Favélas

Bosco.

Nous sortons, dans la favelas. Ursula faisait la bombe, ce n'est pas qu'elle ne soit pas jolie bien au contraire mais elle en fait trop et paraît vulgaire. Enfin. Lorsque nous arrivons près d'un endroit où il y' a une dizaine d'hommes pourtant des kalash. Mes joues rougissent et je baisse la tête, non pas qu'ils soient impressionnant mais le fait est que je ne souhaitent pas mourir. L'un d'eux sort du lot. Il paraît plus affirmait serait ce le chef ? Je vois Ursula je jeter à son coup.
Ursula: Bosco!
Bosco? Alors c'est son nom "Bosco" et bien. Il ne lui répond pas et me regarde, il ne me lâche pas du regard.
Bosco: Marcelo elle, dit il en me pointant du doigt, ramène la à la villa.
Marcelo se dirige vers moi et m'attrape par le poignet.
Marcelo: viens. Il part d'un ton sec.
Étant sous le choc aucun mot ne pu sortir de ma bouche. Il me ramène à une voiture un gros 4X4. Je monte, il coupe la musique.
Marcelo: je t'ai jamais vu à la favelas. Son ton est plus calme.
Moi: je viens d'arriver.
Je répond sèchement.
Marcelo: parle bien. Et pourquoi une princessa comme toi est ici. Tu n'as rien à faire ici.
Je ne réponds pas.
On arrive devant une villa, on sort de la voiture, et entre dans la villa. Elle est immense, jolie bien décoré, mais gâcher par tous ses hommes qui portent des armes et on des putain à leurs bras.
Marcelo: tu plane ? Viens on monte à l'étage.
Moi: faire quoi? Il ne compte pas m'avoir dans la poche quand même !?
Marcelo: parle bien je t'ai déjà dis !
Bosco: Marcelo ! Sors d'ici ! TOUT DE SUITE !
Marcelo s'exécute. Alors se bosco à tant d'affluence.
La porte ce ferme.
Bosco: toi.
Je ne réponds pas, il me regarde il croit peut être que je vais baisser le regard ? S'il veut ma mort qu'il me tue. Je ne réponds pas.
Bosco: je suis bosco, le chef de la favelas, j'ai tout pouvoir ici.
Moi: tu crois peut être m'impressionner ?
Bosco: tenace la petite, une fille comme toi ne m'intéresse pas petite coincée, regarde moi et regarde toi. Princessa.
Encore un qui me dit que je suis une princesse, je commence à en avoir marre, cependant il est vrai qu'il a raison.. Lui est grand le regard noir, ténébreux avec des tatouages, je n'aurais jamais crus qu'un homme de son genre aurait pu m'attirer, il est tellement .. Beau.
Moi: tu ne m'intéresse pas non plus, tu crois être un homme parce que tu porte une kalash et que tu as des toutous qui te suivent partout !?
Il pointe son arme vers moi.
Bosco: je pourrais te tuer tu sais ?
Moi: fait le alors.
Mes joues rosissent certainement.
Bosco: on y va.
Moi: comment ..? Ou ca?
Bosco: je te ramène.