Silence

La terreur

Anthony m'emmena dans un camion, il me traina de force, je pleurait et criait de toute mes Forces. Mais rien à faire personne ne venait les rues étaient désertes, ce qu'Anthony faisait me paraissait inimaginable. Il monta au volent du camion et me laissa à l'arrière attachée. Je pensais à tout ce que Kim m'avait dit, je regrettait tous, j'étais horrifié. Je ne savais pas où on allait, mais je savais que pour moi c'était la fin. Je senti le camion s'arrêtait et la j'entendis les portes du camion s'ouvrir, je frissonnais. Anthony m'attrapa violemment, il m'emmena chez lui et me parlait. Il me disait que j'allais mourrir aujourd'hui et surtout il ricanait diaboliquement, j'étais terrifier il me pris le bras et m'emmena dans la cave, il faisait terriblement froid... Il me jeta, m'attacha  dans une espèce de cache à barreaux pour animaux. Je criais de toutes mes forces, mais personnes ne venait j'étais désespéré et le suppliai de me détacher, je pleurer toutes mes larmes, j'essayais de me libérer des menottes au qu'elles il m'avait attacher, je cherchés n'importe quoi parterre je regardais par tout les moindres recoins que je pouvais atteindre avec mes mains. Je ne trouvais rien j'était triste, en colère et terrifier en même temps. Je mordais les menottes et tentai tout pour me libérer mais rien n'était possible. J'étais fatiguer, mon coeur battait à 100 à l'heure. Je m'allongeais contre le sol glacé et me rappelais mon enfance, mes souvenirs, ma vie à Miami, mes parents et ma soeur. Je ne pouvais pas m'empêcher de me dire que jamais je ne les reverrais... Je sentis mon corps partir et je fermé les yeux lentement, j'étais épuisé. Soudainement j'entendit un bruit de sol qui craquer, je cria avec toute les forces qui me restait. Je n'eu pas de réponse, j'étais tout simplement désespéré. Je ne pouvais nous vous dire d'où venez ce craquement ni à quel heure il avait apparu. Il faisait tellement sombre, je ne voyais pas le jour ce levait, je n'avais plus la notion du temps... Je ne pus me rendormir que j'entendit un autre bruit et la j'aperçut une silhouette descendre l'escalier, c'était Anthony. Il s'approcha de la cage ou j'étais enfermée et y versa du pain et du beurre il me dit ensuite "petit déjeuner" et parti en ricanant. J'étais affamée et l'espace d'une seconde je cru qu'il n'allais rien me faire. Je dégustais le pain bouchée par bouchée, j'avais l'impression de manger un bœuf tout entier. La je revu cette silhouette apparaître je me dit qu'il venait me donner un second repas, mais cette fois, il ouvrit la cage. Il m'attrape violemment, je repensai petit à petit, à mes souvenirs et aus merveilleuses personnes que j'avais rencontré... Il me fit monter les escaliers grincent et craquant jusqu'à arriver à sa cuisine. Il m'attacha les bras les jambes sur une chaise, je me débattu mais rien à faire je ne faisait pas le poids, j'avais de plus en plus peur, je criais , je criai mais comme toute les fois personnes ne venait. J'étais sur ma chaise et je vis Anthony prendre un couteau pointu et tranchant, je cru qu'il allait me poignardé, je pleurer et pleurer, j'essayais de le persuader de reposer ce couteau, mais plus il s'approchait de moi, plus je sentais des frissons... Il me piqua d'abord avec une aiguille et je me sentis tomber, mes paupières était lourdes et épaisses et je partais. J'ouvri petit à petit les yeux j'étais au même endroit que tout à l'heure, mais Anthony lui, n'y était pas, j'étais quelque part rassurer, mais aussi intriguer. Au bout d'un certain temps ma curiosité pris le déçu et j'appela Anthony, MAI.. MAI..Mais je n'entendu aucun son provenir de ma bouche, et d'un coup je senti une douleur inouïe, comme si on me déchirer la langue. Je ne compris rien de ce qu'il m'arrivait. La je vis Anthony, plus terrifiant que jamais s'approchait, il me parlait. Je voulait lui répondre mais j'avais mal et aucun sons ne provenais de ma bouche. Il le voyait et riait de ça, il me dit alors ce qu'il avait fait. Je ne pouvais pas y croire, je n'aurai jamais pensé qu'il me "torture" j'étais détruite de l'intérieur, et je pouvais distinguer le sang couler de ma bouche.