Précédemment dans le chapitre 1.
Mais que va me faire c'te mec..
L'homme cria d'un coup se qui me fit sursauté:
"-Bon! Voyons se que tu as dans le ventre! Au sens propre!
Il me regarda d'un sourire des plus sadique et se retourna pour prendre une grande scisaille.
"-Wowowow et faut faire attention avec ça! M'écriai-je.
-T'inquiète je sais très bien me servir de se jouet, me répondit-t-il d'un regard sadique."
J'étais pétrifié de peur, je ne savais plus quoi faire.
Point de vue d'Akuma:Il va me faire quwa avec c'te truc se fous, il s'approcha et ouvrit la porte, je me recula d'un geste rapide mais il m'attrapa le bras et me forca à sortir il s'exclama:
"C'est bizarre d'habitude mes cobayes sont heureux de sortir."
Il me prit le poignet et me l'attacha. Je le regardais d'un air apeuré, il n'y fit pas attention. Il me tira de force jusqu'à une table, il me prit et me monta sur la table, je me débattais, il m'attacha les poignets et les chevilles: j'étais coincé.
Il prit un couteau de bouché et m'ouvrit le ventre, je criais de douleur, ils s'arrêta nette et me regarda d'un air étonné et s'écria joyeusement:
"-Hooo, je suis tombé sur un démoon c'est le plus beau jour de ma viie.
-Hein?! Un démon mais mais je ne suis pas un démon, je suis un être humain, les démons n'existe pas!? Lui dit-je.
-Hoo en plus elle ne sais même pas qu'elle est un démon, c'est trop beau pour être vrai!! S'enthousiasma l'homme, bon je vais te laisser en vie mais il va falloir que je t'éduque avant de te vendre, je donnerai mon esclave avec et je pourrais enfin m'acheter un vrai esclave!
-M'éduquer? Me garder? M'exclamais-je, mais vous êtes fous! Laissez moi partir! En plus mes parents vont s'inquiéter!
-Hoo ne t'en fait pas pour tes parent, ils ne se souviendront pas que tu as existé, me répondit-il d'un sourire.
-comment ça? Répondais-je.
-Azami va aller les hypnotiser, répliqua-t-il, Azami! Va hypnotiser ces parents!
-Oui maitre.. Souffla Azami."
L'homme la détacha puis elle disparu comme par magie.
L'homme revena vers moi et me détacha un poignet qu'il attrapa avant que je ne puisse faire un geste. Il prit un objet qui était dans sa poche et me l'accrocha au poignet, cette objet était lourd.. Il me détacha ensuite l'autre poignet et les chevilles. Je me m'asseya au bord de la table, regarda attentivement le bracelet et essaya de l'enlever, je m'acharnais dessus quand l'homme m'ordonna "lève toi!", je le regarda d'un air d'imcompréhension, il s'écria "bon.. Je vois que tu n'as pas l'air de comprendre.." après c'est quelques mots je ressentit une douleur incomparable remplir mon bras, je tomba à genoux, par terre et il me disa "tu vois se que tu viens de recevoir? Et bien tu le recevras à chaque fois que tu n'obéiras pas." Je le regardais presque les larmes au yeux, il m'attrapa par les cheveux pour me relever, j'avais les larmes au yeux, je n'osais rien dire de peur de me prendre une décharge.
Il s'exclama:
"-Bien! Tu as l'air appeuré, je crois que tu as compris que tu étais impuissante, bon suit moi je vais te montrer ta chambre, il ne faudrait pas abimer la marchandise.
-Oui, je vous suit.. Soufflais-je.
-ho, au faite tu dois dire mettre ou sinon tu te recevra un coup de décharge, c'est un avertissement la prochaine fois c'est la décharge, me répondit-il.
-Oui, maitre. Dis-je.
-Bien! Tu apprends vite! Se réjouissa-t-il."
Je le suiva jusqu'à une porte, il l'ouvrit et me fit entré, à peine rentré dans cette pièce lugubre qu'il referma la porte à clef derrière moi, je me retourna d'esesperé. Mais je me résinia à frapper contre la porte, j'observa alors la pièce en détail, elle était moyenne avec de petite fenêtre qui était sécurisé par des barreaux de fer, un lit était collé au mur opposé à la porte, un petit bureau décorais cette chambre et une penderie était en face du bureau. Je m'approcha du bureau, intrigué, je vis un petit mot posé sur un tas de vêtement. Sur ce petit mot était écris: "voici tes nouveaux vêtements que tu devras porter."
J'attrapa le vêtement d'un geste rapide et découvra une robe noir assez courte qui arrivait au dessus des genoux. J'enleva mes vêtements et la mis, j'étais gêné.