
-Je l'ai appris tout seul.

-Maintenant, explique tout, dit-il.
Je lui racontait tout, mais tout et au fur et a mesure de mon récit, il était de plus en plus dégoûté.

PDV d'Aaron

J'avais écouté son histoire et j'étais dégoûté.
Blue était la fille que je devais séduire et moi le gars qu'elle devait séduire pour la "vengeance" de nos parents.
Je décidais de lui dire.
-C'est moi.. Dis-je.
-Hein ? De quoi tu parle? Dit-elle, ahurie.
-Le gars que tu devais séduire, c'est moi ! Criais je.
-Non.. C'est pas possible, dit elle.
-Si et c'est pas tout, mon père m'avais ordonné de te séduire et me servir de toi, j'ai refusé et je me suis enfuis de chez moi aussi.dis-je, vraiment a bout.
Je savait qu'elle allait partir mais je ne pouvait pas la laissée partir. Je l'aime. Soudain, choqué par cette révélation. Je pris mon visage dans mes mains. Elle allait partir. La fille que j'aimais.
Je sentis un doigt, son index, relever mon menton. Elle essuya les larmes qui étaient coulées. Je ne m'était pas rendu compte que je pleurais.
Elle murmura a mon oreille :
-Moi aussi je t'aime. Et elle me pris dans ces bras. Je répondais a son étreinte et j'entendis ces pensée.
"J'ai pas envie de le perdre a cause de ma merdeuse de famille. Aaron et tout se que j'ai a présent et je l'aime. Jamais personne ne m'avais fait chavirée comme sa. Quand je repense a la tête que mes parents vont faire en apprenant... "
-Non, dis-je.
Elle me regarde interloquée.
-Quoi ? Dit-elle.
-"Je veux faire changé mes parents et les tiens et pour sa il faut qu'on se fiance.
Je veux vivre avec toi éternellement, t'aimer, te câliner, t'embrasser, faire ma vie avec toi.
Et je ne veux pas que nos famille se dispute, a cause de sa. Alors si tu deviens ma fiancée, il devront l'accepter. "
Une larme coule mais je sais que se sont des larmes de joie.
Je m'agenouille devant elle.
-Blue Night, me feras-tu l'honneur de me laisser te cherir, et t'aimer dans richesse et la pauvretter, la maladie et la santé, pour l'éternité. Épouse moi.
-Oui..., souffla-t-elle. Elle me sauta au coup.
-Attend je revient. Dis-je, en souriant.
J'allais dans ma chambre cherché la bague de fiançailles de ma grand-mère. Elle est très importante pour moi.
J'arrive prêt de Blue, prend sa main gauche et mis la bague a son doigt.
-Dès demain nous allons partire, chez mes parents, dis je.
-Ok. Dit-elle.
Je pris mon tel et appela Blaeck.

*concertation téléphonique *

-Ouais, il faudrait que tu dises au gang qu'on pars chez moi, on a affaire là bas.

-Ok, pas de prob' chef.

*fin de la concertation téléphonique*

Mes parents vont être très surpris...