C'était un beau matin,
J'étais dans un endroit lointain,
Mon âme se balade entourée de satin,
Et je fais face à cette chose du malin.À cette place,
De l'espace,
La lumière ne s'efface,
Et toujours un matin qui ne passe.
c'est là ou tout les vents se croisent,
Le temps s'arrête, et les cœurs se froissent.Quelque part, au fond,
Elle me parlait sans sons,
Me parlait de ses leçons,
De sa vie sans façon.Elle aurait beau se montrer,
Le reste ne la verrait,
Et petit à petit elle s'enterrait,
Mais bien sûr, qui comprendre pourrait.La vie est une partie de poker,
Me dit-elle de voix en verre,
Ne cherche pas par terre,
Ni en haut, ça ne marche pas à l'envers.Les opposés font le monde,
Fait le tien pour que tu ne dépende,
Meilleur sans opposés,
Comme exemple ni ombre ni lumière posée.La discussion d'une part,
Me prit à l'écart,
Je n'ai eu envie de départ,
Mais juste d'y rester tard.Les gens ne vit de l'intérieur,
Mais juste toucher de l'extérieur,
Je ne fut que refuge pour âmes,Temporairement pour venant avec et partant sans larmes.
La magie n'existe pas,
Tel est l'illusion,
Sauf si t'y crois,Tu pars en confusion.
Les secondes laissées,
Sont pour la une fois,
Et non pour les coutumes passées,Ne change pas ce qui est droit.
Mon enfant ta présence me comble,
Et j'espère te laisser noble,Ne regrette pas ces sombres,
Ce n'est que moments à prendre.J'ai visité les mondes,
Crois-moi, les âmes sont profondes,
Mais humains ne changent,
Humains ne songent.Les erreurs ne sont mauvaises,
Que si répétés à malaise,Positives si apprendre,
Bonne si tu sais ne pas te méprendre.
Ne cache pas les recherches par nappes,
Tu te retrouveras après dans des tapes,
Les moisissure finissent par apparaître,
Et c'est le mauvais qui se voit naître.Je suis maintenant indépendant,
Oh oui crois-moi c'est bon,
Seul, mais j'aide les traversants,
À l'écart, mais ça reste des moments.Fume pas ta vie,
Fume les gens,Ne les salis,
Ne soit pas méchant,
Montre leur ta magie,
Ce qui reste enfuie,
Si puis-je dire ainsi,
Et à chaque moment réagit.Chaque chose est un tableau,
Choses ou personnes
Esquisse sur chaque morceau,
Des dessins tendre tel le cotons.La plus délicieuse pluie,
Est celle qui vient du puits,
Non du bas du sceau,
Et soit tendre avec la peau.Pour conclure,
Soit vide,
Laisse ton allure,
Garder cet acide,
Caché en toi.Rescapé des lois,
Qui suit sa voie,
Qui ne cherche que proies.Attendri par cet être,
J'y vit ressemblance,
Stupide ça peut paraître,
Mais tel un miroir à mon apparence.Et il clôt le tout de discussion,
Par promesse avec précision,Indépendant je resterai,
Mais esquisser je continuerai.
À ne pas fumer,
Et à plumer,
Aider à surmonter,
Et éviter de m'orienter.
Vivre tel une montagne sans raisons dans l'espace,
Jusqu'à ce que je ne m'efface,
Mes actions avec moi,
Et même les nuages quoi qu'il en soit,
Je n'étais destiner qu'à créer moi même,
Le chemin qui m'emmène,
Je pense bien que c'est cela,
Tu devrais maintenant partir de là.Émotionnellement touché,
J'aurai aimé rester,
Mais c'était bien impossible,
J'espère que verra ça comme compréhensible.
VOUS LISEZ
L'endroit céleste
RandomIl y a les anges, les démons, les dieux, les êtres sombres, les humains, l'inconnu, et le populaire, et ensuite, il y a moi.