chapitre 1

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Pour commencer sachez que vous connaîtrez les personnages au fur et a mesure donc pas de présentation spécifique.

Narratrice :
Il était 12h passé, je me trouvais à l'hôpital Fann, (certains ayant l'esprit tordu me diront: "l'hôpital des fous" hum gare à vous! ) bref pour déposer quelques papiers pour mon stage.
En passant dans le couloir, devant une porte entre ouverte j'entends une femme parler seule on aurait dit qu'elle parlait à un enfant, curieuse que jetais je me suis introduite dans la pièce. Il n'y avait rien d'autre qu'un lit bien évidemment, une fenêtre qui donnait sur le jardin ainsi qu'une petite table et une autre porte les toilettes je crois. Cette dame de moins de 30 ans était la recroquevillé dans un petit coin de la pièce, tenant bien fort contre elle beaucoup de petits morceaux de tissus rassemblés qui pour moi lui faisait un bébé. Elle me faisais à la fois peur faut l'avouer et pitié aussi. Plus j'avançais plus mon cœur faisait boom boom boom ( tapette et fière Ya quoi ? Oh), lorsque je lui tapotais le dos elle se leva d'un bon elle avait peur et moi j'étais choquée. On aurait dit un mannequin elle était tout simplement magnifique avec son visage avec des traits fins, de gros yeux marron Comme du miel , un long nez, des lèvres pulpeuse et rose mais sèche malgré son laisser aller elle était belle. Grande de taille environ 1m76, pas beaucoup de formes mais cava et de teint clair une vraie toucouleur. J'aurais juré que c'était un djinn wallah mais bon comme on dit Dieu ne nous donne pas tout. Elle était loin d'être parfaite je le saurais grâce a mes nombreuses visites et aux informations fournies par son psychiatre. J'eu pitié d'elle, de cette femme si belle mais si perdue qui a été détruite par tant de choses pour des futilités oui j'appelle ça comme çà ces « plaisirs » de cette vie ou devrais-je dire ces conneries, ces tentations sans avenirs, ces pièges de Satan ! Comme disait mon prof de philo : « on a tous notre propre bien que çà soit un mal pour d'autres ou pas on s'en fou l'essentiel c'est que çà fasse qu'on se sente bien » je dirais ce prof c'est un connard. Le bien de certains nous dérange, ou plutôt me dérange pour ne pas vous embarquer dans ma vision des choses, parfois faut vraiment savoir faire la part des choses et dire à quelqu'un que ce qu'il faite n'est pas bien au lieu de le laisser s'enfoncer et se détruire pour du plaisir.

Cette femme se nommait Ndèye Anta...

Tout a commencé le jour où elle a surpris sa « mère » qui avait décidé que maintenant ils (ses frères) étaient assez grand pour savoir la vérité sur leur « sœur » en pleine discussion avec ses deux grands frères Ousseynou et Assane (des jumeaux) qui avaient 19 ans, dans le salon :

Les jumeaux : QUOI ??

Maman : hey khana dangenn dof do lenne wakh ndank avant qu'elle ne se doute de quelque choses tchip (parlez doucement vous êtes fous ou quoi ?)

Assane : Anh parce qu'elle ne sait pas que son vrai père qui était un dealer, un bandit a tué sa mère biologique qui était-elle une des prostituées du bar de ce ....

Il n'eut pas le temps de terminer sa phrase qu'Ousseynou, le plus calme lui ferma la bouche pour qu'il se taise

Maman : merci Ous, non elle ne le sait pas et jamais au plus grand jamais elle ne doit le savoir, compris ?? Avec des yeux qui ne laisseront aucune négation comme réponse

Ils firent « oui » de la tête puis se levèrent toujours surpris. Du côté de Ndeye Anta elle était là assise dans les toilettes malgré la salubrité elle était là assise et pensait, non elle ne pleurait pas ce n'était pas son genre ....

Bonne lecture <3

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