Chapitre 1.

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CHAPITRE 1, The last Wizard.

"Tout va changer aujourd'hui, Louis. Absolument tout, tu vas te retrouver seul dans quelque temps. Il t'aidera, ai confiance en lui. N'ai pas peur de l'inconnu, dans tous les sens du terme."

Je me réveille en sueur du à un cauchemar et à cette phrase qui m'a réveillée huit fois depuis minuit. Je découvre ma chambre, saccagé de tous les côtés. Mes habilles sont déchirés et étalés partout. Mes livres sont tous parterre, et mon bureau de verre : brisé. Je reste bloqué sur ma vision, je me frotte les yeux et sort tremblant de mon lit, les yeux écarquillés et une boule au ventre, que ce qui se passe ?

-Maman ? Papa ? Hurlais-je depuis ma chambre.

Rien. J'ouvre ma porte toujours en tremblant, m'apprêtant à trouver le couloir dans le même état mais rien de cela, tout le reste de la maison est en ordre. Ai-je fais une crise de somnambulisme comme à chacun de mes anniversaires mais cette fois-si beaucoup plus violemment ? Mes parents auraient été là pour me réveiller, mais où sont-ils ? Je me fige devant le sapin, me rendant compte qu'il est huit heures, que c'est aujourd'hui Noël et de se fait, mon anniversaire. Je monte les escaliers pour aller réveillé mes parents, j'ai beau avoir 18 ans aujourd'hui, la magie de Noël reste la magie de Noël. Je toque après la porte en hurlant que c'est Noël, en oubliant presque l'état de ma chambre. En entrouvrant la porte je découvre qu'ils ne sont pas dans la chambre alors je décide de les appeler : je tombe directement sur la messagerie. Je soupire et retourne dans ma chambre, retrouvant le même désordre que quand je suis sortis, croyant que ma maison avait été victime d'un cambriolage. 
Bordel que ce que j'ai fais ? Je commence à poser les livres sur mon lit, puis je met mes habilles, tous déchirés dans un sac poubelle en soupirant, génial comment vais-je m'habiller moi, maintenant ?
Je ramasse le verre pour le mettre dans une autre sac poubelle, un gros morceau me coupe l'intérieur de la main, je maudis le verre et je descends les escaliers, me dirigeant dans la salle de bain. Je me désinfecte la plaie et presse un gant de toilette sur celle-ci, ne sachant pas où se trouve les bandes.

Je remonte les escaliers et me stoppe à la quatrième marche stopper par la sonnette. Je soupire pour la vingtième fois de la matinée et ouvre la porte, je lève la tête devant deux policiers, qui font tous deux, deux têtes de plus que moi. Le plus jeune baisse la tête et le deuxième me demande si je suis bien Louis Tomlinson, j'acquiesce, fronçant les sourcils.

« -Monsieur Tomlinson, je suis désolée de vous en informez ainsi... soupira t-il. Vos deux parents sont morts se matin, ils ont eu un accident de voiture, non expliqué à cette heure. Toutes mes condoléances monsieur Tomlinson. »

Je laisse tomber le gant de toilette imbibé de sang et fixe les deux hommes devant moi, j'arrive pas à accumuler l'information,  mort, voiture, non expliqué, parents ?

« -Nous restons à votre disposition sur ce numéro, me dit-il en me tendant un papier. Monsieur ? »

Je tend la main pour prendre le papier et fronce les sourcils ne voyant plus de coupure sur ma main. Je les remercie et ferme la porte. Je tombe dos à la porte, la voix de mon rêve ressurgit soudainement, il est neuf heures.

"Tout va changer aujourd'hui, Louis. Absolument tout, tu vas te retrouver seul dans quelque temps. Il t'aidera, ai confiance en lui. N'ai pas peur de l'inconnu, dans tous les sens du terme."

Je regarde le gant de toilette en sang, ma main guérit, le papier du policier et me sens pris d'un vertige horrible, je cours dans les toilettes vomir le restant du repas d'hier. Je sort du toilette, ne sachant pas où aller. J'ai l'impression d'être ailleurs, de ne pas être chez moi, de ne pas savoir qui je suis, j'appelle ma mère sur son téléphone, puis mon père tombant encore et encore sur leurs douces voix de messagerie.

"Madame Tomlinson bonjour, je suis désolée d'avoir loupé votre appelle, laisser un message, je vous rappellerais." Sa douce voix innocente et adorable, je ne l'entendrais plus jamais ?

