Une salle, sombre, les murs peints de brun. Là, au fond de la salle, se trouve un poteau. On y accroche un homme comme pour le crucifier... Le corps y est attaché par des cordes au niveau des ses poignets plutôt fins comparé à la musculature de ses bras, et une sangle au niveau de sa nuque, plutôt musclée. À côté de l'homme se trouve une petite table que l'on peut faire rouler. Dessus, il n'y a qu'une serviette pour s'essuyer, un peu d'eau, un couteau aiguisé et quelques aiguilles longues et fines. L'homme était là, seul, en caleçon, il ne savait pas ce qui allait l'attendre. Une ombre s'avançait, impossible de distinguer, ni la personne, ni son sexe. La personne s'avançait vers l'homme, lui tendit de l'eau. L'homme transpirait, alors la personne mystérieuse lui essuyait le visage, de manière douce. Elle prit ensuite la lame...
Elle mis sa main gauche sur l'avant-bras de l'homme, posa la lame froide de manière presque parallèle à la peau. La lame commençait à monter, doucement, la peau partait de manière très fine, aucun sang ne sortait. L'homme hurlait de douleur, des larmes commençait à couler le long de ses joues. Une petit ricanement sortir de la bouche de la personne. Elle leva les yeux ; une femme. Ses yeux brillaient, et elle affichait un sourire en coin, comme si elle éprouvait de la joie. Une voix aiguë sortit alors de sa bouche : "Alors ? Qu'en penses-tu?" L'homme la regarda avec douleur. Aucun mot ne sortait de sa bouche ; juste un léger gémissement.
"Eh ben, je te croyais plus fort que cela, vu ta carrure... On continuera demain, bonne nuit."
La femme le regarda, mit ses mains sur la nuque de la victime, posa ses lèvres sur sa joue puis repartit.