Chapitre 1

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Le vrai commencement de mon histoire ne sera pas racontée tout de suite. Je vous laisserais d'abord découvrir ma vie avant que celle ci je change du tout au tout.

C'était en octobre 1947, la guerre était terminée depuis deux ans maintenant et les esprits ravagés par les atrocités qui avaient eu lieu commençaient a peine a se cicatriser. Mes parents avaient éviter la souffrance Grace a leur rang. Mon père venait d'une famille très renomé et avait déjà servit a la première guerre mondiale ce qui lui avait valut le miracle de ne pas être choisit comme soldat. Il avait aussi dut payer un grand nombre d'argent et essuyer les critiques asserantes de beaucoup de malheureux mais a cette époque je n'y faisais pas attention. J'étais simplement heureuse de voir rentrer mon père tout les jours.

Le deux octobre 1947, J'ouvris lentement les yeux, réveillée par le ronflement de mon husky, Winter. La première chose que je vis fut sa truffe collée à mon menton. j'avais le bras passé autour de son cou et la jambe sur son dos. Je souffla légèrement sur son museau et il ouvris les yeux en grognant.                                                                                                                                                 Je rigola pendant qu'il sortit sa langue prêt à me lécher mais avant qu'il ait pu finir son geste, il se rendormit la laissant pendre mollement.

Doucement, je sortis du lit et enfila mes chaussons. Il faut que vous sachiez que ma chambre etait en réalitée un grenier et que ma porte d'entrée, une trappe. Elle etait assez grande pour que mes parents aient put installer une corde pour descendre et un escalier pliable pour monter. cela permetait aussi a Winter de gambader librement du couloir a la chambre. Je m'agrippa a la corde et me laissa glisser. Je me diriga vers la cuisine et sortis de la boîte a congélation, le cocktail que je me m'etais preparée la veille. 

Je regarda l'horloge. 8h33, parfait, ça me laissait le temps de m'habiller et de préparer mes affaires avant d'aller à l'association. Tout les dimanches, de 9h30 à 18h00 je faisais du bénévolat dans une association SOS Chevaux qui recueillait les chevaux normalement destinés à l'abatoire, maltraités ou encore malade.

Ils s'occupaient aussi des ânes et des poney. Ils possèdaient vingt-deux chevaux et deux ânes à l'époque. Je ne peux pas vous citer tout les noms mais vous en découvrirez quelques-uns par la suite. Pour les ânes, il y avait la mère, Nineth une jolie grise et la fille, Esel qui etait marron. Ensuite ils avaient aussi des animaux qu'ils avaient adoptés dont deux chiens; Fifille et Balou, trois chats; Yoda, Moumoune et Patachon-Cornichon, quatre poule, un coq, un paon, un perroquet et cinq chèvres; le pere, la mere, la fille ainée qui malgré ses trois années possedait toujours la même taille qu'a trois mois et les deux jumaux.

À leur naissance, la mère n'avait qu'une seul mamelle et avait choisit de s'occuper de la fille, abandonnant le garçon, alors la directrice avait décidée de l'élever elle même en le nourrissant au biberon et en l'élevant comme un chien. Lorsqu'ils allaient chez le vétérinaire, elle le prenait avec une laisse et se promenait, le chien d'un coté et la chèvre de l'autre. lorsqu'on l'appellait, il arrivait directement et se frottait contre nos jambes pour réclamer des papouilles.
Je me souviens avoir été très amusée par cette histoire lorsque l'on me l'avais raconter. J'avais ris d'un rire plein de joie sans samblant de malheur. Ce fut un de mes dernier véritable rire.

C'était l'endroit rêvé pour quelqu'un qui aimait la nature, quelqu'un comme moi.

Je me dirigeais vers la luxueuse salle de bain pour me brosser les dents, les cheveux et prendre un bain. Pendant que l'eau brulante enveloppait mon corps, j'imaginais ce que j'allais faire avec les chevaux. Après m'être lavée, je monta les escaliers menant à ma chambre, ce qui fut assez compliqué avec qu'une serviettes sur le dos et je chercha dans ma penderie le seul pantalon que je possédais et qu'il avait était si compliqué a obtenir, ainsi que le gros pull que je portais généralement pour aller à l'asso.

J'enfila une veste tout en jetant des coups d'oeil à Winter qui sommeillait toujours sous la couverture, puis je trottina jusqu'au jardin et enjamba mon vélo. D'un coup, je siffla du plus fort que je put en faisant sonner la cloche de la bicyclette avant de m'engager tranquillement dans l'allée couverte d'arbre qui menait a la route. Soudain j'entendis un aboiement et tourna la tete vers la maison.                     

Je souris en voyant Winter passer en trombe la porte d'entrée et me rejoindre sans arrêter d'aboyer. Il ne supportait pas que j'aille sans lui à l'association car il adorait passer du temps avec les chevaux.


Je continua mon chemin roulant à ses cotés.

J'inspira une grande bouffée d'air marin tout en regardant le paysage. C'était magnifique ! J'étais tellement contente que mes parents aient décidés de revivre en bretagne ! je savais qu'ils étaient originaire d'ici et qu'il avaient déménagé sur la cote d'azur environ un an avant ma naissance. Mais deux ans auparavant, c'est à dire à mes 13 ans, ils avaient voulut revenir.

Au début je n'étais pas d'accord. Je pensais que cette région était synonyme de froid et de gris mais je m'étais apparemment trompé. Enfin en tout cas pour la cote sauvage. C'était l'un des paysages les plus beau que j'ai pu connaître. Les plages étaient séparées pas d'immenses rochers et leurs entrées étaient envahies par de longes herbes.
Les jours de tempêtes les vagues, aussi grandes que brutales, se fracassaient lourdement contre les rochers projetant à plusieurs mètres de minuscules gouttelettes.

Oh je ne conteste pas le faite qu'il y fasse froid mais gris, non. Je ne laisserai personne dire que cet endroit est gris ou fade.

Ce jour la il faisait merveilleusement beau. Le soleil projettait ses rayons sur les gouttes survivantes de la pluie de la veille. Si je plissais les yeux, la route disparaissait et je ne voyais plus que ces diamants scintillants. Les vagues s'échouaient doucement sur le rivage.

Je rouvris les yeux. Ouf ! il en était moins une ! encore quelques secondes et je ratais le chantier.

Tranquillement, j'étandis ma main droite pour signaler à un éventuel conducteur mes intentions même si je savais parfaitement qu'il n'y avait personne, avant de m'engager entre les arbres.

Ce chemin me faisait beaucoup penser à notre maison car il etait entierement caché de feuillage ce qui donnait l'impression d'être dans une grotte .

Au bout de quelques minutes, Winter aboya juste au moment ou la tête de Luyanna, une belle jument noir et blanche, laissa apparaître sa tête. Je lui envoya un baiser immaginaire, puis dans un dernier virage, j'appercus la grande pencarte en bois ou est inscrit : TANKA.

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Voici le premier chapitre! Ce n'est pas super mais si vous me donnez des conseils je pourrai m'améliorer!

Bonne lecture!

L'être cachéOù les histoires vivent. Découvrez maintenant