Salut tout le monde ! Cette histoire sera une autobiographie fictif dont le héros principal est une jeune fille d'environ 16 ans du nom d'Amaya ( qui signifie pluie nocturne en Japonais). Soyez indulgent avec moi car c'est la première histoire que j...
J'étais arrivés à la gare à 20:00. Comme j'étais en avance, je me suis acheté un sandwich et une boisson gazeuse puis j'ai fait un petit tour dans la gare. Elle était grande ! Il y avait des marchands un peu partout et beaucoup de personnes qui revenait sûrement de leur travail. J'ai regardé ma montre, il était 20:15. Je me suis dirigée vers un plan de la gare pour savoir où se trouvait le quai du train que je devais prendre. Il était à environ 10 minutes de là où j'étais. Je me suis donc dirigée petit à petit vers ce quai en continuant de regarder autour de moi.
Je suis arrivée 5 minutes à peine avant l'arrivée de mon train. J'avais dû courir parce qu'à force de prendre tout mon temps j'avais eu peur d'être en retard.
Le train était arrivé. J'aurais cru que Yuko serait venu me dire au-revoir même si je lui avais dit que je n'aimais pas les adieux mais il n'y avait personne. Après quelques secondes de réflexion et de doutes, je suis monté dans le train avec une envie de pleurer. J'allais partir et laisser toute mon enfance ici.
- Adieu mes amis, adieu ma maison, adieu mon lycée... Adieu Ayato...
J'ai avancé dans le train pour me trouver une place côté fenêtre. Ça m'avait fait penser à Ayato. J'allais mettre mon sac de vêtement dans le rangement au-dessus de mon siège quand j'ai entendu mon prénom venant de l'extérieur du train. J'ai regardé par la fenêtre. Il n'y avait personne mais j'ai réentendu mon prénom. J'ai repris mon sac et j'ai ouvert la fenêtre pour mieux voir et mieux entendre.
- AMAYA !!
C'était Ayato ! Il venait de me voir et se dirigé vers ma fenêtre. Mais le train c'est mis en marche. Il s'est alors mis à courir après le train. Moi aussi j'ai "couru" dans le train jusqu'à la porte du wagon. Je l'ai ouverte et j'ai sauter. Mon sac à amorti ma chute. Ayato était à plus de 10 mètres de moi, essoufflé. On s'est regardé fixement puis j'ai lâché mon sac et mes affaires et on s'est mis courir l'un vers l'autre pour se prendre dans nos bras.
- Excuses-moi Amaya...je suis un idiot.
- ... C'est pas grave...c'est déjà oublié...
On à continué à se faire un gros câlin puis.......on s'est embrassé.
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