Je m'appelle Isabelle Saltzmann. J'ai 17 ans. Je suis ce que l'on peut appeler une "rebelle". Malheureusement (ou heureusement ) je suis l'une des femmes les plus riches du monde. Mon père est à la tête de plus de 8 pays. Seulement j'ai un problème...
Je suivie donc ma si agréable directrice pendant l'ascension de trois étages d'escaliers : autrement dit, la joie. - Voici votre chambre.
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Ah bah si, elle a finalement peut être un peu d'humour.
- Ahaha, non mais sérieusement, je dors où ? - Ici mademoiselle, faut il que je vous le répète encore une troisième fois où l'information vous est-elle enfin parvenue ? - Rappelez moi le prix d'une année dans cette établissement madame ? - Cette informations na pas à vous être divulguée, votre père se charge de ce genre de ... Détail. - Votre absence de réponse conforme bien ce que je pensais : le budget réservée à ce pensionnat doit être exorbitant, je ne pense donc pas que le fait de dormir dans un simple placard de 7 mètres carrés puisse être acceptable. - Vous n'avez pas votre mot à dire ! - Moi peut être pas, mais mon père oui ! Et malgré nos rapport plus que laborieux je ne pense pas que le fait de savoir son argent si mal placé lui ferait très plaisir.
Et bim !!!! Elle l'ouvre moins tout d'un coup on dirai ! Allez, encore un coup histoire de bien enfoncé le clou :
- Mais si vous voulez confirmation de mes propos, on peut appeler mon père tout de suite.
Je fis mine de sortir mon téléphone, comme si moi j'allais dormir dans cet espace où même mettre des toilettes serait choquant ! Et comme je l'avais prévu, elle réagi à la minute près, elle est peut être stricte mais l'appât de l'argent l'emporte toujours :
- Non, enfin, ne le dérangez pas pour si peu, je suis sûr que nous allons trouver un arrangement. - Je vous suis donc 😙
Nous continuâmes dont de marcher jusqu'au bout du couloir puis l'on tourna à droite et je tomba sur une chambre beaucoup plus ... Acceptable. Que l'on me mette en pensionnat sans me consulter avant, j'encaisse, que l'on me menace de retirer mon héritage, j'encaisse, que je sois obligée de changer de nom, j'encaisse encore une fois, mais me loger dans une simple chambre de bonne : il en ai hors de question.
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- Merci ! lui lançais-je, accompagné d'un petit sourire sarcastique.
Elle quitta ma nouvelle chambre sans plus de cérémonie. Enfin un peu seule ! Déjà un bon point : je ne vois qu'un seul lit présent dans cette pièce. Je n'aurais donc pas à partager le peu d'espace vitale présent avec une parfaite inconnue qui voudra sûrement faire amie-amie. Mais sa il en est hors de question, on m'a envoyée ici contre mon gré et je vais bien leurs faire comprendre à tous ces petits bourges.
J'eus tout juste le temps de ranger mes affaires quand on toqua à la porte. Je n'eu même pas le temps de dire "ENTRER" qu'une tornade blonde ouvrit en grand la porte et se précipita sur mon lit.
- Hey coucou, je m'appelle Annie, je suis chargée de te faire découvrir le pensionnat ! Tu va voir je suis sûre que l'on va super bien s'entendre ! Tu es nouvelle ? Evidemment que tu es nouvelle, sinon je ne serais pas ici hihihi. Alors, comment tu t'appelles ? Tu viens d'où ? Dis-moi, tu as un petit-ami ? Moi non, mais il y a un garçon qui me fais craquer tu vois mais je ne sais pas vraiment comment lui dire... Tu penses que je devrais faire quoi toi ?
- Déjà que tu fermes ta gueule et que tu sortes de ma chambre.
- Non, mais tu as trop raison, mais com... Attends, tu as dit quoi là ?
- Tu veux vraiment me forcer à répéter ? Je ne pense pas. Donc toi et tes petites boucles anglaises de lady tu sors d'ici et tu me laisse, oui je suis nouvelle et non, on ne sera pas amie. Donc tu gardes tes pseudos problèmes pour toi et tu me laisse respirer. Merci.
La pauvre chou, elle avait l'ai totalement choquée. Mais bon, heureusement pour elle, elle réussie à trouver la sortie sans mon aide et sans plus de cérémonie. J'espère que tout les élèves de cette établissement ne ressemble pas à d'aussi gros clichés sur pattes sinon je vais faire un meurtre. Bon, maintenant que j'aie installée toutes mes affaires, on peut dire que j'ai une petite faim, enfin petite n'est pas vraiment l'adjectif le plus approprié pour décrire mon appétit du moment. Je tuerais père et mère pour une bonne, grosse et bien grasse pizza... Dégoulinante de fromage et de calories. Mmmhh... Bon, il est vraiment temps que je trouve la cafétéria, juste le temps de sortir de ma chambre, de fermer la porte que je me précipite déjà dans le couloir. Seulement, oups petit détail : je ne sais pas où se trouve la cafétéria et devant moi se trouve deux escaliers, je prends lequel ? Bon et bien on va utiliser la bonne vieille méthode : plouf-plouf-plouf, au-bout-de-trois-se-sera-toi-que-je-prendrais-pour-aller-manger : 1-2-3. Et hop le choix est fait, se sera donc l'escalier de droite.