CHAPITRE 1!

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CHAPITRE 1!

[Point de vue d'Émy Collins]

C'est décidé, je vais me faire entendre. bien sûr je vais crier et  quelqu'un va arriver pour me secourir comme dans les films et tout va aller pour le mieux. J'avoue que cela est un peu fictif et que sa n'arrive que dans ces satanées film à petit budget.

"À L'AIDE'' Hurlais-je à pleins poumons, mais effectivement comme je l'avais prédis, rien ne se passait.

J'essayais t'en bien que mal de me défaire de ces putain de liens qui me serraient les chevilles et les poignets, mais au bout de quelque instant je m'arrêtais net. Des bruits de pas provenant de l'autre côté de la sombre porte en face de moi se faisaient entendre.

"Il y a quelqu'un? S'il vous plait, qui que vous soyez aider moi." hurlais-je à cette personne de l'autre côté de la porte. Sans savoir ou encore,  faire attention que cette personne, pourrait très bien être mon pire cauchemars.

Je pouvais deviner qu'au son des clés qui s'entrechoquaient, que la personne de l'autre côté de cette porte, essayait de déverrouiller celle-ci. À ce moment, une lumière enfuis en moi, s'illuminait. Non celle de l'espoir,mais plutôt  celle de la peur. Si cette personne avait les clés de cette porte, forcément qu'elle avait un liens avec les liens qui martyrisait mes poignets et mes chevilles. La porte fini par s'ouvrir sur un homme. Un homme au cheveux blond et à la carrure imposante.

Le jeune homme, qui m'avait l'aire d'être dans la vingtaine, s'approchait de moi et venu me gifler. 

"Non mais ça va pas la tête?'' Lui hurlais-je à la gueule. 

" Tu va fermer ta grande gueule espèce de connasse. Ici c'est pas toi qui commande.'' Me hurlait celui-ci. Pour tout vous dire, il faisait extrêmement peur. Ses poings serrés ainsi que la veine proéminente  qui sortait de son front me faisais venir à la conclusion qu'il n'était pas très de bonne humeur. Noté le sarcasme bien sûr.

Je le toisait du regard afin de lui faire remarquer que je n'étais pas du même avis. Croyez-moi,lorsque je sortirais d'ici, mon père va lui refaire son satané portrait. Personne ne m'avais parlé ainsi au par-avant et encore moins gifler. Lorsque je vue monsieur le blondinet commencer par détacher mes poignets pour ensuite s'attaquer à mes chevilles, cela a été instantanément. Sans faire exprès, ou du moins, c'est ce que j'aurais aimé qu'il croit, je lui assénait un coup de pied là ou cela pouvait faire très mal à un homme, vous voyez ce que je veux dire! 

" Hé voilà pour toi, petit con.'' Lui riais-je à la gueule après lui avoir craché dessus.

Je me levais et parti à tout enjamber hors de cette pièce lugubre et immonde. Je me trouvais à présent à courir dans un couloir sombre et peu éclairé. Je montais des escaliers ou je pouvais enfin voir la lumière au bout du tunnel. Après avoir gravis les innombrables marches de cette escaliers, je tombais nez à nez avec une porte noir teinté de rouge. Je mis ma mains sur la poignet quand j'entendis le blondinet jurer au bout du couloir, j'ouvris la porte à grande volée et m'engouffrais dans la maison qui pour ma part, commençait à me paraître gigantesque. Par contre, durant ma poursuite afin d'évacuer les lieux, je pus remarquer que chaque pièce que je passais, aucune lumière du soleil se faisait voir, seul les vieux lustres de ce manoir illuminaient les pièces. De sombres rideaux cachait la lumière du soleil que j'aurais tant aimé voir. Si sa se trouvait, on est la nuit? ou le jour? Aucune idée. Je m'arrêtais net lorsque j'entendis des voix graves provenir d'une des pièces. Je  me cachais derrière l'un de ses immenses rideaux et je pus constaté qu'il faisait nuit noir à l'extérieur.

" Harry putain, sa suffit. Elle est morte. Tu peu cessez de la ruer de coup." Le Harry en question se levait furieux, la mâchoire carrée, des cheveux longs et bouclés sur les pointes, de magnifique yeux vert mais à la fois sombres. Ce qui m'arrêtais net, c'était ses poings serrés ainsi que le sang qui les recouvraient. 

Dark obscure [Fini]Où les histoires vivent. Découvrez maintenant