Andy Blake

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Quatre grands sapins sont dressé autour de moi, ils doivent avoir plus de trente ans, ils sont là depuis que je connais cet endroit. Un endroit magnifique, un endroit d'insouscience, de tranquillité, pourtant, quelque chose cloche. Quelque chose ne va pas. Je suis seule, je ne le suis jamais. Complètement seule entre des arbres un lac et une verenda abandonné. À bien y réfléchir, je commence à avoir la frousse. Je n'ai pas peur, mais sj'ai les frissons que me procure ce sentiment. J'ai l'impression d'être épié, qu'on me regarde. À gauche, à droite, derrière moi et même  du lac. Mon coeur s'emballe, je ne sais pas pourquoi, pourtant je ne suis pas confiné dans un endroit restrin. Je ne sais pas ce qui m'arrive, je n'arrive pas à trouver un moyen de dégager ce sentiment. C'est incofortable, je ne sens plus mes doigts, ni mes orteilles. Je regarde autour de moi, rien. Je ferme les yeux en agitant mes mains et en remuant mes orteilles, rien à faire, je frissonne de partout.  Je n'arrive même plus à bouger. Mes pieds sont encré dans la terre, mes chaussures n'existe plus, mes pieds se mêle à la terre, je m'enfonce. Mes mains son tiré de chaque côté allant ce fondre avec les branches des arbres. J'ai beau vouloir bouger, tirant à droite, ou encore à gauche, rien ne bouge, je perds le contrôle. Je sens mon corps vouloir se déchirer. Tirer de tout les côtés, la douleur ne c'était pas encore rendu jusqu'au cerveau, je ne pouvais pas crier, je n'en trouvais pas la raison. C'est alors que...

- C'est alors que je sors de l'ombre, c'est ça?

Une voix était sortie de nul part, un homme, mais qui était-il ? Encore une fois, je tentai de bouger, mais rien à faire. Un branche fut brisé à ma droite, puis une autre et encore quelques unes. Je ne voyais rien, la nuit était tombé et les arbres emêchaient tout pénétration de lumière. Je sentais mes pieds s'enfoncer encore plus et mes jambes devenir glaise. Mes bras s'allongèrent pratiquement d'eu-même et une écorce brunatre se forma contre la peau de mes avant-bras s'encrant le mieu possible, tel des morsures de chiens. Un cri s'évada de ma bouche, mais résonna plus comme un rire. Celui de l'inconnu ce mela au mien et je pus enfin appercevoir son visage. Il était grand, cheveux d'un brun sombre et éclatant, assez long pour couvrir légèrement la nuque. Ils étaient ramené vers l'arrière, mais bougeait au rythme du vent. Son regard pénétrant me laissait des plus stupéfaite. Ce regard d'un bleu si pure, si vif et même si sombre. Il était vêtut d'un simple jean taché, d'un t-shirt blanc et d'un veston de cuir délabré. Il fit un pas vers moi, passant sa main dans ses cheveux. Cet homme me ressemblait, plus que je ne l'aurait crut. On aurait dit moi, mais version masculine. Il était sur de lui, mais quelque chose chez lui me rendait perplexe, comme s'il n'était pas réel, comme s'il faisait partit de moi, comme si j'imaginais toute cette histoire sans même me rendre compte que ce que je vis n'est qu'un rêve et que je vais me réveiller au dernier moment comme toujours.

-Pas cette fois ma belle.

-Qu-Quoi?

-Tu ne te réveilleras pas. Ce sera moi.

Il m'avait entendu, mais comment. Je ne faisais que penser. Je tirai sur mes bras tentant de les déprendre de ce cauchemar. Je sentis une tension dans mes bras, mais mon regard ce tourna vers lui. Il avançait encore vers moi. Je m'immobilisai et le fixai. Son regard s'enfonça dans le mien. Sa main gauche disparue sou sa veste et ressortit avec quelque chose en main. Je n'avais pas pus voir. Sa main droite s'enfouis dans la poche arrière de son pantalon et ressortit autre chose. Cette fois, je pus voir, puisqu'il me la mit au visage. C'était une lame de rasoir, pas n'importe laquelle, une lame qui date des années de la guerre. Une simple lame et un manche qui se plit.  Elle était des plus aiguisée. Elle glissait sur ma joue, accompagné d'un filet rouge sang. Je ne poussais aucun cri, je ne faisais que le fixer lui. Il leva sa main gauche et enchaina un coup qui se termina au centre de ma cage toracique. Je sentis mon coeur reculai de plusieurs centimètre et d'un force qui m'as envahit de je ne sais où me fit sortir de cette prison. Mes bras arrachèrent l'écorce, mes jambes retrouvèrent leur couleur et mes pieds refirent sur place. Je fis un pas vers lui avant de tomber à genoux juste en face de lui. J'eus une main sur ce qui se trouvait en moi et le retirai sans réfléchir. Mon coeur s'arrêta et je sentis mon corps se déchirer en plusieurs morceaux et je disparus sans laissé une trace de sang.

- Et c'est alors que Andy Blake s'évaille et que Andie Moire disparait à jamais.

À suivre...

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⏰ Dernière mise à jour : Aug 15, 2013 ⏰

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