Imagine

Gaston

Imagine.

C'est vendredi, dernier jour avant les vacances de Noël. Belle et toi harcelez les garçons depuis une semaine, après qu'ils aient fait l'erreur de dire qu'il était possible d'entrer dans l'internat pendant la journée. Ils avaient donc fini par accepter et avaient promis de vous y emmener. Après avoir mangé vous vous dirigez donc vers la porte que le surveillant vient de quitter, vous glissez dans l'ouverture et montez quatre à quatre les escaliers menant aux dortoirs. Gaston se place devant la porte et vous ouvre avec un sourire. "Si ces demoiselles veulent bien se donner la peine." vous annonce-t-il avec un clin d'œil. Entrée dans la pièce, tu te jettes sur le lit que tu préfère tandis que Belle s'étale sur un autre un peu plus loin. "C'est le mien!"vous écriez-vous en riant. Mais avant que tu n'aies eu le temps de te relever tu sens une masse s'écraser sur toi et te retrouve bloquée sur le lit. "C'est à moi." te chuchote Gaston à l'oreille tandis que ses mains t'emprisonnent, se glissant sur ta taille.

Tu ne peux te retenir de rire au contact des ses mains sur cette partie très chatouilleuse de ton corps. Tu vois une lueur joueuse apparaître dans ses yeux alors qu'il s'arrête. "Non ,Gaston, pas ça, je te préviens..."Mais un grand sourire apparaît sur son visage et il se jette sur toi pour te chatouiller, ignorant tes supplications tandis que tu te débats pour échapper à cette torture. Tu fini par réussir à attraper ses mains pour l'empêcher de continuer mais il perd au même moment l'équilibre et se retrouve collé à toi, son visage à quelques centimètres du tien. Vous restez ainsi, tes yeux ancrés dans les siens où tu te perds à admirer ses yeux dont la noirceur t'attire irrémédiablement.

"Sinon on vous dérange pas trop?" Vous vous redressez, surpris par Belle et Quasimodo dont tu avais complétement oublié la présence. "JE vous interdis de faire des bébés ici! Allez venez, les autres nous attendent." se moque-t-il avant de partir avec Belle. Tu te retourne en rougissant vers Gaston et il t'adresse un grand sourire avant de partir rejoindre les deux autres, prenant ta main dans la sienne.