"Monsieur Tomlinson, laissez un message." Sa voix plus rauque et pourtant cassez, elle aussi je ne l'entendrais plus jamais ?

Je suis repris de vertige, je retourne au toilette et vomis de l'eau, n'ayant plus rien dans l'estomac. Bordel, j'ai besoin d'un verre d'eau. Je me lève et vois un verre d'eau, poser à l'entrée du toilette. J'hallucine, c'est forcément ça. Je suis dans un cauchemar. Je ferme fortement les yeux mais me retrouve toujours au même endroit en les rouvrant, je m'appuie à la porte et prend le verre d'eau dans ma main, je n'hallucine pas, il est là. Je bois une gorgée et apprécie le liquide légèrement citronné comme j'aime descendre dans mon œsophage. Je le repose et re-regarde ma main, qui j'en suis sur était en sang il y a moins de dix minutes. J'appelle le policier qui était chez moi, lui aussi il y a moins de dix minutes.

« -Officier lerouge, que puis-je pour vous ?
-Je.. je... Vous... Monsieur Tomlinson. Vous venez de...
-Oui, monsieur. Je vous écoute.
-Les hallucinations sont fréquentes après la... mort, de.. de ses parents ?
-Ça peut arriver d'ans certains cas, reposer vous Monsieur. Je vous appelle en cas d'information, d'accord ? En attendant calmez-vous et essayez d'inspirer et expirer lentement. Je peux contacter un psychologue si vous le désirez. Cela vous vas ? 
-Merci. »

Je raccroche et retourne dans ma chambre, les sacs poubelles de sont plus là et mon bureau n'est plus brisé. Je m'assoie sur mon lit, regardant cette scène encore et encore. Que ce qu'il m'arrive ?  Je suis certain d'avoir vu ce que j'ai vu, d'avoir ranger mon foutoir. Je ferme les yeux et en les rouvrant, les sacs sont de nouveaux là et mon bureau en sac, détruit.

Je reste stupéfait, je sort en courant de la chambre allant dans ma cuisine. Je me recule contre le plan de table. Je ferme mes yeux, respire profondément et essaie de gérer mes tremblements. J'ai besoin de respirer, de parler à mes parents. C'est mon anniversaire aujourd'hui, c'est Noël aujourd'hui et mes parents sont morts aujourd'hui. Comment c'est possible putain ? Que ce qu'il c'est passer ? Pourquoi ont-ils pris la route aussi tôt sans raison apparente ? Tous les magasins sont fermés la journée de Noël.
Je rouvre mes yeux, toujours dans ma cuisine. Je passe mes doigts là où j'étais censé être couper. Rien. Aucune marque.

Je relève ma tête me s'entend observer, rien. Je débloque complètement. Je m'assoie par terre, met ma tête entre mes mains et commence à laisser mes larmes coulés. Je réalise. Mes parents sont décédés, je me retrouve seul. Comme cette putain de voix me l'a annoncé. J'ai personne, je n'ai pas de famille. J'avais que mes parents. J'avais qu'eux, on a toujours détester les autres hypocrites de la famille. Je me retrouve seul face à la vie, seul face à mon deuil, seul face à
mon destin.

10h. "Tout va changer aujourd'hui, Louis. Absolument tout, tu vas te retrouver seul dans quelque temps. Il t'aidera, ai confiance en lui. N'ai pas peur de l'inconnu, dans tous les sens du terme."

Je hurle me tenant plus fermement la tête, je hurle encore et encore. Je me lève, frappe dans un placard en jurant contre ma vie de merde, j'aime mes parents putain, j'ai besoin d'eux. Je me calme, prend un verre d'eau devant moi et une fois calmé, je me rends compte que je viens de boire un verre d'eau que je n'ai pas préparée, je me tourne lentement et vois ma maison saccagé, exactement de la même manière que ma chambre. Je reste face à cette scène, bloquer sur se saccage. Je regarde mes mains, je me sens tourner. Je m'assoie sur le plan de table et reste bloqué sur l'intérieur de ma maison détruite.

Je sens un courant d'air frais et un claquement de porte.

-Louis ?

11h. "Tout va changer aujourd'hui, Louis. Absolument tout, tu vas te retrouver seul dans quelque temps. Il t'aidera, ai confiance en lui. N'ai pas peur de l'inconnu, dans tous les sens du terme."

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Je poste cette fiction en attendant les quelques chapitres de fin de Scary, ils arriveront dans environ un mois. J'espère que cette fiction vous plaira en attendant.

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