Chapitre 5 : Vengeance macabre.

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Scènes vulgaires. 🔞🔥

J'étais satisfaite. Ma vengeance allait enfin pouvoir commencer. Demain. Pendant cinq jours, un seul mourra toute les vingt quatre heures.

Au moment où je me levais pour me préparer des raviolis, une envie pressante de vomir se fit ressentir. J'accourai aux toilettes et me vidait l'estomac peu rempli. J'avais des tournis c'était horrible.

Une bonne demi heure plus tard, je me sentais un peu mieu et décidai d'aller manger. Mais le peu de pâtes que j'ai mangé finir eux aussi à la cuvette.

Je pris des médicaments et m'allongeai pour me reposer un peu.

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Le lendemain, dans un café du dix huitième arrondissement.

J'étais dans ce café à observer Said Belfalek. Un fidèle client du Bistrot Petit Paris. Je voulais commencer par ordre, du premier au dernier qui m'est violée.

J'avais opter pour une perruque châtain clair, des lentilles de couleurs noisettes et d'un maquillage un peu chargé afin de donner un autre aspect à mon teint. Je m'étais habillée différemment de d'habitude c'est à dire : baskets, pantalon pâte d'éléphant, chemise courte et large. Je m'étais habillée un peu négligemment afin de ne pas ressembler au vrai moi.

Je suis une personne qui a un style chic et décontracté et je déteste pardessus tout ne pas être féminine. Quand je dis chic décontracté, je veux aussi dire des vêtements qui cachent mes formes, je hais les exposer à l'air.

Donc bon, là c'était pour une très bonne cause.

J'étais méconnaissable : parfait.

Je me leva et m'avancer vers lui. Je fis semblant de faire tomber mon sac à son vieu pied. Il leva les yeux vers moi, me souris et se baissa pour le ramasser. Je profita de ces quelques secondes d'inattention pour verser du poison dans sa boisson très discrètement. Il se releva et me tendis mon sac, je le lui arrachais des mains et me dirigeais vers une autre table. Il ne comprenais rien.

J'attendis une bonne dizaine de minutes après qu'il est bu sa liqueur, pour ensuite le voir faire des grimaces, secouer sa tête, masser son ventre et ainsi de suite. Un sourire scotchai rapidement mes lèvres face à cette vision.

Je vous en supplie laissez moi! Criais-je.
Il ne m'écouta pas et m'attacha avant d'enfiler une sorte de plastique à son érection. Cela ne fit qu'augmentai mon stress. Il me suça la peau, me la morda. Il me dévêtit avec une flamme de désir dans les yeux. Il faisait des petits ronds avec son sexe sur mon ventre, il transpirait. Il têta mes tétons durcis.
Sa langue me lècha horriblement la bouche. Il ressemblait plus à un chien qu'autre chose. Il finit par entrer délicatement en moi, tout au fond, je sentis son sexe dur entier dans mon corps. Je criais...j'hurlais de désespoir mais rien. Il recommença ses vas et viens violemment.

Il commençai à hurler de douleur et le seul serveur présent du bistrot accourait nettoyer son verre de peur qu'il soit renvoyé pour quelques soupçons de meurtre à son égard, pauvre enfant, heureusement qu'il a été assez malin pour effacer mon mobile.

Il appela ensuite les pompiers. Ils arrivèrent cinq minutes plus tard, mais trop tard Said avait succombé, la mort l'avait emporté à mon plus grand bonheur.

Mort seulement à 26 ans. Croupis en enfer!
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Jour deux.

J'avais encore changer de look. Cette fois ci, j'achetais un vieu téléphone pas très cher et une puce pour appeler Pierre Salvador, mon deuxième violeur.

Je me fis passer pour une fille facile et lui proposait de nous retrouvais dans une forêt, loin des regards. Il accepta sans grandes difficultés et je lui proposait de ramener une de mes amies, heureux, il accepta en criant de joie.

Pauvre chou, il pensait faire un plan à trois mais si tu savais.

Je stoppais un taxi et il me ramena à l'endroit voulu. Je m'enfonçais dans les arbres non loin de la sortie et j'aspergeai une partie de la terre d'essence et j'en laissai un peu dans ma petite bouteille.

Je rappela Pierre et lui demanda où est-ce-qu'il se trouvait, il me dit qu'il serais là dans moins de deux minutes.

J'avais pu trouver un vieux matelas sale en cherchant un peu dans les bois, pour lui faire croire encore plus que nous allions faire une petite partie haramiste.

- Hey beauté te voilà. Cria-t'il.

- Hey, tu veux bien te placer là que je te fasse une petite danse avant de commençais. Dis-je en lui montrant la terre mouillé auquel il n'y fit pas attention.

Il accepta avec plaisir.

Idiot.

Au moment où il se retourna pour allez à la place demander, je le mouilla rapidement d'essence j'alluma une allumette et la jeta sur lui. Tout ça en deux secondes chrono.

NAAAAN! STOOOP! Hurlais-je.

ll me rua encore plus de coup. Il m'avait mise encore plus chaos. Je n'en pouvais plus. Pourquoi? Pourquoi moi, tout simplement.
Il me demanda de faire quelque chose d'insensé, de le suçais. Le suçais? Je ne comprenais plus rien, je ne savais pas où il voulait en venir jusqu'à... jusqu'à ce qu'il baissa son jogging et son caleçon. Il me tira l'arrière du crâne vers son...son... et i...Il me le mis dans ma b...bouche. Il me fit faire des vas et viens en me tirant les cheveux. Il soupirait de soulagement, il criait de... de plaisir? Pendant que je sanglotais et que je me débattais à l'aide de mes bras pleins d'hématomes. Il me viola ensuite.
Salie. Je l'étais. Détruite? Aussi.

D'après mes recherches, être brûlé vif était une très grande souffrance. Et je voyais que ça marchait. Il poussait des cris strident, il courait partout, il essayait de se débarrasser des premières flammes mais il ne pourra jamais se débarrasser des flammes de l'enfer.

Je lui jeta quelques autres alumettes, trois je crois. Avant qu'il ne tombe de douleur et qu'il ne bouge plus. Les flammes ont sûrement brûlées tout son épiderme ainsi que ses organes.

Je partis, le cœur un peu léger, il n'en rester plus que trois. Et je serais enfin comblée.

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Le soir même, dans mon lit.

J'étais... comment dire? Heureuse. Je l'ai avez vu souffrir comme je le souhaitez et c'est-ce-qui compte pour moi.

Il n'en restait plus que trois. Me dis-je.

Je m'endormis avec une affreuse douleur au ventre.

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Trois jours plus tard.

J'avais tuée le reste. J'avais séquestré Farid Almir, j'avais électrocuté et mutilé les deux autres.

Dans chacun des lieux du crime que j'ai commis, j'avais laissé un petit indice qui ramèneront les policiers chez moi. Ça prendra du temps, au moins un bon mois, les outils policiers n'étaient pas assez compétent et rapide. Je n'étais pas assez bête pour me faire prendre aussi facilement mais je leur réservés une petite surprise...

« Cette nuit » Où les histoires vivent. Découvrez maintenant