Les emprisonneurs de fantômes!

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La lumière s'alluma et je baissai les couvertures sous mes yeux. C'était le médecin et non un fantôme. Il me dit:
- Bonjour!
- Bonjour. Dis-je d'une petite voix.
- Je voulais vous dire que je ne peux rien faire pour ton pied. La seule solution c'est d'attendre que ton pied guérisse. Je vais te prêter des béquilles, mais après vous me remettriez les béquilles.
- D'accord, est-ce que ma tante est réveiller?
- Oui, le numéro 458
Je pris les béquilles et sortis de ma chambre. Le médecin m'avait pas à quelle étage la chambre était. Je vu un médecin et lui demanda où était la chambre 458. Il me dit que c'est à l'étage du haut. Je pris l'ascenseur et monta d'un étage. L'ascenseur allait un petit peu trop vite et je perdu l'équilibre. Je me relevai et sortis en direction de la chambre à ma tante. Je la vu avec un pâtre à la jambe et une grosse cicatrice sur la main. Je pris la parole:
- Salut, comment vas-tu?
- Pas si pire. Quelque chose ma attaquer. Va chez une de tes amis.
J'ai tout de suite pensée à Valérie. Elle reprit la parole:
- Et demain va à l'école avec elle.
- D'accord, mais l'école est fermer depuis l'accident. Bye!
- Bye, ma chérie, fais attention!
Je sortis et descendu par l'ascenseur en-bas. Je donna un billet de 20 à la réceptionniste et lui de manda si je pouvais garder les béquilles. Je sortis et trouva une cabine téléphonique. Je composa le numéro de mon ami et entendu la sonnerie d'attente. Enfin, sa mère me répondu:
- Bonjour, veux-tu que je te passe Valérie?
- Oui, s'il vous plaît.
Sa mère cria alors dans toute la maison: Valérie, téléphone. C'est Sarah.
- Allô, maman tu peux raccrocher, je suis là. T'étais où?
- Ben j'imagine que tu es au courant pour l'accident.
- Oui, vraiment, mais vraiment, je suis désoler pour tes parents.
- Merci, alors maintenant j'habite avec ma tante. Et, il y a un prisonnier qui est mort. C'est un fantôme! Ma tante c'est fait attaquer par lui et je n'ai aucune place où dormir. J'ai pensée à toi.
- Maman, est-ce que Sarah peut venir dormir chez nous, elle n'a aucune place où dormir.
- Oui, oui. répondu sa mère
- Alors, je te laisse. Je raccrochai et sauta à un pied jusque chez Val.
Je sonna à la porte et son père m'ouvrit la porte.
- Bonjour, monsieur Landeau. Valérie est là.
- Oui, Valérie, Sarah est arriver. Elle était dans le salon et écouta une émission sur séris+. Elle s'approche de l'entrée et me donne un gros câlin. Elle me dit qu'on va dormir au sous sol. Je lui demanda:
- On peu tu rester en haut?
- Ben oui! Vient on va aller dans la salle à manger, on sera plus tranquille.
Je la suit jusque dans une petite pièce avec de très beau meuble. Elle m'invita à m'asseoir en me demandant:
- Tu tes fait quoi à la cheville?
- J'ai tomber. J'aurais un petit service à te de mander si ça te dérange pas.
- Non, quoi?
- Chez ma tante, il y a des, tu vas me dire que je suis une cynglé mentale, mais il a des fantômes. Des personnes qu'on pourrait passer à travers. Il ont attaquer ma tante.
- Oui, je te trouve un peu folle, mais qu'est-ce que tu veux que je fasses?
- Demain, on a pas d'école et j'aimerais aller voir un spécialiste des fantômes. Ils font ça gratuitement.
- D'accord , on va y aller.
Après ses parents nous ont appeler pour nous demander d'amener un bol. Nous avons manger et nous sommes descendu en-bas pour dormir après nos manicure et nos pédicure. On a aussi beaucoup parler avant de fermer l'oeil. Le lendemain matin, J'enfile mes jean avec un chandail blanc. Nous allons déjeuner,mais je vois au travers de la fenêtre qu'il fait encore nuit. Je descend les quelque marche que j'ai monter.
***
Nous avons déjeuner en vitesse et Val dit à sa mère quelle risque de ne pas être là de la journée, mais de ne pas s'inquiéter. Nous partons à la marche. Ça fait déjà une demi-heure qu'on marche,il nous reste juste quinze minutes. Je commence à voire une pancarte sur laquelle il est marquer: Venez chez les emprisonneurs de fantômes. Quelle nom quétaine! Nous commençons à courir jusqu'à la bâtisse pleine de plante. J'ouvre la porte et découvris une pièce pas trop acceuillante. Un monsieur nous demande qu'est-ce que nous faisons ici. Je lui dit que je voudrais parler à un emprionneur de fantôme.
- Je vois que vous avez des problèmes de fantômes. Vous êtes venu cogner à la bonne porte. Je vais appelle quelqu'un. Vous pouvez vous asseoir. Je vais m'asseoir sur un divan accoster de Valérie et nous commençons à parler de tout et de rien avant que le monsieur nous dit de le suivre. Il nous emmène dans un bureau où un gars arrive et nous dit que le meilleur truc pour que les fantôme s'en aille est de dormir les lumière ouvertes. Il nous demande de partir maintenant.

Une année rempli d'actionOù les histoires vivent. Découvrez maintenant