Le tiers du bateau était a présent enfoui dans les eaux noires et déchaînés de la Manche qui semblait s'étendre a l'infini. Le navire était raide, complètement levé. Des personnes tombaient dans les eaux, s'agrippaient à tout se qu'ils trouvaient pour finalement finir comme les autres: englouti par la mystérieuse mer qui sait se montrer monstrueuse comme elle peut nous offrir tout ce qu'une merveille a à nous offrir.
Jules et moi, nous étions accrochés au plus gros mat qui n'avait pas encore disparu. Quand il me dit:
- Sauve toi mon ange. Revient a notre mère et ai une belle vie. A deux nous n'y arriverons pas, tu es bien plus agile que moi, toi tu à l'habitude. C'est comme le pendu, tu t'attache le plus fort que tu peux et tu tient. De tout ceux que je connais tu en es la plus capable. Je t'aime souviens toi.
Il lâcha le mat tomba dans un "PLOUF" qui me glaca le sang et disparu dans les profondeurs ténébreuses. Un engourdissement soudain me figea net et la seule chose qui me vint en tête c'était son histoire... Il ne l'avait pas terminée.
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Le jour où j'ai rencontré La Mort
FantasyJ'étais dans ces bras, j'entendais ses murmures, de sombres paroles.
